Om Apocalypse 830
Certains pleurent, d'autres rigolent d'un rire empreint d'une sorte de folie. Et voilà qu'au milieu de ce spectacle, je retrouve Francis qui court faire ses besoins à cause d'un stress insoutenable.
C'est son heure, et comme à chaque fois, il se réfugie quelques instants dans la feuillée. Allez, je me prépare, je sens que j'ai retrouvé un calme presque immoral. J'ajuste mon enflure de fusil, je vérifie mes salopes de cartouchières.
C'est l'habitude, la routine. On sait qu'il faut repartir, alors à quoi bon lutter, à quoi bon penser à autre chose pour essayer d'oublier l'inoubliable ?
Visa mer