Marknadens största urval
Snabb leverans

Böcker utgivna av Shs Editions

Filter
Filter
Sortera efterSortera Populära
  • av Jacques Novicow
    539,-

  • av Emile Faguet
    339,-

  • av William Scott-Elliot
    339,-

  • av Emile Faguet
    339,-

  • av Ernest Lavisse
    339,-

  • av Charles Richet
    339,-

    " Le but de ce livre est d¿étudier la nature de la sensation du dégoût, aussi bien dans le domaine du corps que dans le domaine de l¿esprit, et surtout de chercher suivant quelles causes elle vient à naître, et s¿il faut voir dans la répugnance physique ou morale des hommes pour certains objets un effet du hasard ou le résultat d¿une loi cachée. Un instinct humain, pour être étrange et inexpliqué, n¿en est pas moins digne d¿attention, et le fameux précepte de Socrate, qui engage l¿homme à se connaître lui-même, ne fait pas de partage entre les sentiments nobles et les sentiments bas..."

  • av Gabriel Tarde
    339,-

  • av Gabriel Tarde
    499 - 625,-

  • av Adam Smith
    339,-

    « L'avènement de la monnaie a enrichi le c¿ur humain de sentiments nouveaux et de vices nouveaux. Nous lui devons l'orgueil financier, la béatitude spéciale du milliardaire appuyé sur son portefeuille, comme l'orgueil d'un capitaine se fonde sur son armée. Ce que le guerrier antique dit à sa lance et à son bouclier, dans une épigramme grecque : « Grâce à vous, je suis libre, j'ai des loisirs sans fin, je me fais servir par des esclaves », le riche moderne peut le dire a son coffre fort. Le culte de l'or, cette passion qui a quelque chose de religieux par le caractère vaste et vague, indéterminé et illimité, des perspectives de bonheur que son objet lui fait entrevoir, est une fibre importante de l'âme humaine. Le plaisir d'économiser, de gagner de l'argent, est un enivrement tout spécial qui n'a rien de commun avec le simple avantage de recevoir un bien déterminé, un bijou, un meuble, un livre. Autre chose est le plaisir de manger un bon fruit, autre chose la satisfaction intime et profonde de sentir sa santé se fortifier. Il y a de l'un à l'autre la différence de l'actuel au virtuel, j'allais dire du fini à l'infini... »

  • av Edgar Savenay
    339,-

    " Nous sommes très fiers de l¿état actuel de nos sciences. Qui sait si dans cent ans nos neveux seront aussi contents de nous que nous paraissons l¿être de nous-mêmes? Qui sait ce qui restera des conceptions auxquelles nous attachons le plus d¿importance, et qui nous guident dans nos travaux scientifiques? Il est bon en tout cas de jeter de temps en temps un regard en arrière sur cette grande route du savoir où l¿humanité s¿avance d¿une allure irrégulière, ralentissant le pas à certains moments et dévorant quelquefois le terrain. C¿est en considérant ainsi le passé que nous pouvons juger du chemin parcouru, et constater si nous sommes vraiment en train, comme on le dit, de faire une forte étape. Voyons donc quel était l¿état général des sciences il y a cent ans et au milieu du XVIIIe siècle..."

  • av Sigmund Freud
    539,-

    Introduction à la psychanalyse est un ouvrage qui reproduit des cours donnés par Freud à l'université de Vienne de 1915 à 1917, « devant un auditoire composé de médecins et de profanes des deux sexes ». Il est publié en trois parties, puis en un seul volume en 1916-1917. Les Conférences d'introduction à la psychanalyse sont destinées à exposer de manière accessible aux non-spécialistes certains principes et objets constitutifs de la psychanalyse, tels ceux d'inconscient, de libido, de rêve, d'actes manqués et de névrose.

  • av Alain
    339,-

    "J¿entreprends une fois de plus d¿explorer ce vaste domaine des Beaux- Arts, difficile à comprendre, monde d¿énigmes, de formes qui ne disent mot, mais du moins assez facile à décrire. Chacun peut citer un beau monument, une belle symphonie, un beau poème, un beau portrait, un beau dessin, une belle statue. Il n¿en faut pas plus, sur quelques exemples aussitôt une sorte de système se dessine, non pas tant par ressemblances que par oppositions et corrélations."

  • av Désiré Lucien Vallier
    339,-

    " Les campagnes de Crimée et de la Baltique avaient hautement mis en relief les solides qualités militaires des troupes de la marine sur l¿échiquier des campagnes d¿Europe ; elles n¿avaient toutefois rien pu ajouter à la traditionnelle réputation de dévouement et d¿abnégation de ces troupes, affirmée sur tous les points du globe. Celles-ci semblaient, en effet, vouées par destination aux tâches ingrates accomplies sous les cli- mats les plus meurtriers, à une époque où l¿opinion publique s¿intéressait peu aux questions coloniales et n¿accordait guère d¿attention qüaux faits d¿armes retentissants."

  • av Victor Cousin
    339,-

    " Kant est le père de la philosophie allemande : il est l¿auteur ou plutôt l¿instrument de la plus grande révolution philosophique qui ait eu lieu dans l¿Europe moderne depuis Descartes. Or, toute révolution digne de ce nom est fille du temps et non d¿un homme. Le monde marche, mais nul ne le fait marcher, comme nul ne peut l¿arrêter. Je vois à la philosophie de Kant deux grands antécédents. l¿esprit général, le mouvement universel de l¿Europe, puis l¿esprit particulier de l¿Allemagne.."

  • av Emile Faguet
    339,-

    " Mais le fond des Français me semble toujours avoir été peu capable d'embrasser et d'entretenir l'esprit religieux et le sentiment religieux. Il ne faut pas que nos guerres religieuses, assez nombreuses et assez longues, nous fassent illusion sur ceci. La religion, dans ces guerres, a été pour un cinquième cause et pour quatre cinquièmes prétexte, à calculer approximativement, comme on est bien forcé de faire en pareille matière. Est-il quelqu'un qui estime aujourd'hui que la croisade des Albigeois ait été une manifestation de foi religieuse? Est-il quelqu'un qui conteste qu'elle ait été une ruée de pillards avides sur des contrées riches, prenant prétexte dans le mot d'ordre d'un pape, qui lui-même obéissait à des idées politiques en le donnant?

  • av Végèce
    379,-

    " "De re militari" est une référence incontournable dans le domaine des arts de la guerre qui dépasse le simple cadre de la stratégie et concerne aussi par nombre de ses réflexions la philosophie et la politique. Véritable manuel qui fut l'un des ouvrages de chevet de Napoléon, ce traité compile de façon pratique les meilleurs enseignements en la matière issus du passé. Le traité est composé de 5 livres."

  • av Pierre Corneille
    339,-

    Dans les rues de Séville, le peuple acclame Rodrigue, le vainqueur des Maures, le sauveur de la patrie. Seule dans son palais endeuillé, Chimène écoute la rumeur de la foule en liesse. Dans son coeur déchiré s'affrontent l'espoir et la crainte. La peur de savoir Rodrigue blessé combat en elle le désir de se venger. L'assassin de son père mérite t-il qu'elle tremble pour lui ? Son triste devoir est de réclamer au roi le châtiment du meurtrier. Mais le roi condamnera-t-il celui qui vient de sauver son trône ? La piété filiale n'a pas entièrement étouffé l'ardeur de l'amante, et Chimène, sans oser se l'avouer, espère secrètement que le souverain refusera de punir le coupable.La pièce la plus célèbre de notre répertoire, Le Cid, est aussi la plus jeune, par sa fougue et sa passion. Partagés entre les affres de l'amour interdit et les tourments de l'orgueil blessé, Rodrigue et Chimène sont inoubliables, héros dont la noblesse altière et la révolte impétueuse font l'émouvante grandeur.retentitde louanges à la gloire d'Horace. Vainqueur en combat singulier des champions ennemis, ce valeureux guerrier vient de donner à sa patrie une victoire décisive, et la suprématie sur la ville rivale d'Albe. Une foule impatiente se presse pour accueillir le héros. Mais, dans la demeure familiale, Camille ne trouve, pour célébrer l'exploit de son frère, que des pleurs. Ce jour, qui voit letriomphe de Rome, est celui de son malheur ! La bravoure d'Horace lui enlève à jamais Curiace, son fiancé bien-aimé, qui combattait pour Albe : Un sort cruel a dressé l'un contre l'autre ceux quidevaient s'unir. La jeune femme, révoltée par le destin injuste qui l'accable, ne peut cacher ses larmes au vainqueur qui s'en offense : l'amour doit s'effacer devant les intérêts de Rome ! Mais, pour Camille, rien ne saurait remplacer l'amant qu'elle a perdu. Emportée par la fureur de son chagrin, elle appelle sur la ville cruelle le courroux du ciel : " Puissé-je de mes yeux y voir tomber la foudre ! " lance-t-elle comme un défi au vainqueur indigné. Horace lève alors son épée sur sa soeur qui s'enfuit. Tragédie de la liberté, de la grandeur et de la raison d'Etat, Horace conserve par-delà les siècles, toute la force d'une pièce à la fois lucide et passionnée.

  • av Albert Londres
    379,-

    " En 1927, Albert Londres embarque pour un périple de quatre mois dans les colonies françaises d'Afrique. Il a déjà écrit quelques articles sur les " petits Blancs " de Dakar, mais s'engage cette fois dans une enquête d'envergure sur les pratiques des colons usagers du " moteur à banane ". Il en rapporte un récit virulent, caustique, dont le lecteur sort tour a tour réjoui et atterré, dénonçant les milliers de morts survenue au nom de l'exploitation des forts et de la mise en valeur du territoire. Par la violence de ses dénonciations, Terre d'ébène suscitera furieuses polémiques et démentis violents. " Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie " écrit Albert Londres.

  • av Philippe Glangeaud
    339,-

    " L¿Auvergne est la terre où « tous ses volcans éteints semblent des chaudières fermées où chauffent encore, dans le ventre du sol, les eaux minérales de toute nature. De ces grandes marmites cachées partent des sources chaudes qui contiennent tous les médicaments propres à toutes les maladies. Voici Vichy où l¿on soigne les affections du foie, de la vessie, de l¿estomac, des reins, de la gorge, de la rate, etc. ; voici Royat, où l¿on guérit les maladies de la rate, de la gorge, des reins, de l¿estomac, de la vessie, du foie..." (Guy de Maupassant)"Les agents de destruction : l¿érosion et les glaciers ont altéré parfois profondément le relief primitif des volcans les plus anciens, en usant et décapitant leurs hauts sommets. Les vieux Vésuve et Etna auvergnats ont été ainsi réduits de moitié et entaillés de profondes vallées, pratiquées au milieu de leurs laves et de leurs projections. C¿est grâce à ces entailles que les géologues ont pu reconstituer leur histoire, celle des mondes animés qui vivaient dans leur voisinage, et suivre pas à pas les différentes phases de leur évolution. Si l¿étude d¿un volcan en activité est intéressante, celle d¿un vieux volcan l¿est peut-être encore davantage, car il porte dans ses flancs les traces d¿une longue suite de siècles. Si la lumière du présent éclaire le passé, celle du passé illumine singulièrement le présent.Je souhaite que la puissance de séduction que dégage ces antiques régions volcaniques de l¿Auvergne, régions si bouleversées, soumises à de si nombreuses vicissitudes tour à tour montagnes de feu, puis montagnes couvertes de glace, et aujourd¿hui si belles dans leur tranquille sérénité, laisse aux milliers de savants et de touristes, qui les visitent chaque année, un souvenir durable et plein de charme."

  • av Antoine Bietrix
    339,-

    " Trois plantes exotiques fournissent la base des principales boissons alimentaires et aromatiques introduites aujourd¿hui dans le régime habituel des nations. Depuis l¿époque où l¿usage de ces boissons s¿est établi, toutes n¿ont pas rencontré une faveur égale. Pour des causes que nous chercherons à expliquer, c¿est tantôt l¿une, tantôt l¿autre, qui a dominé dans la consommation générale ; chacune de ces boissons salutaires n¿en concourt pas moins pour sa part à développer le bienfaisant usage du sucre et à diminuer le dangereux abus des liqueurs et préparations alcooliques.On sait déjà comment on obtient du périsperme ou noyau d¿une petite cerise aigrelette cueillie sur un arbrisseau originaire d¿Arabie le produit remarquable connu sous le nom de café ; on sait aussi comment d¿un fruit beaucoup plus volumineux on extrait les nombreuses amandes qui constituent le cacao. On prépare la boisson connue sous le nom de thé avec des produits en apparence bien différents, avec les feuilles d¿un arbrisseau qui, dans certaines circonstances favorables de culture, atteint presque les proportions d¿un arbre de moyenne grandeur..."

  • av Alfred Binet
    339,-

    " Chacun de nous a éprouvé, qüil le sache ou non, un grand nombre d¿illusions des sens : nos sens ne nous disent pas toujours la vérité ; notre ¿il nous trompe, notre oreille nous trompe, notre main elle-même, que nous étendons d¿ordinaire pour contrôler le témoignage des autres sens, peut nous tromper ; ou plutôt, pour parler avec plus d¿exactitude, ce ne sont pas nos sens qui nous trompent, c¿est notre esprit.Nos sens ne nous font connaître qüune chose, des sensations ; notre ¿il ne nous donne que des taches de lumière et de couleur ; notre main, que des sensations de contact et de mouvement ; et notre esprit se charge d¿interpréter ces sensations, d¿en tirer des conclusions, et de construire avec elles des objets extérieurs doués de propriétés innombrables. Quand nous disons : "Voici une table, une chaise, un chien, une maison..." nous n¿indiquons pas uniquement ce que notre ¿il a perçu, nous faisons un raisonnement. Quand ce raisonnement rapide et automatique porte à faux, nous avons une illusion des sens.La prestidigitation est un art qui s¿est proposé un but singulier : celui de rechercher et de développer toutes les influences qui peuvent nous induire en erreur et nous tromper sur ce que nous voyons. Quand une personne assiste à une séance de prestidigitation, sans comprendre les moyens employés, elle est sollicitée par certains gestes et certaines paroles, elle croit avoir vu poser en un endroit un objet qui réellement a été posé ailleurs, elle voit ce qui n¿existe pas et ne voit pas ce qui existe. On comprend de quel intérêt est pour le psychologue l¿étude des procédés employés pour produire l¿illusion, puisque cette étude nous renseigne sur la marche ordinaire de notre pensée pendant que nous percevons les objets extérieurs, et nous découvre les points faibles de notre connaissance..."

  • av Dimitri Merejkovski
    469,-

    " Comment Léonard de Vinci est-il devenu l'incarnation du génie créateur ? Comment a-t-il vécu, aimé, souffert ? Avec un soin du détail et une inspiration dignes des plus grands, le romancier russe Dimitri Merejkovski (1866-1941) nous entraîne dans l'intimité d'un homme pour lequel le talent, perçu comme un don de Dieu, est un véritable sacerdoce, qu'il assume de toute son âme, refusant les facilités de l'argent et des vanités. C'est de cette fidélité extrême, douloureuse, que jaillissent des chefs-d'oeuvre qui nous laissent entrevoir les contours d'un univers où règne la grâce. L'artiste de génie se fait ainsi passeur, intermédiaire entre le Créateur et nous. Dans cette évocation romanesque ample et profonde, la Renaissance apparaît comme la quintessence de toutes les époques, le condensé de toutes les passions, le reflet sans fin de l'univers des hommes.Freud admirait cette oeuvre, où il découvrit le fameux souvenir d'enfance de Vinci - un vautour descendant sur son berceau -, qui lui inspira un de ses essais les plus célèbres. Portrait prodigieusement vivant du grand artiste, ce Roman de Léonard de Vinci est également une pièce maîtresse de la littérature russe du XXème siècle."

  • av Philippe Glangeaud
    339,-

    " Considérée dans son ensemble, la France présente un caractère de symétrie depuis longtemps remarqué. Son contour ne s¿éloigne pas beaucoup de celui d¿un hexagone régulier et, de ses six côtés, trois sont des frontières maritimes, pendant que deux autres, les Pyrénées et les Alpes sont montagneuses. Seule, sa frontière du Nord-Est, de Belfort à Dunkerque, est ouverte. Ces circonstances tiennent à ce que, malgré la très grande diversité de son sol, notre pays constitue un tout géologique. En y regardant de plus près, on reconnaît que son architecture est coordonnée dans son ensemble par rapport à un point milieu, que signalent son relief et la distribution autour de lui des principales formations sédimentaires. C¿est le Plateau Central, incomparable entre toutes les régions françaises par la présence de nombreux volcans, non actifs il est vrai, mais dont l¿extinction remonte à un passé très peu reculé géologiquement...»

  • av Emile Montegut
    339,-

    " Si l¿on se reporte par la pensée à ce qüétaient les colonies anglaises et à ce que sont les États-Unis aujourd¿hui, on se demande quels puissants engins de civilisation ont pu favoriser, précipiter cet essor si rapide d¿un peuple dont l¿histoire, pour être courte, n¿en est pas moins bien remplie, et à qui n¿ont été épargnées ni les épreuves de l¿adversité, ni celles, plus difficiles peut-être à supporter, d¿une éclatante prospérité. L¿exposition de Philadelphie a répondu à ces questions. En assignant à la presse à imprimer la place d¿honneur dans la galerie des machines, les commissaires américains ont voulu rendre hommage à cette force dont Napoléon Ier disait qüelle était plus à redouter que des centaines de mille baïonnettes. Elle l¿a prouvé aux États-Unis ; elle y est parvenue à un tel degré de puissance et d¿influence, elle a, sous un régime de liberté complète, donné des résultats parfois si inattendus qüil nous a paru utile de résumer ici l¿ensemble de nos études et de nos observations sur le journalisme américain..."

  • av Jean-Henri Fabre
    339,-

    " Tout voyageur descendant ou remontant la vallée du Rhône remarque entre Orange et Avignon une grande montagne qui s¿élève majestueusement au-dessus de la fertile plaine arrosée par la fontaine de Vaucluse. C¿est le Mont-Ventoux (Mons Ventosus). Sa forme pyramidale, sa large base, son sommet triangulaire, blanchi par la neige pendant l¿hiver, charment les yeux de l¿artiste et arrêtent surtout l¿attention du géologue, qui devine là un riche terrain de recherches. Le botaniste de son côté se plaît à comparer les zones végétales échelonnées sur ses deux versants, depuis celle de l¿olivier jusqüà la région alpine. L¿agriculteur enfin suit avec intérêt les essais de reboisement qui se poursuivent sur le revers méridional. Le Mont-Ventoux est le dernier ressaut de la chaîne des Alpes maritimes. Avant d¿expirer sur les bords du Rhône, la force qui plissa l¿écorce terrestre semble avoir fait un effort suprême pour élever le Mont-Ventoux au-dessus des crêtes parallèles environnantes¿ Le sommet du Ventoux, point géodésique de premier ordre, fait partie du canevas ou réseau primordial de la carte de France."

  • av Alain
    379,-

    " L'auteur des Propos d'Alain n'a pas à être ici présenté au lecteur. Nous renonçons aussi, quelque envie que nous en ayons, à indiquer sa place parmi les penseurs de ce temps et de tous les temps. Avertissons simplement le lecteur qu'il trouvera en ce livre cent soixante-cinq Propos choisis parmi les milliers de Propos qu'Alain a écrits jour par jour ; de 1906 à 1914 dans la Dépêche de Rouen, puis de 1921 à 1924, dans les Libres Propos et dans l'Émancipation.Chacune de ces réflexions de politique est née selon une libre inspiration, et souvent à des années d'intervalle, au contact de quelque événement aujourd'hui lointain. Transcrites avec leur date et simplement rapprochées, elles se trouvent dessiner une Doctrine de la Liberté."

  • av Alain
    485,-

    " Il a paru intéressant aux éditeurs de conserver, non pas un choix des Propos écrits sur la guerre en ces vingt ans de paix armée, mais plutôt de rassembler tous ces Propos qui correspondent à une réflexion continue sur quelque aspect nouveau de guerre et paix suggéré par les événements au cours de ces vingt ans. Cette réflexion a permis à l¿auteur de pénétrer tout à fait dans son sujet : car il ne s¿agit pas alors d¿anecdotes ; mais bien plutôt c¿est la notion de force qui est explorée et comme retournée. La doctrine de la force, si cohérente, si remarquable par ses réalisations s¿est montrée d¿année en année plus clairement, et cela ressortira d¿une publication comme celle-ci qui présente, en trois cent cinquante articles réunis en deux volumes, le double aspect de la force"

  • av Alain
    339,-

    " Édition originale et intégrale de cet ouvrage d'Alain qui évoque son professeur de philosophie à Vanves Jules Lagneau (1851-1894), rencontre qui influença fortement le philosophe en devenir car le professeur appliquait le précepte de la méthode réflexive qui consiste à retrouver toute la pensée en chaque pensée."

  • av Alain
    339,-

    " «Mes pensées sont déjà assez hardies ; je supplie qu'on n'y ajoute rien. J'ai donné assez de preuves d'obéissance stricte dans mes fonctions de brigadier d'artillerie. Si quelques-uns ont de la peine à accorder cette déclaration avec ce qu'ils vont lire, cela prouve qu'ils ont besoin de me lire plus d'une fois.»Dans une centaine de propos, Alain juge la guerre et n'en oublie rien : l'histoire, la révolte, la situation du soldat, paysan ou prolétaire, la violence, la passion meurtrière. Cette analyse impitoyable de la guerre est une réflexion de sage sur la paix."

Gör som tusentals andra bokälskare

Prenumerera på vårt nyhetsbrev för att få fantastiska erbjudanden och inspiration för din nästa läsning.