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  • av Alexis de Tocqueville
    179,-

    Ce recueil inclut les oeuvres suivantes:(1) Première lettre sur l'Algérie (23 Juin 1837),(2) Deuxième lettre sur l'Algérie, (3) Travail sur l'Algérie (1841),(4) Rapport des travaux parlementaire de Tocqueville sur l'Algérie (1847).

  • av Platon
    165,-

    Dans ce dialogue, Platon fait entendre des voix différentes pour parler d'amour et de beauté, qui sont affaires du Bien. Dans ce dialogue, Éros est représenté différemment en fonction des personnages du dialogue. Pour le Phèdre, Éros est une divinité primordiale,« celui qui fait le plus de bien aux hommes, il inspire de l'audace », « est le plus ancien, le plus auguste, et le plus capable de rendre l'homme vertueux et heureux durant sa vie et après sa mort ». Pausanias fait la distinction entre deux amours et relations sexuelles. Comme il y a deux Aphrodite, l'Aphrodite céleste, plus âgée, née d'Ouranos, et l'Aphrodite née du mâle et de la femelle, Zeus et Dioné, plus jeune et appelée Aphrodite populaire ; il y a deux Éros, un Éros populaire, « c'est l'amour qui règne parmi les gens du commun. Ils aiment sans choix, non moins les femmes que les jeunes gens, plutôt le corps que l'âme, ils n'aspirent qu'à la jouissance; pourvu qu'ils y parviennent, peu leur importe par quels moyens » et un Éros fidèle, qui « ne recherche que les jeunes gens », qui n'aime que le sexe masculin, « naturellement plus fort et plus intelligent ».

  • av Pierre-Joseph Proudhon
    189,-

    « La propriété est toujours alliée à la liberté politique aux yeux de Proudhon; c'est pourquoi il ne peut admettre qu'elle n'arrivera pas à se réaliser, - ne voulant pas désespérer de la liberté. Et puis, sans qu'il l'avoue toujours d'une manière expresse, la propriété concrète doit se produire dans l'avenir parce qu'elle est l'idéal romain, que Rome est la mère du droit et que Proudhon soumet, de plus en plus, toutes ses espérances historiques à ce postulat: le monde doit réaliser un état social juridique. il ne faut donc pas s'étonner s'il parle de l'économie romaine avec l'enthousiasme qu'elle excitait chez les anciens philosophes du droit, qui prenaient cette vie (toute mythique, semble-t-il) pour la première, de toutes les réalités. La maison est à ses yeux, comme aux leurs, un véritable État domestique, gouverné par un chef digne de commander; la propriété n'est possible que si cette dignité et cette capacité existent en toute vérité.»

  • av Yakov Perelman
    279

  • av Gabriel Tarde
    275,-

    " Dans ce livre, j'ai essayé de dégager, avec le plus de netteté possible, le côté purement social des faits humains, abstraction faite de ce qui est en eux simplement vital ou physique. Mais, précisément, il s'est trouvé que le point de vue à la faveur duquel j'ai pu bien marquer cette différence, m'a montré entre les phénomènes sociaux et les phénomènes d'ordre naturel les analogies les plus nombreuses, les plus suivies, les moins forcées. Il y a de longues années déjà que j'ai énoncé et développé çà et là, dans la Revue philosophique, mon idée principale - « clef qui ouvre presque toutes les serrures », a eu l'obligeance de m'écrire un de nos plus grands historiens philosophes; - et, comme le plan de cet ouvrage était dès lors dans ma pensée, plusieurs des articles dont il s'agit ont pu sans peine entrer dans sa composition sous forme de chapitres. Je n'ai fait que les rendre de la sorte, en les re-fondant, à leur destination première. Les sociologistes qui m'ont fait l'honneur, parfois, de remarquer ma manière de voir, pourront maintenant, s'ils le jugent à propos, la critiquer en connaissance de cause et non d'après des fragments détachés. Je leur pardonnerai d'être sévères pour moi s'ils sont bienveillants pour mon idée, ce qui n'aurait rien d'impossible. Elle peut, en effet, avoir à se plaindre de moi, comme la semence de la terre. Mais je souhaite, en ce cas, que, par suite de cette publication, elle tombe dans un esprit mieux préparé que le mien à la mettre en valeur. " G. T.

  • av Eugene Labiche
    179,-

    La baronne de Flasquemont part en soirée, elle laisse la garde de sa fille à ses deux serviteurs, Saint-Germain et Marie. Comme la petite dort, les deux jeunes gens pensent aller chez Mabille, un bal parisien populaire. Mais la petite se réveille et veut les accompagner. Après beaucoup d'agitation, ils partent tous les trois. Mais Madame revient et Saint-Germain doit cacher à sa maîtresse le départ de sa fille. Marie revient aussi sans la jeune Berthe qui a disparu. Les deux serviteurs cachent la situation à la baronne, tout en s'angoissant, mais Berthe revient avec un carabinier…

  • av Sénèque
    155,-

    La Consolation à Marcia est le plus ancien texte de Sénèque dont on dispose. Composé entre 37 et 41, il permet à Sénèque de consoler Marcia qui a perdu son fils trois ans avant de recevoir l’argumentation.

  • av James Oliver Curwood
    189,-

    Dans ce roman à la fois d'épopée et d'émotion, les lecteurs retrouveront ici les personnages des Chasseurs de Loups. C'est à la recherche d'une mine d'or, que Roderick Drew, Wabi et leur fidèle guide Mukoki sont repartis affronter le froid, la traitrise des Woongas et tous les dangers du Grand Nord…

  • av James Oliver Curwood
    239,-

    Kazan, un quart loup et trois quarts chien de traineau, se rend des régions sauvages canadiennes avec son propriétaire Thorpe où ils rencontrent l'homme nommé McCready qui Kazan reconnaît comme quelqu'un qui l'a abusé par le passé. Lorsque McCready attaque Isobel, la femme de Thorpe, Kazan tue McCready et s'échappe craignant une punition sévère pour avoir tué un homme. Il rencontre plus tard un groupe de loups dont il devient le nouveau meneur…

  • av Maurice Joly
    239,-

    Machiavel et Montesquieu devisent aux enfers, et échangent quelques propos sur la politique moderne et la façon la plus efficace pour quelques hommes politiques - toute considération de morale mise à part - d'acquérir et de conserver indéfiniment le pouvoir (thème classique du Prince), mettant des hommes de paille aux places clé de la société. Montesquieu, conformément à son rôle historique, met l'accent sur la séparation des pouvoirs, l'État de droit, la souveraineté de la nation, mais Machiavel retourne à chaque fois ses arguments pour montrer comment ces notions nobles peuvent être détournées au service d'un homme, ici Napoléon III qui n'est jamais cité, manipulant toutes les composantes de la société. Le dialogue fait référence au début au dialogue de Socrate et Thrasymaque dans La République de Platon.

  • av Nicolas Machiavel
    189,-

    Écrit entre 1519 et 1520, L’art de la guerre se présente comme un manuel des affaires militaires à destination du prince italien, d’où sa forme discursive. Nicolas Machiavel y dispense les conseils susceptibles d’animer la virtù de tout général en chef. Par virtù, concept central de la pensée machiavélienne, il faut entendre la capacité humaine, éminemment politique, à s’adapter et à influer sur le cours des événements.

  • av Charles Fourier
    349,-

    Dans ce livre, Fourier résume l’ensemble de sa doctrine : c’est une critique systématique de la civilisation et de ses déviations intrinsèques (individualisme, exploitation mondiale des ressources au profit des plus puissants, capitalisme libéral fondé sur la loi du plus fort et des parasites) et le projet possible d’une autre société déterminée par le principe de l’association mutuelle, régie non plus par des contraintes et des répressions mais selon le vrai moteur (le seul réel) de l’attraction passionnée (le principe de la motivation). 

  • av Charles Fourier
    259,-

    Ce livre est le premier des quatre grands traités de Fourier : exposé incomplet, bancal, déséquilibré de son système de pensée. Fruit d'une imagination débordante qu'il est incapable de contrôler à moins qu'il ne s'y refuse, « sa pensée est comme l'eau du fleuve qui balaie les obstacles et de même que le cours est plus vif près de la source, La Théorie des quatre Mouvements et des destinées générales est un livre plus hardi, plus spontané que ceux qui le suivent ; il a le ton inimitable de la jeunesse et la ferveur de la découverte » - Simone Debout.

  • av Plutarque
    175,-

    " ...C'est un fait tenu pour constant que, du côté paternel, Alexandre descendait d'Hercule par Caranus, et que, du côté de sa mère, il se rattachait aux Éacides, par Néoptolème1. On dit que Philippe, étant à Samothrace, tout jeune encore, y fut initié aux mystères avec Olympias, qui n'était guère non plus qu'une enfant, et orpheline de père et de mère. Il en devint amoureux, fit agréer sa poursuite à Arymbas, frère de la jeune fille, et l'obtint en mariage. La nuit qui précéda celle où les époux furent enfermés dans la chambre nuptiale, Olympias eut un songe. Il lui sembla qu'elle avait entendu un coup de tonnerre, et que la foudre l'avait frappée dans les entrailles : à ce coup, un grand feu s'était allumé, qui, après s'être brisé en plusieurs traits de flamme jaillissant çà et là, s'était bientôt dissipé. Philippe, de son côté, quelque temps après son mariage, songea qu'il marquait d'un sceau le ventre de sa femme, et que le sceau portait l'empreinte d'un lion. Le sens de ce songe, au dire des devins, c'est que Philippe devait prendre gard;e de fort près à sa femme ; mais Aristandre de Telmissus, l'un d'eux, affirma qu'il marquait la grossesse de la reine : « On ne scelle point, dit-il, les vaisseaux vides ; et Olympias porte dans son sein un fils qui aura un courage de lion. » On vit aussi, pendant qu'Olympias dormait, un dragon étendu à ses côtés ; et ce fut là, dit-on, le principal motif qui refroidit l'amour de Philippe et les témoignages de sa tendresse : il n'alla plus si souvent passer la nuit avec elle, soit qu'il craignît de sa part quelques maléfices ou quelques charmes magiques, soit que par respect il s'éloignât de sa couche, qu'il croyait occupée par un être divin..."

  • av Charles Fourier
    165,-

    "... Qu'est-ce qu'une société qui s'isole de Dieu et ne coïncide avec lui en aucune branche de système social ? Je compare une telle société à une armée qui n'a ni général, ni ordre, ni marche combinée, et dont tous les corps agissent incohéremment. On va voir que telle est la manœuvre de la Civilisation moderne. Isolée en tous sens de l'esprit divin qui doit être son pivot, son point de ralliement, elle est compromise même par les succès partiels qu'elle obtient, comme le succès des sciences physiques. C'est ce que je vais démontrer dans cet intermède, où je ne puis prendre de conclusions que sur le sujet précédemment traité, sur la scission de la raison humaine avec la raison divine dont la Civilisation ne veut pas reconnaître la suprématie, la nécessité d'intervention et révélation..."

  • av Claude-Adrien Helvetius
    299,-

  • av Georges Ohnet
    249

    Claire de Beaulieu est une jeune et belle aristocrate, fiancée au duc de Bligny, un homme superficiel et dépensier, mais qu'elle aime malgré tout. Alors qu'une demande en mariage offcielle doit être faite auprès de sa famille, le duc disparaît, préférant épouser Athénaïs Moulinet, la plus farouche ennemie de Claire, une fille sans titres, mais détentrice d'une immense fortune. Ce qui permet au duc de racheter toutes ses dettes de jeu et de vivre dans une aisance qui lui aurait manqué s'il avait épousé Claire, dont la famille est complètement ruinée - ce qu'elle ignore. Elle épouse donc par dépit et par vengeance le maître de forges de Pont-Avesnes, Philippe Derblay, qui éprouve pour elle l'amour le plus profond et le plus sincère. Mais Philippe s'aperçoit vite de l'absence de sentiments de Claire, et de la haine qu'elle lui porte. Il jure alors de lui faire regretter son attitude en devenant froid et distant. La jeune femme va cependant changer et défendra farouchement son mariage si fragile contre les attaques répétées de Bligny et de sa femme…

  • av Hector Malot
    265,-

    L'histoire de ce roman se situe au xixe siècle. Un enfant abandonné, Rémi, est vendu par ses parents adoptifs à un saltimbanque nommé Vitalis. Parcourant les routes françaises et anglaises, l'enfant exerce différents métiers avant de découvrir le secret de ses origines. L'œuvre a été de nombreuses fois adaptée au cinéma et à la télévision.

  • av Leon Bloy
    275,-

    Ce roman écrit à la fin du 19ème siècle décrit la vie de Clothilde, jeune femme, née dans la misère ouvrière du Second Empire, mais inspirée par sa foi chrétienne. Son compagnon, un ivrogne, l’oblige à se prostituer pour subvenir à leurs besoins. Elle se retrouve sous la protection de Leopold, peintre et bienfaiteur. Ce dernier meurt dans des circonstances obscures. Clothilde toucha le fond de la misère et de la souffrance et meurt avec une auréole de sainteté...

  • av Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux
    169

    Le père de Sylvia (M. Orgon) souhaite que sa fille épouse le fils d’un de ses vieux amis. Mais Silvia, peu disposée à se marier, obtient de son brave homme de père l’autorisation d’observer, sous le déguisement de sa servante (Lisette), le jeune homme à qui sa famille la destine (Dorante), ignorant que ce dernier a eu la même idée qu’elle. Aussi, l’aventure, divertissante au début, tourne-t-elle au cauchemar pour elle lorsqu’elle se rend compte qu’elle est attirée par le valet, qui lui fait une cour discrète, alors que le comportement de celui qui se présente comme son promis lui fait horreur, d’autant plus que M. Orgon, qui s’amuse de la situation, refuse d’interrompre le jeu.

  • av Yakov Perelman
    265,-

    “Mechanics for fun” is not a textbook. Instead it is a complementary book with some entertaining experiments and descriptions of some exciting natural phenomena. Its aim is to excite the reader interest in mechanics and have him engage in its study. The author has included a number of mechanics’ applications in engineering, sports, circus performances and many other unexpected areas.

  • av Benedictus de Spinoza
    275,-

    Dans ce livre, Spinoza adopte une méthode de démonstration déductive, calquée sur le mode de la démonstration mathématique, dans laquelle des propositions, démonstrations, scolies et lemmes succèdent aux définitions, axiomes et postulats. Si ce procédé d’exposition en fonction d’un « ordre géométrique » a pour but de conférer aux raisonnements développés dans l’ouvrage la plus grande rigueur possible. Le livre aborde successivement les thématiques de Dieu, de l’âme, des passions (ou affects), du conatus, de la servitude de l’homme, et enfin de la possibilité et des moyens pour l’homme d’accéder à la liberté et la béatitude. 

  • av Yakov Perelman
    265,-

    This book is not a usual arithmetic book. It does not present arithmetic concepts as tedious problems that are often fruitless for everyday life. Instead, using material that is accessible to the majority of the readers, it presents multiple tricks, puzzles and problems, and explains the notions behind them in an enjoyable and entertaining manner. It is recommended for both young students (as a complement to textbooks) and adults.

  • av Jean-Baptiste Marcellin de Marbot
    409,-

    Napoléon a un jour chargé Marbot d'écrire « pour la défense de la gloire des armées françaises». Ce qui n'empêche pas Marbot d'être parfois très critique, notamment en ce qui concerne la vilénie que fut la guerre en Espagne. Ces mémoires lisent comme un roman de cap et d'épée, constituent sur les guerres napoléoniennes, et surtout sur la vie quotidienne d'un officier de cavalerie, un témoignage de toute première main...

  • av Guillaume Apollinaire
    169

    Ce roman relate l'histoire fictive d'un hospodar moldovalaque, Mony Vibescu, dans un périple qui le mène de Bucarest à Paris, puis dans l'Europe entière et finalement à Port-Arthur (en Chine), où il meurt flagellé par un corps d'armée, accomplissant ainsi sa destinée pour avoir failli à son serment...

  • av Octave Mirbeau
    239,-

    De 1880 à 1883 Octave Mirbeau a été l'esclave consentant de Judith Vimmer (Juliette Roux, dans le roman), femme de petite vertu et de petite intelligence, futile et infantile, qui lui a fait endurer les pires souffrances. Trois ans plus tard, il publiera Le Calvaire qui suscitera un énorme scandale.Écrit à la première personne, ce roman-confession est, sous le nom de Jean Mintié, le récit de ses propres turpitudes. C'est un acte d'expiation, mais aussi un acte de libération.Par ailleurs il dénonce avec virulence les atrocités de l'armée française, s'en prend à l'idée même de la Patrie, démystifie la famille, le plaisir, que, comme Baudelaire, il assimile à un fouet ; l'amour dans Le Calvaire n'est pas « l'amour frisé, pommadé, enrubanné », mais « l'Amour barbouillé de sang, ivre de fange, l'Amour aux fureurs onaniques, l'amour maudit, qui colle sur l'homme sa gueule en forme de ventouse, et lui dessèche les veines, lui pompe les moelles, lui décharne les os. »

  • av Leon Bloy
    249

    Publié pour la première fois en 1905, ce recueil de textes rédigés entre 1884 et 1900, est d'une acuité rare. Bloy dénonce comme à son habitude la société bienséante et moutonienne qui crédite les belluaires et les porchers, Bloy se définit comme « un très humble et très ingénu vociférateur. » dont le dessein est de « dénoncer les improbes en littérature : ceux qui volent et ceux qui rampent. Car ces deux espèces menacent de tout dévorer. »

  • - ou Analyse raisonnee des Evangiles
    av Paul-Henri Thiry Baron D'Holbach
    239,-

    "... nous allons examiner sans préjugés la vie de Jésus-Christ Nous ne puiserons nos faits que dans les Évangiles mêmes, c'est-à-dire, dans des mémoires respectés et avoués par les Docteurs de la Religion Chrétienne. Nous emploierons les secours de la critique pour éclaircir ces mêmes faits. Nous exposerons de la façon la plus simple la conduite, les maximes & la politique d'un Législateur obscur, qui depuis sa mort s'est acquis une célébrité, à laquelle il n'y a pas lieu de présumer qu'il ait prétendu de son vivant. Nous considérerons dans son berceau une Religion, qui, destinée d'abord uniquement à la populace la plus vile de la nation la plus abjecte, la plus crédule, la plus stupide de la terre, est devenue peu à peu la maîtresse des Romains, le flambeau des nations, la Souveraine absolue des Monarques Européens, l'arbitre des destinées des peuples, la cause de l'amitié ou de la haine qu'ils se portent, le ciment qui sert à fortifier leurs alliances ou leurs discordes, le levain toujours prêt à mettre les esprits en fermentation..."

  • - et autres nouvelles
    av Joris Karl Huysmans
    179,-

    Le Drageoir aux épices (1874), œuvre de jeunesse composée de dix-huit poèmes en prose rend hommage aux peintres hollandais et flamands et à la poésie de Villon. On y trouve déjà l'écrivain influencé par Baudelaire et l'esthétique naturaliste avec laquelle il rompra dans À rebours. Les quatre pièces lues ici sont indépendantes, mais La Reine Margot et La Kermesse de Rubens sont à considérer comme un diptyque.Ce recueil inclut aussi Pages retrouvées et Un dilemme.

  • av Tom Tit
    279

    The ingenious and entertaining experiments described by Tom Tit in his "La science Amusante" have long delighted the young people of France. These experiments can now delight English speaking pupils and students with this updated translation. Many of the physics and mathematics experiments described here are simple pastimes meant for the recreation of young and old, assembled around the family table. Others, on the contrary, being of a really scientific character, are designed to introduce the reader to the study of Physics and mathematics. Regardless of their nature, all the experiments can be carried out without any special apparatus and are consequently without the least expense. Instruments used include kitchen utensils, corks, matches, glasses, and plates. The book is very useful for the young physicist who wishes to entertain his friends. It will show him not only how to do things by which he can render himself more entertaining than the best talker or the best joker in the company, but will reveal to him a hundred things by which he can amuse and astonish everybody he knows. The book is equally useful for the teacher who wishes to create in his students an interest in science. It will enable him to illustrate scientific principles, and render his instructions as interesting as an Arabian tale.

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