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  • av Charles Fourier
    175,-

    " ... Je vous ai convaincu de petitesse. Vous m'en accuseriez à mon tour si je tombais dans le vice que je vous reproche, si je croyais mes vues immenses parce qu'elles s'étendront là où les vôtres n'avaient point atteint. J'ai fait ce que mille autres pouvaient faire avant moi, mais j'ai marché au but seul, sans appui et sans chemin fraye. J'ai osé comme Colomb m'aventurer le premier dans un océan ((qui avait effraye tous les savants)) inconnu, dans le calcul des destinées qui avait effraye les savants de toutes les classes. Moi seul j'aurai confondu 30 siècles de visions et d'imbécillité, nul ne peut revendiquer la moindre part à ma découverte, c'est à moi ((seul)) que les générations présentes et futures devront l'hommage de leur bonheur et cet hommage ne pourra être partage que par celui qui opérera la délivrance du genre humain, en mettant à exécution les lois de Dieu dont je suis l'inventeur."

  • av Albert Londres
    179,-

    En 1929, au faîte de sa gloire, Albert Londres se lance dans une grande enquête sur un sujet qu'il connaît mal : les juifs. Il rassemble ses trouvailles dans vingt-sept articles qu'il écrit lors d'un périple qui débute à Londres, se poursuit à Prague, en passant par les ghettos de Varsovie et de Transylvanie, et qui prend fin en Palestine là où il chronique l'aventure sioniste dix-huit ans avant la création de l'État d'Israël.

  • av Albert Londres
    169

    Après avoir dénoncé les pénitenciers de Guyane et les bagnes militaires de Biribi, c'est à une autre cause humaine qu'Albert Londres entend désormais s'attaquer: les asiles d'aliénés. Dans ce récit, Londres nous décrit le milieu des «fous» avec toute son invraisemblante réalité. Le récit fourmille de portraits et d'anecdotes dont plusieurs sont pénibles, car les malades sont souvent traités de manière déplorable et révoltante.

  • av Voltaire
    169

    Cette pièce se déroule pendant le siège de la Mecque par Mahomet en 630. Voltaire ne prétendit jamais faire œuvre d'historien ; il se savait dramaturge. Au cœur de sa pièce, l'affrontement entre Mahomet et le vieux Zopire, shérif de La Mecque, dont les deux enfants furent enlevés, jadis, par son ennemi. Or, Zopire tient captifs deux esclaves du Prophète, Séide et Palmyre, ignorant qu'ils sont, en réalité, ses propres enfants. Cet argument - l'échange des enfants à l'insu d'un père prêt à venger leur absence - est l'un des ressorts les plus classiques de la tragédie, depuis Eschyle jusqu'à Verdi. Il est ici prétexte à un face-à-face philosophique entre Mahomet et Zopire. Mahomet, qui assiège La Mecque, donne le choix à Zopire: revoir les siens ou défendre sa patrie. Zopire, vieillard inexorable, ne fléchit point et, tel le Créon de Sophocle, préfère sa cité à sa descendance. Mahomet, rongé par la haine, convainc alors le jeune Séide d'assassiner Zopire, son propre père: «L'amour, le fanatisme, aveuglent sa jeunesse; il sera furieux par excès de faiblesse.»

  • av Charles Fourier
    169

    " ...Pourquoi donc les nations civilisées ne sont-elles pas aptes à jouir d'un bien qui est l'objet des désirs collectifs et individuels ? Question bien digne de notre attention ! C'est la première qui doit nous occuper dans une analyse de la civilisation. Il faut d'abord démontrer dans le mécanisme civilisé aberration spéculative, ignorance des conditions de liberté collective et individuelle. Ce sera l'objet de la 1re section, d'où nous passerons à l'analyse des erreurs pratiques et des ressorts dont le jeu mal dirigé condamne la société civilisée au rôle de servitude permanente, quelque forme qu'elle puisse donner à ses codes et institutions, en pays populeux, l'exception ne portant que sur pays neufs..."

  • av Antenor Firmin
    325,-

  • av Georges Feydeau
    265,-

    La Puce à l'oreille est un vaudeville de Georges Feydeau créé au Théâtre des Variétés le 2 mars 1907. C'est une comédie basée sur des quiproquos et des malentendus entre les personnages qui se suspectent tous mutuellement d'adultère.

  • av Selma Lagerloef
    239,-

    Parue pour les fêtes de Noël de 1891, cette oeuvre hybride qui tient à la fois du recueil de contes, de la poésie et du roman est un texte fascinant pour les Suédois qui ont reconnu dans cette légende les racines profondes des Vikings. Les histoires s'enchaînent, dans le genre fantastique, avec des loups, des revenants, des morts inexpliquées... Si l'ensemble reste inégal, on le découvrira quand même avec bonheur et indulgence, car il s'agit du tout premier roman de la grande Selma Lagerlöf.

  • av Maurice Barres
    245

    Trois religieux lorrains, les frères Baillard, décident de faire revivre la colline de Sion, autrefois lieu de pèlerinage dédié à la Vierge. Remportant tous les succès, ils s'enrichissent jusqu'à inquiéter leurs supérieurs, et attirent les foules à Sion. Mais la rencontre de l'aîné Léopold avec l'hérésiarque Vintras, prêtre excommunié par l'Église, transforme Notre-Dame de Sion en bastion de la secte vintrasienne. Rejetée par les autorités catholiques, la communauté de Sion perd peu à peu fidèles et religieux, et ne reste qu'une poignée autour de Léopold et de ses frères. Le manque d'argent et l'arrivée d'un prêtre catholique « orthodoxe » dépêché par l'évêque de Nancy va chasser cette poignée de son église. Toutefois, pris par le remords et ému par l'amour sincère de Léopold pour sa colline, le prêtre catholique va s'employer à le ramener dans le giron de l'Église, et, après lui avoir donné l'extrême-onction, il obtiendra que Léopold abjure son hérésie.

  • av Xavier De Montepin
    289,-

    L'histoire débute en 1861. Jeanne Fortier est la jeune veuve d'un mécanicien tué par l'explosion d'une machine a l'usine de Jules Labroue à Alfortville. À la suite de l'accident qui a tué son mari, Labroue embauche la veuve comme gardienne-concierge à l'usine afin d'assurer son avenir et celui de ses enfants. Le patron de l'usine est polytechnicien, mécanicien et inventeur. Il fait part de son projet de « machine à guillocher les surfaces arrondies » à Jacques Garaud, son contremaître. Or le contremaître est amoureux de Jeanne et, devant le refus de la veuve de l'épouser, il vole le projet d'invention de son patron, incendie l'usine, tue Jules Labroue et fait accuser Jeanne. Jeanne, accusée à tort, est condamnée à perpétuité mais, devenue folle, elle est internée à la Salpêtrière.Elle retrouve la raison lors d'un incendie pendant la Commune de Paris de 1871, est conduite à la prison Saint-Lazare, puis à la maison centrale de Clermont, dont elle s'évade vingt ans après sa condamnation. Son fils Georges, qui a pris le nom de Darier, celui de sa mère adoptive, est devenu avocat et sa fille Lucie couturière. Jacques Garaud est devenu un riche industriel sous le nom de Paul Harmant. Il veut marier sa fille Mary avec Lucien Labroue, ingénieur des arts et métiers, le fils de Jules Labroue qu'il a assassiné. Il l'embauche comme ingénieur dans son usine. Mais Lucien est fiancé à Lucie, la fille de Jeanne. Quant à Jeanne, elle a changé d'identité, et est devenue maman Lison la « porteuse de pain ». Jeanne est bien décidée à retrouver le véritable criminel.

  • av Claire de Duras
    165,-

    Achetée avant son embarquement sur un navire négrier par le gouverneur du Sénégal qui l'amène à Paris pour l'offrir à sa tante, la jeune Africaine Ourika reçoit une bonne éducation. À l'âge de douze ans, elle se rend compte du préjudice que suscite sa couleur de peau. Après le mariage de Charles, dont elle est amoureuse, avec une Française, elle se retire au couvent où elle finira par mourir prématurément.

  • av Jean Racine
    165,-

    Andromaque est une tragédie en cinq actes et en vers de Jean Racine écrite en 1667 et représentée pour la première fois au château du Louvre le 17 novembre 1667. Elle comporte 1648 alexandrins.L'argument de la pièce se résume en une phrase : Oreste aime Hermione, mais elle aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime encore le souvenir de son mari, Hector, tué pendant la guerre de Troie.Racine s'inspire de chants de L'Iliade d'Homère, notamment pour la figure d'Andromaque. Son histoire avait déjà été traitée par Euripide dans ses pièces Andromaque et Les Troyennes, cette dernière ayant été adaptée plus tard par Sénèque, mais Racine cite dans sa première préface L'Énéide de Virgile comme source principale de référence.

  • av Jacques Bainville
    155,-

    " La guerre était, dans son principe, une guerre populaire. Il serait à peine exagéré de dire que c'était la guerre de la Douma. Entre 1909 et 1914, entre la remise par M. de Pourtalès des deux ultimatums, dont le premier, de tous points semblable au second, avait déterminé un recul de la Russie que le patriotisme russe avait ressenti comme une humiliation, bien souvent la Douma avait exprimé le désir d'une politique étrangère plus vigoureuse. L'annexion de la Bosnie-Herzégovine par l'Autriche avait laissé une profonde amertume. L'éclipsé que le prestige de la Russie avait subie en Orient avait été déplorée, critiquée à plus d'une reprise à la tribune du palais de Tauride. Aussi, lorsque l'Empereur prit la défense de la Serbie menacée, puis quand il repoussa l'ultimatum de l'Allemagne, la Douma se reconnut dans celle résolution. Elle avait contribué, pour une part certaine, à ce retour à la fierté..."

  • av Samuel Tissot
    179,-

    « J'ai eu le malheur dès ma tendre jeunesse, je crois entre huit et dix ans, de contracter cette pernicieuse habitude, qui, de bonne heure, a ruiné mon tempérament ; mais surtout depuis quelques années je suis dans un accablement extraordinaire ; j'ai les nerfs extrêmement faibles, mes mains sont sans force, toujours tremblantes, et dans une sueur continuelle ; j'ai de violents maux d'estomac, des douleurs dans les bras, dans les jambes, quelquefois aux reins et à la poitrine, souvent de la toux ; mes yeux sont toujours faibles et cassés, mon appétit est dévorant ; et cependant je maigris beaucoup, et j'ai tous les jours plus mauvais visage ».

  • - Tome II: La Revolution: L'Anarchie
    av Hippolyte Taine
    289,-

    Les Origines de la France contemporaine est l'œuvre majeure d'Hippolyte Taine (1828-1893). Il l'entreprit au lendemain de la guerre de 1870 et la poursuivit jusqu'à sa mort. L'œuvre couvre quatre régimes politiques : Restauration, monarchie de Juillet, IIe République, second Empire ; un cinquième est en gestation - république ou monarchie - depuis la journée parisienne du 4 septembre 1870. Extrait : « Qu'est-ce que la France contemporaine ? Pour répondre à cette question, il faut savoir comment cette France s'est faite, ou, ce qui vaut mieux encore, assister en spectateur à sa formation. À la fin du siècle dernier, pareille à un insecte qui mue, elle subit une métamorphose. Son ancienne organisation se dissout ; elle en déchire elle-même les plus précieux tissus et tombe en des convulsions qui semblent mortelles. Puis, après des tiraillements multipliés et une léthargie pénible, elle se redresse… »

  • av Pierre-Joseph Proudhon
    239,-

    " Depuis l'institution du suffrage universel, la Démocratie, considérant que son règne était venu, que son gouvernement avait fait ses preuves, qu'il n'y avait plus à discuter que le choix des hommes, qu'elle était la formule suprême de l'ordre, a voulu se constituer à son tour en parti de statu quo. Elle n'est pas, tant s'en faut, maîtresse des affaires, que déjà elle s'arrange pour l'immobilisme. Mais que faire quand on s'appelle la Démocratie, qu'on représente la Révolution et qu'on est arrivé à l'immobilisme ? La Démocratie a pensé que sa mission était de réparer les antiques injustices, de ressusciter les nations meurtries, en un mot, de refaire l'histoire ! C'est ce qu'elle exprime par le mot Nationalité écrit en tête de son nouveau programme. Non contente de se faire parti de statu quo, elle s'est faite parti rétrograde. Et comme la Nationalité, telle que la comprend et l'interprète la Démocratie, a pour corollaire l'Unité, elle a mis le sceau à son abjuration, en se déclarant définitivement pouvoir absolu, indivisible et immuable…"

  • av Diogene Laerce
    299,-

    Cet ouvrage, écrit à une date incertaine (au plus tôt au début du IIIe siècle de notre ère, peut-être bien plus tard) est une compilation des vies de philosophes, classés par école, en commençant parfois par le fondateur. Certaines parties de l'œuvre ne sont peut-être pas de Diogène, et y ont sans doute été ajoutées tardivement. Aux livres III (47) et X (29) Diogène semble s'adresser à une femme à laquelle il aurait dédicacé son œuvre.L'œuvre relève à la fois du genre des successions (filiation des philosophes), des écoles (classement des écoles, et exposé des doctrines) et des vies. Le plan de chaque vie est globalement identique. Diogène commence par retracer la vie du philosophe, avec une abondance d'anecdotes diverses, qui retracent notamment les relations qu'il aurait eues avec les autres philosophes. La doctrine est retracée à grands traits. Suit une liste des œuvres, les circonstances de la mort, et une épigramme composée par Diogène Laërce.

  • av Maxime Gorki
    295,-

    Ce roman décrit l'évolution intellectuelle d'une mère de famille ouvrière dans un faubourg industriel de la Russie pré-révolutionnaire, dont le fils Pavel (ou Paul) est militant socialiste. D'abord, effrayée par les dangereuses idées de son fils, qu'elle ne comprend pas, elle tombe ensuite sous le charme des camarades de Pavel, pleins de fougue, d'idéal et d'amour pour l'humanité. Petit à petit s'éveille en elle la conscience de l'injustice vécue par les travailleurs dans la société tsariste. Lorsque Pavel est arrêté une première fois, la mère prend sur elle de continuer la diffusion clandestine de tracts au personnel de l'usine où travaille Pavel, afin de sauver son fils de prison.Plus tard, lorsque Pavel est arrêté de nouveau pour avoir organisé une manifestation du 1er Mai dans son faubourg, drapeau rouge en tête, la mère se voit contrainte de quitter son domicile pour la ville, et doit partager pour de bon le quotidien des révolutionnaires socialistes. Elle réapprend à lire, participe à la distribution du journal, à des bagarres avec la police, et voyage pour faire passer de la littérature interdite à la campagne, chez les paysans, auprès de qui elle sera bien accueillie pour la simplicité de ses manières qui tranche avec celle d'autres révolutionnaires issus de familles bourgeoises. La mère devient progressivement une véritable militante socialiste. Le récit prend fin brutalement, avec son arrestation, ce qui la consacre ainsi une révolutionnaire accomplie.

  • av Henri Poincare
    189,-

    La Science et l'Hypothèse est un ouvrage destiné au grand public et par lequel le mathématicien Henri Poincaré fait le point sur ce qu'il faut attendre ou non des sciences concernant les quatre sujets suivants : * les mathématiques * les caractéristiques de l'espace (y compris en géométrie non-euclidienne) * les connaissances physiques (mécanique classique, relativité des mouvements, énergie, thermodynamique) * la nature (hypothèses en physique, rôle des probabilités, optique, électricité et électrodynamique, fin de l'idée classique de matière) et des relations qui existent entre les unes et les autres. Cet ouvrage, publié en 1902, a été l'un des premiers ouvrages grand public, peut-être le premier, à déclarer qu'il faudrait probablement renoncer à l'idée d'un temps absolu dans l'univers. La théorie de la relativité restreinte ne sera publiée par Albert Einstein que trois ans plus tard.

  • av Leon Tolstoi
    169

    "... Dieu a révélé aux hommes la vérité. Je suis un homme; donc, non seulement j'ai le droit, mais je suis tenu de la connaître et d'être mis en contact direct avec elle, sans aucun intermédiaire. Puisque c'est Dieu lui-même qui parle dans ces livres, il connaît la faiblesse de mon intelligence et il me parlera de façon à ne pas m'induire en erreur. L'argument de l'Église concernant l'impossibilité de permettre à chacun de commenter l'Écriture sans que les commentateurs tombent dans l'erreur et se divisent en maintes chapelles, cet argument ne saurait m'imposer. Il pourrait avoir de la valeur pour moi si l'interprétation m'était intelligible et s'il n'y avait qu'une seule Église et un seul Credo. Aujourd'hui qu'un cerveau sain ne saurait adopter les dogmes de l'Église touchant le Fils de Dieu, la Trinité, la Vierge-Mère, l'Immaculée-Conception, le corps et le sang de Dieu absorbés sous forme de pain et de vin, etc., cet argument de l'Église, si fréquemment répété qu'il soit, ne saurait plus avoir aucune portée. Aujourd'hui, il faut, au contraire, une interprétation qui mettrait tout le monde d'accord. Et cet accord ne saurait se faire que lorsqu'on aura trouvé une interprétation sensée..."

  • av Yakov Perelman
    169

    This short book is a collection of simple and easily grasped tricks to speed up your mental arithmetic. If you want to master them you should realize that to be used fully they need to be approached conscientiously, not mechanically. But it pays to master them as they will enable you to do calculations in your head without error, as with written calculations.

  • - Volume I
    av Yakov Perelman
    179 - 279

  • av Yakov Perelman
    155,-

    Ce petit livre est une collection d'astuces et de techniques qui permettent d'accélérer votre calcul mental. Si vous voulez les maîtriser et les utiliser pleinement, vous devez les aborder consciencieusement et non mécaniquement. Ils vous permettront de faire les calculs mentalement, sans erreur, comme si ces derniers étaient des calculs écrits.

  • av Renee Vivien
    179,-

    Ce roman est l'histoire autobiographique d'une passion amoureuse fatale, celle que Renée Vivien, une petite Anglaise ayant adopté la langue française a vécue avec la célèbre salonnière Natalie Barney.Roman à clef, Une femme m'apparut… est aussi l'unique roman qu'a écrit Renée Vivien, grande poétesse et figure incontournable de la littérature lesbienne. Il fut publié dans sa version originale pour la première fois en 1904.

  • av Gustave le Bon
    179,-

    " Sans doute l'histoire des peuples est déterminée par des facteurs fort divers. Elle est pleine de cas particuliers, d'accidents qui ont été et qui auraient pu ne pas être. Mais à côté de ces hasards, de ces circonstances accidentelles, il y a de grandes lois permanentes qui dirigent la marche générale de chaque civilisation. De ces lois permanentes, les plus générales, les plus irréductibles découlent de la constitution mentale des races. La vie d'un peuple, ses institutions, ses croyances et ses arts ne sont que la trame visible de son âme invisible, Pour qu'un peuple transforme ses institutions, ses croyances et ses arts, il lui faut d'abord transformer son âme ; pour qu'il pût léguer à un autre sa civilisation, il faudrait qu'il pût lui léguer aussi son âme. Ce n'est pas là sans doute ce que nous dit l'histoire ; mais nous montrerons aisément qu'en enregistrant des assertions contraires elle s'est laissé tromper par de vaines apparences."

  • av Henri Dunant
    169

    Lors d'un voyage d'affaires, Henri Dunant se rend en juin 1859 à proximité de la ville italienne de Solférino et se trouve alors le témoin des résultats d'une bataille entre les troupes piémontaises et françaises d'un côté et autrichiennes de l'autre. Il traverse le champ de bataille à l'issue des combats et se trouve profondément choqué par ce qu'il voit : les blessés gisant au milieu des cadavres sans que personne ne puisse leur porter secours. Il rapporte alors son expérience dans un ouvrage qu'il intitule Un souvenir de Solférino...

  • av John Ruskin
    199,-

  • av Yakov Perelman
    179

    In this book, we look into some entertaining stories from famous authors (Leo Tolstoy, Jules Verne, Jonathan Swift, etc.) and analyze them from a scientific point of view. Using simple mathematics and physics tools, we will be able to derive new entertaining questions and answers from these stories. In some occasions, we will be able to accept or refuse the foundations underlying them.

  • av Arthur Rimbaud
    165,-

  • av Abbe Emmanuel Joseph Sieyes
    159,-

    «... Qui donc oserait dire que le Tiers-État n'a pas en lui tout ce qu'il faut pour former une Nation complète ? Il est l'homme fort et robuste dont un bras est encore enchaîné. Si l'on ôtait l'Ordre privilégié, la Nation ne serait pas quelque chose de moins, mais quelque chose de plus. Ainsi, qu'est-ce que le Tiers ? tout, mais un tout entravé et opprimé. Que serait-il sans l'Ordre privilégié ? tout, mais un tout libre et florissant. Rien ne peut aller sans lui, tout irait infiniment mieux sans les autres. Il ne suffit pas d'avoir montré que les Privilégiés, loin d'être utiles à la Nation, ne peuvent que l'affaiblir et lui nuire, il faut prouver encore que l'Ordre noble n'entre point dans l'organisation sociale ; qu'il peut bien être une charge pour la Nation, mais qu'il n'en saurait faire une partie...»

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