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  • av Friedrich Wilhelm Nietzsche
    175,-

    Ecce Homo, malgré sa brièveté, est l'un des livres les plus importants pour comprendre la pensée nietzschéenne dans son originalité. Au cours de ces quelque cent pages, Nietzsche invente un nouveau type d'écriture, tonitruant et virtuose, qui lui permet de réaliser son programme de « philosophie à coups de marteau ». Nulle part - hormis peut-être dans Le Crépuscule des idoles -, Nietzsche n'est aussi clair, dense et brillant.

  • av Bonaventure De Bagnorea
    165,-

    Cet un ouvrage mystique composé de sept chapitres qui correspondent aux sept jours de la création est à la fois un traité philosophique, théologique et mystique, et une méditation sur les chemins qu'emprunte l'élévation vers Dieu. Le prologue présente le projet ainsi : les six ailes du séraphin sont refermées sur lui-même : chaque méditation permet d'en lever une (les six premiers chapitres) ; la dernière méditation est le repos de l'extase mystique : « À l'exemple de notre père saint François, j'étais tout haletant à la recherche de cette paix, moi pauvre pécheur, indigne successeur du bienheureux père, depuis sa mort septième ministre général de ses frères. C'est alors qu'une inspiration, vers le trente-troisième anniversaire de son trépas, me conduisit à l'écart sur le mont Alverne, comme en un lieu de repos, avec le désir d'y trouver la paix de l'esprit. Là, tandis que je méditais sur les élévations de l'âme vers Dieu, je me remémorai, entre autres choses, le miracle arrivé en ce lieu à saint François lui-même : la vision du séraphin ailé en forme de croix. Or il me sembla aussitôt que cette apparition représentait l'extase du bienheureux père et indiquait l'itinéraire à suivre pour y parvenir. Stanislas Breton montre que cet ouvrage est une odologie (science du chemin) plutôt qu'une ontologie (science de l'être).

  • av John Ruskin
    265,-

    La Bible d'Amiens devait être le premier volume d'une série que Ruskin voulait consacrer à l'histoire du christianisme en Europe, sous le titre : Our Fathers Have Told Us, mais son œuvre s'arrêta à ce premier volume.Proust a rédigé une longue préface à sa traduction, accompagnée de nombreuses notes en bas de page.Le livre commence par l'histoire de l'avènement du christianisme en France puis à la construction de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens au XIIIe siècle. Ruskin retrace l'histoire de Firmin d'Amiens, évangélisateur de la Picardie selon la tradition catholique...

  • av Suetone
    275,-

    La Vie des douze Césars (en latin De vita duodecim Caesarum) est une œuvre de Suétone, auteur latin du Haut Empire. Il s'agit des biographies des premiers princes de Rome ayant porté le nom et le titre de César, de Jules César à Domitien. Caius Iulius Cæsar est en effet compris, car Auguste, premier véritable empereur de Rome, se place dans sa continuité, et ses successeurs dans sa filiation.Dans la Vie des douze Césars, Suétone nous dévoile également le fonctionnement de l'une des premières méthodes de cryptographie de l'Histoire, le Code de César, utilisé pour les correspondances secrètes de Jules César, qui, s'il n'exerça pas la fonction royale ou impériale, fut assassiné à cause de ses prétentions autocratiques, et est à l'origine du Principat, mis en place par son neveu Octave-Auguste.Suétone fut le modèle d'un genre littéraire historique, la série de biographies impériales, qui fut repris par ses continuateurs (Hérodien, Aurelius Victor, l'Histoire Auguste, etc.)

  • av Auguste Comte
    265,-

  • av Jules Cesar
    189,-

    La guerre civile de César, appelée aussi guerre civile romaine de 49 av. J.-C. ou guerre civile entre César et Pompée, est un des derniers conflits intérieurs de la République romaine, et fait partie de la liste des nombreuses guerres civiles romaines. Elle a consisté en une série de heurts politiques et militaires entre Jules César, ses alliés politiques et ses légions d'une part, et la faction conservatrice du Sénat romain, appelée aussi optimates, épaulée par les légions de Pompée d'autre part.Nombre d'historiens s'accordent à dire que la guerre civile fut la conséquence logique d'un long processus de crise des institutions politiques de la République, qui commença par le désastreux échec des réformes tentées par Tiberius Sempronius Gracchus, et se poursuivit par la réforme de l'armée de Caius Marius, qui firent des légions des unités entièrement dévouées à leur général. Le processus s'accéléra avec la dictature de Lucius Cornelius Sylla et enfin le Premier triumvirat. Que cette analyse soit plus ou moins correcte, ces événements n'en ébranlèrent pas moins les fondements de la République, et il est clair que César tourna habilement en sa faveur l'opportunité offerte par la décadence des institutions.

  • av Plutarque
    169 - 195,-

  • av Gabriel Tarde
    169

    “ L’apogée de la prospérité humaine, dans le sens superficiel et frivole du mot, semblait atteint. Depuis cinquante ans, l’établissement définitif de la grande fédération asiatico-américano-européenne et sa domination incontestée sur ce qui restait encore, çà et là, en Océanie ou dans l’Afrique Centrale, de barbarie inassimilable, avait habitué tous les peuples, convertis en province, aux délices d’une paix uni-verselle et désormais imperturbable. Il n’avait pas fallu moins de cent cinquante ans de guerres pour aboutir à ce dénouement merveilleux. Mais toutes ces horreurs étaient oubliées ; et tant de batailles effroyables entre des armées de trois et quatre millions d’hommes, entre des trains de wagons cuirassés, lancés à toute vapeur et faisant feu de toutes parts les uns contre les autres, entre des escadres sous-marines qui se foudroyaient électriquement, entre des flottes de ballons blindés, harponnés, crevés par des torpilles aériennes, précipités des nues avec des milliers de parachutes brusquement ouverts qui se mitraillaient encore en tombant ensemble ; de tout ce délire belliqueux, il ne restait plus qu’un poétique et confus souvenir. L’oubli est le commencement du bonheur, comme la crainte est le commencement de la sagesse... ” G. T.

  • av Gabriel Tarde
    275,-

    “ Tout ce que je souhaite, sans oser l’espérer, en publiant ce livre, c’est que le lecteur trouve à le lire autant de plaisir que j’en ai eu à le composer. Ce n’est pas que je m’aveugle sur ses imperfections et ses lacunes ; j’en ai même conscience à tel point que je me propose de revenir plus tard sur cette ébauche pour la compléter et la corriger. Mais ce sujet m’a plu, d’abord superficiellement, puis avec une sorte d’intérêt passionné. En commençant, je n’y avais vu que la joie intellectuelle d’échapper à des problèmes habituels d’ordre social, c’est-à-dire douloureux, par une étude qui, d’ailleurs, se reliait intimement à mes travaux antérieurs, par une promenade d’esprit à travers le monde, avec une jumelle spéciale en mains qui me permettait de tout apercevoir sous un angle aussi précis que varié, sous un point de vue d’une universalité étrange. Et je confesse m’être laisse aller quelque temps à ce charme facile et décevant de collectionner des antithèses, d’herboriser des contrastes, de regarder passer, à tous les étages superposés de la réalité physique, vivante, mentale, la procession des couples enchaînés de contraires qui s’y déroule éternellement. Mais, à lui seul, ce genre d’attrait ne m’eût pas retenu longtemps : l’antithèse est un procédé de composition dont l’abus, chez un Hegel comme chez un Victor Hugo, m’a toujours gâté les plus merveilleuses beautés de conception ou de style. Et je n’aurais pas tardé à m’en dégoûter si, à mesure que j’avan¬çais, un autre genre d’intérêt, plus puissant, plus poignant, ne fût venu se joindre et peu à peu se substituer au charme premier, me ramenant par un léger détour à mes préoccupations d’ordre social que j’avais eu l’illusion de croire écarter...” G. T.

  • av Confucius
    179,-

    Les Entretiens de Confucius, aussi connus sous le nom d’Analectes, est une compilation de discours de Confucius (551-479 av. J.-C.) et de ses disciples ainsi que de discussions entre eux.Écrits durant la période des Printemps et des Automnes jusqu’à la période des Royaumes combattants (de 479 av. J.-C. environ jusqu’en 221 ap. J.-C.), les Analectes sont l’œuvre représentative du Confucianisme et continuent à avoir une grande influence sur le mode de pensée et les valeurs des chinois et les peuples de l’Asie de l’Est.

  • av Jules Cesar
    239,-

    Ce récit de la guerre des Gaules est considéré comme un ouvrage d’histoire. Les sept premiers livres sont écrits par César pendant la campagne militaire depuis 58 av. J.-C., sont publiés à Rome par deux ou trois, puis rassemblés en trois mois après la reddition d’Alésia vers 52/51 av. J.-C. Le huitième livre est écrit plus tard par Aulus Hirtius, qui y décrit les derniers combats de 51 av. J.-C. et la situation en Gaule en 50 av. J.-C.L’intention avouée de César est, selon Aulus Hirtius, de « fournir des documents aux historiens sur des événements si considérables ». Cette œuvre n’est pas un ouvrage d’histoire traditionnel mais appartient au genre des Commentarii, recueil de notes brutes (commentarius) prises sur le terrain destinées à servir de base factuelle, d’où l’organisation strictement chronologique des huit livres, leur aspect strictement factuel et leur style extrêmement concis. L’ouvrage, écrit à la troisième personne, ne fournit aucune indication directe sur les opinions, pensées et jugements de César. Ses adjoints joignent des descriptions ethnographiques ou géographiques tirées d’auteurs grecs, et trient les données factuelles (notes dictées, lettres, rapports aux Sénat) rassemblées durant la guerre. César n’a ensuite plus qu’à rédiger la version définitive.

  • av Cicerón
    179,-

    Cet ouvrage est le premier traité rhétorique de Cicéron, écrit dans sa jeunesse vers 84/83 av. J.-C. C’est avec La Rhétorique à Herennius un des premiers ouvrages consacrés à cet art à avoir été rédigé en latin. Il fait la synthèse des méthodes rhétoriques élaborées par les Grecs pour l’« invention », première étape de la rédaction d’un discours. Bien que Cicéron ne le compte pas parmi ses œuvres remarquables, De inventione connaît un grand succès comme ouvrage pédagogique pour la rhétorique sous l’Empire romain et au Moyen Âge.

  • av Lucrèce
    239,-

    De rerum natura (De la nature des choses), plus souvent appelé De natura rerum, est un grand poème en langue latine du poète philosophe latin Lucrèce, qui vécut au 1er siècle avant notre ère. Composé de six livres totalisant 7 400 hexamètres dactyliques, mètre classique utilisé traditionnellement pour le genre épique, il constitue une traduction de la doctrine d’Épicure.Le poème se présente comme une tentative de « briser les forts verrous des portes de la nature », c’est-à-dire de révéler au lecteur la nature du monde et des phénomènes naturels. Selon Lucrèce, qui s’inscrit dans la tradition épicurienne, cette connaissance du monde doit permettre à l’homme de se libérer du fardeau des superstitions, notamment religieuses, constituant autant d’entraves qui empêchent chacun d’atteindre l’ataraxie, c’est-à-dire la tranquillité de l’âme. « Il n’y a sans doute pas de plus beau poème scientifique que le De Natura Rerum. »

  • - Deuxieme partie
    av Ibn Khaldoun
    299,-

    Les Prolégomènes est un livre écrit par l’historien Ibn Khaldoun, d’Afrique du Nord, en 1377 qui enregistre un début de conception musulmane de l’histoire universelle. Certains penseurs modernes le considèrent comme le premier ouvrage traitant de la philosophie de l’histoire ou, parmi les sciences sociales, de la sociologie, de la démographie, de l’historiographie ou de l’histoire culturelle ou comme l’un des précurseurs de l’économie moderne dans les temps anciens. Le travail traite également de la théologie islamique, des sciences naturelles, de la biologie et de la chimie. Ibn Khaldoun a écrit son ouvrage en 1377 comme préface à son premier livre sur l’histoire universelle, Kitab al-Ibar (recueil des préceptes), mais déjà de son vivant, Les Prolégomènes fut considérée comme une œuvre indépendante.

  • - Premiere partie
    av Ibn Khaldoun
    345,-

    Les Prolégomènes est un livre écrit par l’historien Ibn Khaldoun, d’Afrique du Nord, en 1377 qui enregistre un début de conception musulmane de l’histoire universelle. Certains penseurs modernes le considèrent comme le premier ouvrage traitant de la philosophie de l’histoire ou, parmi les sciences sociales, de la sociologie, de la démographie, de l’historiographie ou de l’histoire culturelle ou comme l’un des précurseurs de l’économie moderne dans les temps anciens. Le travail traite également de la théologie islamique, des sciences naturelles, de la biologie et de la chimie. Ibn Khaldoun a écrit son ouvrage en 1377 comme préface à son premier livre sur l’histoire universelle, Kitab al-Ibar (recueil des préceptes), mais déjà de son vivant, Les Prolégomènes fut considérée comme une œuvre indépendante.

  • av Charles De Rémusat
    155,-

    “ Il n’y a qu’une morale et il y a plusieurs religions. Tout le monde le dit du moins, et tout le monde a, ce semble, raison. Ce n’est pas que l’une et l’autre proposition aient passé sans observation et manqué de commentaires. Pour ébranler ou obscurcir l’une, on a invoqué la diversité des mœurs nationales, la variété des lois criminelles, l’inégalité des civilisations. On a facilement constaté les exceptions que l’ignorance, le préjugé et la passion avaient apportées dans la pratique aux principes généraux de la morale, de la justice et de l’humanité. On n’en a pu rien conclure de solide contre l’universalité de ces principes mêmes. Violés ou méconnus, ils conservent leur évidence, source de leur autorité, et quoiqu’ils ne triomphent que très imparfaitement dans l’histoire des hommes, une voix unanime a proclamé l’existence d’une loi naturelle. L’effort d’établir la réalité d’une religion naturelle qui dominerait tous les cultes divers a été moins heureux, surtout plus contesté. Ce n’est tout au plus qu’une vérité : philosophique qui se fonde par le raisonnement, qui s’obtient par l’analyse, et que n’acceptent pas même tous ceux qui se mêlent de spéculer sur ces matières. La multiplicité des religions établies sur la terre n’est pas seulement une objection à l’unité et à l’universalité religieuse, elle y est un obstacle et comme un perpétuel démenti. Tandis que les honnêtes gens de tout temps et de tout pays sont les plus empressés à reconnaître qu’il n’y a qu’une morale, les hommes religieux sont à toute époque et en toute contrée les moins disposés à subordonner les religions particulières à la religion naturelle, Ils sont, chacun dans son sens, les gardiens les plus jaloux, les plus obstinés de la diversité des cultes...”  

  • av Rene Bazin
    299,-

    Missionnaire français en terre musulmane, Charles de Foucauld était religieux chrétien, humaniste et grand spirituel. Plusieurs personnes sont encore fortement inspirées par la spiritualité de celui que l’on appelait « Frère Charles », le frère universel.En écrivant en 1921 sa biographie, René Bazin révélait au grand public une figure encore assez peu connue, même si certains milieux vantaient déjà une foi chrétienne missionnaire qui en faisaient un pionnier.

  • av Paul-Henri Thiry Baron D'Holbach
    239,-

    “ L’ignorance, les erreurs et les préjugés des hommes sont les sources de leurs maux. La vérité est le remède. Apologie de la Philosophie. De son utilité dans la Politique et la Morale. De l’influence des préjugés religieux et politiques sur les mœurs des hommes ; ils ont besoin des lumières pour être heureux et vertueux. La vérité doit tôt ou tard triompher de l’erreur...”

  • av Paul-Henri Thiry Baron D'Holbach
    325,-

  • av Charles Darwin
    359,-

    Dans cet ouvrage de Charles Darwin, publié le 24 novembre 1859, Charles Darwin explique le mécanisme présidant, selon lui, à l’évolution graduelle des espèces vivantes dans la nature.Malgré son titre, cet ouvrage est considéré aujourd’hui comme fondateur de la théorie de l’évolution moderne. Darwin mentionne différents prédécesseurs, à la fois concernant l’idée de « descendance avec modification » et l’idée de sélection naturelle.

  • av Ernest Renan
    289,-

    “ Après les trois ou quatre ans de la vie publique de Jésus, la période que le présent volume embrasse fut la plus extraordinaire de tout le développement du christianisme. On y verra, par un jeu étrange de ce grand artiste inconscient qui semble présider aux caprices apparents de l’histoire, Jésus et Néron, le Christ et l’Antéchrist opposés, affrontés, si j’ose le dire, comme le ciel et l’enfer. La conscience chrétienne est complète. Jusqu’ici elle n’a guère su qu’aimer ; les persécutions des juifs, quoique assez rigoureuses, n’ont pu altérer le lien d’affection et de reconnaissance que l’Église naissante garde dans son cœur pour sa mère la Synagogue, dont elle est à peine séparée. Maintenant, le chrétien a de quoi haïr. En face de Jésus, se dresse un monstre qui est l’idéal du mal, de même que Jésus est l’idéal du bien. Réservé comme Hénoch, comme Élie, pour jouer un rôle dans la tragédie finale de l’univers, Néron complète la mythologie chrétienne, inspire le premier livre saint du nouveau canon, fonde par un hideux massacre la primauté de l’Église romaine, et prépare la révolution qui fera de Rome une ville sainte, une seconde Jérusalem. En même temps, par une de ces coïncidences mystérieuses qui ne sont point rares aux moments des grandes crises de l’humanité, Jérusalem est détruite, le temple disparaît ; le christianisme, débarrassé d’une attache devenue gênante...”

  • av Ernest Renan
    169

    “ C’est le propre des grandes choses de se laisser embrasser à des points de vue très divers et de s’élargir avec l’esprit humain lui-même, en sorte que chaque homme, selon son degré de culture, et chaque siècle, selon qu’il comprend plus ou moins profondément le passé, trouvent, pour des motifs différents, à les admirer. Quand les critiques de l’antiquité et ceux du XVIIe siècle nous font part des beautés qu’ils croient découvrir dans Homère, la puérilité de leur esthétique nous étonne ; nous admirons Homère autant qu’ils le faisaient, mais pour de tout autres raisons. Quand Bossuet et M. de Chateaubriand croient admirer la Bible en admirant des contre-sens et des non-sens, la docte Allemagne a le droit de sourire, et pourtant l’admiration de Herder et d’Ewald, pour être plus éclairée, n’en est pas moins vive. Plus on envisagera le monde et le passé tels qu’ils sont, en dehors des conventions et des idées préconçues, plus on y trouvera de véritable beauté, et c’est en ce sens qu’on peut dire que la science est la première condition de l’admiration sérieuse. Jérusalem est sortie plus brillante et plus belle du travail en apparence destructeur de la science moderne ; les pieux récits dont on berça notre enfance sont devenus, grâce à une saine interprétation, de hautes vérités, et c’est à nous qui voyons Israël dans sa réelle beauté, c’est à nous autres critiques qu’il appartient vraiment de dire : Stantes erant pedes nostri in atriis tuis, Jérusalem !...” 

  • av Ernest Renan
    189,-

    “ Ce n’est donc pas ici un nouveau livre. C’est la « Vie de Jésus, » dégagée de ses échafaudages et de ses obscurités. Pour être historien, j’avais dû chercher à peindre un Christ qui eût les traits, la couleur, la physionomie de sa race. Cette fois, c’est un Christ en marbre blanc que je présente au public, un Christ taillé dans un bloc sans tache, un Christ simple et pur comme le sentiment qui le créa. Mon Dieu ! peut-être est-il ainsi plus vrai. Qui sait s’il n’y a pas des moments où tout ce qui sort de l’homme est immaculé ? Ces moments ne sont pas longs ; mais il y en a. C’est ainsi du moins que Jésus apparut au peuple ; c’est ainsi que le peuple le vit et l’aima ; c’est ainsi qu’il est resté dans le cœur des hommes. Voilà ce qui a vécu en lui, ce qui a charmé le monde et créé son immortalité.” E.R.

  • av Ernest Renan
    265,-

    “... Tel est le sujet de ce deuxième livre, que nous intitulons les Apôtres, parce qu’il expose la période d’action commune, durant laquelle la petite famille créée par Jésus marche de concert, et est groupée moralement autour d’un point unique, Jérusalem. Notre livre prochain, le troisième, nous fera sortir de ce cénacle, et nous montrera presque seul en scène l’homme qui représente mieux qu’aucun autre le christianisme conquérant et voyageur, saint Paul...”

  • av Ernest Renan
    155,-

    “... Eh bien, quelle est la situation du judaïsme? Est-ce quelque chose d’analogue au protestantisme, ou bien est-ce une religion ethnographique comme le parsisme ? Voilà le point sur lequel je voudrais que nous réfléchissions ensemble aujourd’hui...”

  • av Jacques Bainville
    299,-

  • av Jacques Bainville
    179,-

    “ La dictature est comme beaucoup de choses. Elle peut être la meilleure ou la pire des formes de gouvernement. Il y a d’excellentes dictatures. Il y en a de détestables. Bonnes ou mauvaises, il arrive d’ailleurs le plus souvent qu’elles soient imposées par les cir-constances. Alors les intéressés ne choisissent plus. Ils subissent.Il est particulièrement recommandable aux peuples de ne pas tomber dans une situation tel-le qu’ils n’aient plus qu’à subir et peut-être cette vue rapide et « cavalière » de l’histoire des dictateurs à travers les âges ne sera-t-elle pas inutile aux Français dans les conjonctures présentes.”

  • av Euripide
    169

    Les Suppliantes est une tragédie grecque d’Euripide, consacrée à la guerre des sept chefs. Elle est représentée pour la première fois vers 423 av. J.-C. Son titre fait référence à la présence continue du chœur et de femmes en pleurs sur la scène.

  • av Nikola Tesla
    169

    “ The progressive development of man is vitally dependent on invention. It is the most important product of his creative brain. Its ultimate purpose is the complete mastery of mind over the material world, the harnessing of the forces of nature to human needs. This is the difficult task of the inventor who is often misunderstood and unrewarded. But he finds ample compensation in the pleasing exercises of his powers and in the knowledge of being one of that exceptionally privileged class without whom the race would have long ago perished in the bitter struggle against pitiless elements.Speaking for myself, I have already had more than my full measure of this exquisite enjoyment, so much that for many years my life was little short of continuous rapture. I am credited with being one of the hardest workers and perhaps I am, if thought is the equivalent of labor, for I have devoted to it almost all of my waking hours. But if work is interpreted to be a definite performance in a specified time according to a rigid rule, then I may be the worst of idlers. Every effort under compulsion demands a sacrifice of life-energy. I never paid such a price. On the contrary, I have thrived on my thoughts...” N. T.

  • av Marivaux
    179,-

    Une jeune paysanne, Silvia, a été enlevée : elle est retenue dans le palais du prince car celui-ci l’aime, bien qu’elle soit déjà éprise d’un jeune homme de son village : Arlequin. Flaminia, une conseillère du prince, puis Trivelin tentent de rompre l’amour entre les deux jeunes gens. Contrairement à Trivelin, Flaminia réussit à gagner leur sympathie et leur confiance. Ainsi, Silvia lui avoue que, malgré son amour pour Arlequin, elle aime un officier du palais qui lui a rendu visite plusieurs fois. Mais, elle ignore qu’il s’agissait, en fait, du prince incognito. Peu à peu, les deux jeunes paysans se laissent séduire par la vie de château. Arlequin tombe amoureux de Flaminia et néglige un peu trop Silvia. Il ne reste plus au prince qu’à dévoiler sa véritable identité et tout se termine bien par deux mariages consentants.

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