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  • av Michel Corday
    189,-

    «... C’est encore cette tradition qui m’incite à écrire une vie de Charlotte Corday. Il me plaît de laisser à mes quatre petits-enfants, Pierre et Lise, Yvette et Claude, une histoire de leur « cousine ». Je dois dire aussi que les circonstances m’ont conduit récemment à écrire deux essais biographiques et que la pensée me séduit de compléter le triptyque : j’avais été l’ami d’Anatole France pendant ses douze dernières années et je crus devoir fixer après sa mort, sous la forme durable du livre, l’essentiel de ce que je savais de lui, par lui ; peu après, on m’offrit d’écrire pour une collection la vie sentimentale d’un personnage célèbre et je choisis Diderot, que j’aimais et que j’admirais entre tous...»

  • av Eva Jouan
    239,-

    “... Adossée, languissante, à une baraque de saltimbanque, dans sa courte jupe blanche pailletée, à la ceinture de soie pourpre, dont le corsage décolleté montrait son cou et ses bras graciles, elle semblait être bien loin de toute cette foule exubérante de gaieté. Son visage, d’une blancheur de cire, ressortait encore plus pâle sous le camélia rouge piqué dans les riches ondes de sa chevelure ; sa bouche mignonne, à peine rosée comme si le sang n’y circulait plus, se courbait sous la pensée amère, et ses petites mains pendaient, lassées, sur sa robe de gaze,Elle pouvait avoir huit ans.Pourquoi, à cet âge heureux où nul souci n’assombrit le front pur, pourquoi cette enfant était-elle ainsi blême et triste sur ces tréteaux où retentissent toujours les rires les plus bruyants ? Elle seule aurait pu le dire, si ses lèvres ne s’étaient serrées parfois comme pour ne pas laisser échapper son secret...”

  • av Rene D'Anjou
    265,-

    En 1909 Renée Gouraud d’Ablancourt publie dans La mode du Petit Journal (supplément) les histoires de l’Oiselle - au civil Véga de Ortega - qui se transforme en super-héroïne grâce à son costume ladybird, une combinaison aux ailes artificielles qui lui permet de survoler Paris où elle mène ses aventures. Elle possède une panoplie de gadgets dont un système de vision nocturne et des pilules qui lui permettent de ne pas dormir. Le feuilleton est réédité sous format roman en 1912 sous le titre Vega la magicienne. 

  • av Capitaine Danrit
    239,-

    Le capitaine Danrit a écrit cet ouvrage pour essayer de convaincre quelque Mécène français de la possibilité d’atteindre le pôle en dirigeable et d’y planter avant toute autre puissance le drapeau tricolore.Depuis qu’il a assisté aux essais du République, vu les plans de l’ingénieur Julliot pour la construction d’un aérostat de 100 mètres de long, constaté la résistance au vent de ce long fuseau effilé et remarquablement maniable, l’auteur de la Guerre de demain, de Guerre fatale, d’Invasion jaune, d’Ordre du Tzar et de dix autres ouvrages aimés de la jeunesse, est lui-même convaincu que la réalisation de cette hypothèse est sortie du domaine de l’utopie, et comme rien ne vaut le roman pour incruster une idée dans l’opinion, il a écrit le roman le plus captivant qui soit pour démontrer victorieusement la valeur de sa thèse. Robinsons de l’air est le digne pendant de Robinsons sous-marins qu’a couronné dès son apparition l’Académie française.

  • av Henri Duvernois
    189,-

    “ En automobile, pour la première fois depuis bien longtemps, M. Cyprien Jeansonnet livrait à la caresse du vent printanier sa tête auguste et candide, agréablement ronde, classiquement glabre et dont la bouche spirituelle contrastait avec des yeux limpides, d’une tranquille naïveté. Il avait posé son chapeau de soie sur ses genoux et laissait flotter ses longs cheveux gris. Ainsi, tressautant et inquiété par la rapidité de la course, il franchit le boulevard des Capucines, la rue Royale, la place de la Concorde, le pont, et pénétra dans l’ombre studieuse de la rive gauche...”

  • av René Benjamin
    249

    Lors de la Première Guerre mondiale, René Benjamin est gravement blessé près de Verdun en septembre 1914 et évacué à l’hôpital de Saumur. Il dut y séjourner plusieurs mois et écrivit les souvenirs et impressions de sa courte période de guerre dans une série d’articles que Lucien Descaves l’encouragea à transformer en roman, puis à concourir pour le prix Goncourt. Seul roman de guerre en compétition, il obtint le prix.

  • av Ernest Renan
    155,-

    “... La mémoire des hommes n’est qu’un imperceptible trait du sillon que chacun de nous laisse au sein de L’infini. Elle n’est cependant pas chose vaine. La conscience de l’humanité est la plus haute image réfléchie que nous connaissions de la conscience totale de L’univers. L’estime d’un seul homme est une partie de la justice absolue. Aussi, quoique les belles vies n’aient pas besoin d’un autre souvenir que de celui de Dieu, on a toujours cherché à fixer leur image. Je serais d’autant plus coupable de ne pas rendre ce devoir à ma sœur Henriette que seul j’ai pu connaître les trésors de cette âme élue. Sa timidité, sa réserve, cette pensée chez elle arrêtée qu’une femme doit vivre cachée, étendirent sur ses rares qualités un voile que bien peu soulevèrent. Sa vie n’a été qu’une suite d’actes de dévouement destinés à rester ignorés. Je ne trahirai pas son secret ; ces pages ne sont pas faites pour le public, et ne lui seront pas livrées. Mais ceux qui ont été du petit nombre à qui elle se révéla me feraient un reproche si je ne cherchais à mettre par ordre ce qui peut compléter leurs souvenirs...”

  • av Michel-Jean Sedaine
    179,-

    Le riche négociant, Vanderk, marie sa fille. Le jour même, son fils doit se battre en duel contre un officier qui a traité tous les commerçants de fripons. Considérant que son père a été insulté, le fils provoque l’officier en duel. L’atmosphère de fête liée au mariage est assombrie par la perspective de ce duel. La scène centrale de la pièce met en scène l’échange entre le père et le fils : le fils se demande si son père a réellement été insulté et s’il ne risque pas de tuer un innocent. Le père condamne le duel, « préjugé funeste » et « abus cruel du point d’honneur », mais il ne détourne pas son fils de son projet pour sauver son honneur.

  • av Louis Hemon
    189,-

    “ La grande salle du National Sporting Club, celle où se donnent les combats, qui est une ancienne salle de théâtre transformée, achevait de se vider. Les derniers spectateurs s’en allaient à la file et, pour regagner le vestibule et la porte de la rue, traversaient un côté de la salle à manger du Club. Dans cette dernière, autour de petites tables espacées ça et là sur les épais tapis, nombre de gentlemen et de noblemen s’étaient réunis, qui pour boire, qui pour souper plus copieusement, entre amis et membres, maintenant que les intrus amenés là par le seul spectacle des combats étaient partis...”

  • av Léon Ville
    189,-

    “... L’endroit où ils se trouvaient était complètement dépourvu de broussailles. Seuls, d’énormes blocs de roc s’élevaient de loin en loin; les arbres, d’une hauteur prodigieuse, formaient un immense dôme de verdure que, pendant le jour, le soleil ne parvenait que difficilement à percer ; aussi, à cette heure avancée, l’obscurité était-elle profonde ; mais les Indiens ont ceci de particulier que leur vue perçante peut fouiller les ténèbres, à travers lesquelles ils voient distinctement des objets que les Européens n’apercevraient même pas ; de plus, ils sont doués d’une ouïe si subtile qu’ils perçoivent à de longues distances les bruits les plus légers...”

  • av Maurice Renard
    239 - 265,-

  • av Maurice Renard
    179 - 195,-

  • - L'extraordinaire aventure de Mme M. d'Andurain
    av Marga d'Andurain
    235,-

    «... Mais à mesure que j’avançais en âge mon cas s’aggravait. J’acquérais un secret mépris et une horreur de la vie paisible et ponsive dont ma famille donnait l’exemple et que menaient, comme elle, toutes les familles des environs. Le code des convenances, le rite des réceptions, l’affreuse banalité des visites échangées, me causaient des haut-le-cœur. Ayant à peine atteint huit ans, je me disais qu’il suffisait de vouloir pour réussir et je me jurais à moi-même que je partirais le plus tôt possible vers des pays de liberté et de soleil.Alors mon indiscipline intérieure, que j’avais un peu retenue jusque-là, dissipa soudain les apparences de ma docilité extérieure. Les choses se gâtèrent, l’insubordination devint le moindre de mes défauts et on me mit pensionnaire au couvent, à 9 ans révolus.Le franchise nette et brutale qui domine chez moi, me rendit odieuse. On vous apprend, on vous ordonne pendant toute votre enfance de dire la vérité, on vous enjoint de ne jamais mentir, et, lorsque vous vous conformez trop complètement aux conseils reçus, vous êtes maladroite, vous vous faites détester...»

  • av Marga d'Andurain
    239,-

    Ces souvenirs sont une référence pour connaître les mœurs au Proche-Orient pendant les années de 1925 à 1934. Ils sont aussi une autobiographie remarquable pour connaître Marga d’Andurain, une femme aventurière, anticonformiste, qui fut la propriétaire de l’hôtel Zénabie de Palmyre…

  • av Georges De Peyrebrune
    189,-

    Par sa vérité d'observation, par la beauté de ses paysages, et surtout par la profonde pitié qu'il fait éprouver pour cette malheureuse et inconsciente fille des champs, ce remarquable roman vous donne une émotion pareille à celle que l'on ressent devant les tableaux de Millet. Octave Mirbeau s'est inspiré des thèmes de ce roman pour élaborer l'intrigue de plusieurs de ses œuvres, notamment le Journal d'une Femme de Chambre.

  • av Marcelle Tinayre
    235,-

  • av Nicolas Berdiaeff
    235,-

    «... Je ne crois pas à la méthode phénoménologique, qui peut être féconde en psychologie et nous aider à comprendre le métaphysique et le métahistorique, mais la seule méthode que j'admette, à supposer qu'on puisse l'appeler méthode, est la méthode existentielle-anthropocentrique et spirituelle-religieuse. Husserl veut appliquer la méthode phénoménologique à l'étude des essences et Heidegger à celle des existences. Mais cette méthode fait disparaître les existences, et il se produit une objectivation qui cache le mystère de la vie humaine, celui du monde et de Dieu. C'est l'expressionnisme qui est la seule méthode certaine en philosophie. La seule métaphysique possible est la métaphysique prophétique, au sens que donne à ce terme Jaspers, et la métaphysique de grand style a toujours été prophétique. La philosophie existentielle constitue l'expression de mon destin personnel, mais mon destin doit être l'expression de celui du monde et de l'homme en général...».

  • av Francois Pillon
    155,-

    «... Je me propose de montrer que la conception de la vie, la philosophie biologique, à laquelle Claude Bernard a été conduit par ses expériences et ses méditations, est fort différente de celle que l'école matérialiste et l'école positiviste ont vulgarisée. La comparaison ne manque pas d'intérêt ; on la trouvera, je l'espère, concluante. Je commence par faire connaître exactement la conception des écoles positiviste et matérialiste...»

  • av Nicolas Gogol
    235,-

    Le bourgmestre et toute l'administration d'une petite ville de la province russe sont en émoi, dans l'attente du « Revizor », inspecteur envoyé incognito par le gouvernement. Dans la panique que provoque cette arrivée, les fonctionnaires et autres officiels de la ville, qui ont bien des choses à se faire pardonner, débordent alors d'activité et prennent toutes sortes d'initiatives pour dissimuler leurs méfaits.Comment recevoir cet inspecteur au mieux ? Et d'ailleurs, comment l'identifier ? Deux habitants croient le reconnaître en la personne d'un jeune voyageur exigeant récemment arrivé à l'auberge. Au lieu de l'ardoise qu'il attend, celui-ci va être couvert d'honneurs et de flatteries. Même après avoir réalisé qu'il s'agit d'un quiproquo, le jeune homme se jouera de la méprise des fonctionnaires qui, abusés et terrorisés, se prêteront à toutes les bassesses pour complaire à celui qu'ils imaginent être le « revizor », allant jusqu'à croire habile de devancer ses attentes quand il n'en formule même pas.

  • av Eugene Viollet-Le-Duc & Ferdinand de Guilhermy
    189,-

    «... Cette vaste église était alors dépourvue de chapelles, ou, s'il en existait, elles n'étaient qu'au nombre de trois, fort petites, et situées derrière l'abside; car on a retrouvé la corniche extérieure du double bas-côté sur presque tous les points de la circonférence de ce double bas-côté absidal : ces chapelles ne pouvaient donc être percées qu'au-dessous de cette corniche, et, par conséquent, n'occuper qu'une faible hauteur et un petit espace. On pourrait croire plutôt que trois autels étaient placés contre la paroi de ce double bas-côté ; l'un dédié à la Vierge, l'autre à saint Étienne, et le troisième à la Sainte-Trinité. Mais ce qu'on avait voulu surtout obtenir en traçant ce plan si simple, c'était un grand espace pour contenir le clergé et la foule, devant et autour de l'autel principal placé au centre du sanctuaire...».

  • av Jeanne Loiseau
    249

    «... Des officiers s'asseyaient en riant, avec de grands bruits de sabre, ne résistant pas au désir de s'attarder dans ce ravissant décor, de regarder aller et venir les femmes, qui, toutes, portaient épanouie dans les yeux et sur les lèvres, une folle floraison printanière de coquets sourires et de provocants coups d'œil.C'était une griserie générale, si évidente et si universellement sentie, que tous ces gens avaient un air de joyeuse en-tente. Les regards se parlaient, à défaut des bouches. On mettait en action, ce matin-là, sur le Boulevard, le mystérieux roman que Baudelaire fait tenir tout entier dans ce vers plein de profonde passion inassouvie : Ô toi que j'eusse aimée ! Ô toi qui le savais ! ...».

  • av Georges Ohnet
    249

    Girani se vante d'avoir séduit une jeune femme que Ploërné connaît, le tue en duel. Ploërné préfère épouser Lydie que celle qu'il pensait être la jeune femme. Or Lydie, follement amoureuse de Girani, décide de se venger et de ruiner son mari...

  • av Paul Bourget
    239,-

    Roman d'analyse et d'éducation pour les générations nouvelles de l'époque, ce chef-d'œuvre de Paul Bourget est aussi un roman à thèse puisque l'écrivain y dénonce la responsabilité du maître à penser et accuse la science moderne de s'être substituée à la religion sans fournir de morale.

  • av Paul Bourget
    239,-

  • av Jean Racine
    169

  • av Maurice Barres
    179,-

    «... Après deux années, enfin, mon voyage prend forme dans mon souvenir, et la Grèce me parle utilement. Ce long recul fut nécessaire, pour que d'un tel discours, deux, trois conseils se dégageassent. Quand on a tenu des objets nombreux et nouveaux devant son regard, il faut laisser mourir les images qui ne peuvent pas vivre. L'élaboration fut pénible. Ce n'était pas moi qui résistais aux puissances d'Athènes, c'était Venise, Séville, Tolède qui se débattaient en moi. Elles voulaient subsister. Athènes, par sa perfection, humilie, efface l'univers. Ces belles villes, mes anciennes favorites, menacées de glisser au rôle de servantes, me disaient d'une voix pressante : - Tu penches à nous sacrifier. Que feras-tu de cette reine morte ? Elle ne peut qu'irriter en toi l'intelligence de ton irrémédiable subalternité...»

  • av Maurice Barres
    155,-

    «... Heureuses ces nations où tous les mouvements sont liés, où les efforts des honnêtes gens s'accordent comme si un plan avait été combiné par un cerveau supérieur, où les choses essentielles ne sont pas remises à chaque instant en discussion, où les hommes de valeur, après qu'ils se sont agités de leur mieux dans la collectivité, n'ont pas cette tristesse de sentir qu'ils l'ont ébranlée ou qu'ils ont travaillé dans le vide, mais constatent, avant de mourir, qu'ils ont eu une action directe sur la marche de leur pays et que quelque chose d'eux-mêmes se prolongera dans la conscience nationale !...»

  • av Plaute
    165,-

    Phédrome est amoureux de Planésie, une courtisane, mais il n'est pas assez riche pour l'acheter. Il envoie son esclave Charançon (qui est donc le servus calidus, l'esclave rusé et démiurge de la pièce) en Carie pour chercher de l'argent. Celui-ci revient en disant qu'il n'a pas obtenu l'argent nécessaire, mais en ayant cependant une idée : il a rencontré un soldat. Or ce soldat est justement à la recherche d'un banquier à qui il a confié son argent. Il voulait retirer cet argent pour acheter une courtisane dont il est amoureux et qui se nomme... Planésie. Charançon a compris qu'il y avait un coup à jouer. Il s'est donc invité à manger chez le soldat à qui il a proposé de jouer aux dés. Pendant la soirée, Charançon a rempli soigneusement le verre du soldat qui a fini par tomber de sommeil, alors Charaçon lui a subtilisé son anneau, qui porte le sceau du soldat. C'est ainsi que Charançon revient voir son maître Phédrome en lui proposant d'écrire une lettre demandant le remboursement de la somme d'argent, de la sceller avec la marque du sceau du soldat, puis d'aller la porter au banquier, un nommé Lycon. Charançon aborde donc le banquier en se présentant comme le serviteur du Soldat, le banquier, qui ne voit pas la supercherie l'accompagne chez le léno, le tenancier de Lupanar, c'est-à-dire l'entremetteur de la jeune fille. Après quelques réticences et quelques railleries de Charançon, le léno accepte de vendre la jeune fille, en acceptant de rendre la somme payée au cas où quelqu'un viendrait déclarer qu'elle est en réalité libre, et non esclave : évidemment, c'est Phédrome, et non le militaire qui achète ainsi la courtisane. Lorsqu'il vient réclamer son argent à son banquier, le militaire est justement bien étonné d'apprendre que la somme a déjà été rendue. Entre temps, Planésie, la courtisane, reconnait le sceau que porte Charançon : c'est celui de sa famille et en rencontrant le militaire, ils comprennent qu'ils sont frère et sœur, car elle a été enlevée étant encore enfant. Il la donne donc en mariage à Phédrome. La dernière scène montre le militaire en train de molester le léno pour récupérer son argent, puisque la jeune fille est désormais reconnue libre.

  • av Alexandre Dumas
    149,-

    En mai 1637, la colombe Iris revient chez sa maîtresse, une religieuse du nom d'Isabelle de Lautrec, au bout d'une semaine d'absence. Quelle surprise pour Isabelle de retrouver, accrochée à la patte de sa colombe, une lettre d'un correspondant mystérieux. Piquée par la curiosité, elle veut en savoir plus et un échange régulier de lettres commence alors. Or il s'avère que ce religieux qui lui écrit n'est autre qu'Antoine de Bourbon, comte de Moret et fils d'Henri IV qu'elle croyait mort à la bataille de Castelnaudary! Pour elle et pour lui qui s'aimaient et devaient se marier, c'est une souffrance qui s'arrête quand ils comprennent pourquoi ils n'ont pu se retrouver après la blessure du comte...

  • av Octave Mirbeau
    189,-

    Au cours d'une fin de semaine passée dans son château du Perche, le richissime parvenu Isidore Lechat, qui dispose d'un grand quotidien indispensable à ses affaires, en traite deux qui sont susceptibles de renforcer encore sa puissance financière et sa surface sociale : d'un côté, il reçoit, de deux ingénieurs électriciens, Gruggh et Phinck, qui ont besoin d'un financeur, des propositions d'exploitation d'une chute d'eau riche de potentialités de profits, et il parvient à leur imposer sa loi ; de l'autre, il envisage de marier sa fille Germaine au fils d'un noble décavé, le marquis de Porcellet, son voisin, qu'il tient à sa merci, mais ce projet se heurte à la résistance de la jeune femme. Révoltée, intellectuellement et sexuellement émancipée, Germaine juge son père, souffre de la misère engendrée par ses vols, et choisit la liberté : préférant la misère à un luxe homicide, elle part avec son amant, le chimiste Lucien Garraud, employé de son père, et elle se vante de l'avoir choisi, ce qui a profondément choqué les critiques de l'époque : à leurs yeux, elle n'était qu'une fille dénaturée !

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