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  • av Renée Dunan
    189,-

  • av Renée Dunan
    249

  • av Paul Valery
    155,-

  • - Tomes 3-4
    av Honore de Balzac
    189,-

  • - Tomes 1-2
    av Honore de Balzac
    179,-

  • - Volume 1: Raphaelle
    av Hector Malot
    249

  • av Paul Valery
    179,-

  • av Georges Lebas
    179,-

  • av Jules Renard
    169

  • av Vittorio Alfieri
    179,-

  • av Robert de La Sizeranne
    189,-

  • av Louis Hemon
    155,-

    «... Lizzie Blakeston était, à l’âge de douze ans, la meilleure danseuse de Faith street, de Cambridge road et peut-être de tout Mile-End, simplement. Qu’un orgue se fit entendre dans un rayon d’un quart de mille autour de sa demeure, et elle arrivait en courant, assujettissant d’une main sur sa tête un canotier délabré. Elle réparait rapidement le désordre de sa toilette tirait un bas, relevait une manche, repoussait dans le rang un faisceau de mèches rebelles, puis elle dansait, et les ballerines locales rentraient dans l’ombre...»

  • av Paul Valery
    179,-

  • av George Sand
    255,-

  • av George Sand
    249

  • av Anatole France
    169

  • av Sophocles
    339,-

  • av William Morris
    249

  • av Maurice Leblanc
    189,-

  • av Denis Diderot
    235,-

  • av Leon Daudet
    235,-

  • av Jean Balde
    235,-

    «... Les rosiers et la vigne vierge tapissaient les murs. On ne voyait aussi que de vieilles fleurs dans les massifs de la terrasse. La gerbe d’eau des arrosoirs passait éternellement, les soirs de chaleur, sur la pourpre opaque des géraniums, les grappes bleu-violet des héliotropes et le doux cornet des pétunias, flexibles, fripés par le grand soleil, tout englués de sève sucrée, dont le crépuscule développait l’odeur délicate. Les bordures étaient faites d’une plante basse, dont les feuilles semblaient des langues de feutre grisâtre...»

  • av Leon Daudet
    249

    “... Clemenceau, que Mme Brindza ne gênait guère, avait décidé de rentrer chez lui à pied. La marche lui ouvrait les idées et celles-ci parcouraient son alerte imagination d’orateur, avec la rapidité de l’éclair, entremêlées de souvenirs de ses parents et de la Vendée, car il était naturellement émotif, bien que marqué de rudesse, de sarcasme et d’indifférence. Le besoin de la Revanche, cela n’était pas un mot, certes. À Bordeaux, Scheurer-Kestner et lui avaient senti, en commun, l’arrachement des deux chères provinces, avec une intensité extraordinaire, qu’ils n’auraient jamais soupçonnée auparavant… la livre de chair de Shylock. Ces Allemands étaient un grand peuple, mais foncièrement ennemi qui, avec le temps, demeurerait tel. Comment pouvait-on songer à s’entendre avec des gens pareils ?...”

  • av Leon Daudet
    385,-

    “ Je commence, avec cet ouvrage, la publication de mes souvenirs et je compte la poursuivre régulièrement désormais. Ce premier recueil de quatre volumes porte sur une période d’environ trente ans, pendant lesquels j’ai été à même d’approcher et de fréquenter les personnalités les plus notoires de la littérature, de la médecine et du milieu politique républicain. Fils d’un écrivain célèbre et qui avait non seulement le goût, mais la passion des échantillons humains, depuis le vagabond de la route jusqu’au plus raffiné des artistes, j’ai été en relations avec beaucoup de gens que je n’avais pas choisis et dont je devais être violemment séparé plus tard par les circonstances de la vie, ou des divergences fondamentales. Polémiste nationaliste, puis royaliste, j’ai été amené à traiter rudement ceux que je considérais comme les ennemis de mon pays. Quelques-uns d’entre eux — Zola, par exemple — faisaient partie de l’entourage d’Alphonse Daudet. Je n’ai pas cru devoir les ménager pour cela, n’ayant par ailleurs reçu d’eux que les témoignages les plus banaux de sympathie à l’endroit d’un jeune confrère. Je compte persévérer dans cette attitude. Deux personnes seulement m’ont encouragé et soutenu dans mes débuts : mon père, qui m’a mis la plume à la main ; Mme Edmond Adam, qui a publié, dans la Nouvelle Revue, mes premiers essais. Pour le reste, je me suis débrouillé tout seul. Mon indépendance vis-à-vis de mes contemporains est absolue...”

  • av Jules Laforgue
    189 - 235,-

  • av Lucie Boissonnas
    179,-

    Et Robert Lee, l’héritier de Washington, le glorieux commandant en chef des troupes confédérées, voulant mettre ses dernières forces au service de son pays, se fit directeur d’un collège : — « J’ai vu, dit-il, un grand nombre de jeunes gens du Sud tomber sous mon drapeau, je veux employer ma vie à faire de ceux qui restent des hommes de devoir. »

  • av Michel Corday
    179,-

    «... Si la mise de Diderot était tellement négligée, c’est qu’il menait, depuis dix ans, la vie la plus rude et la plus éparse. Élève des Jésuites, d’abord à Langres, sa ville natale, puis à Paris, il avait ensuite étudié le droit pendant deux ans chez le procureur Clément de Ris, toujours à Paris. Ce stage terminé, son père, maître coutelier à Langres, lui donne le choix entre deux partis : « Prenez un état ou revenez avec nous. » Denis Diderot repousse l’un et l’autre. En particulier, il refuse de devenir médecin « parce qu’il ne veut tuer personne ». Il entend rester indépendant et continuer d’apprendre. Il veut mener à Paris une vie à la fois libre et studieuse.Il vénérait son père, homme rigide et pieux, renommé dans sa ville pour son jugement et sa probité. Mais ils étaient aussi obstinés l’un que l’autre. Bien qu’il eût quelque aisance, le maître coutelier supprima la pension de son fils...»

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