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  • av Alexei Pissemski
    349,-

    Ce roman une charge contre les abus qui affectent l’administration russe. Kalinovitch jeune homme pauvre et orphelin arrive dans une petite ville de province afin d’y prendre la place de principal de collège. Mais Kalinovitch ne peut se contenter d’une vie aussi médiocre. Intelligent, il veut s’élever dans la société...

  • av Fyodor Rechetnikov
    235,-

    Ce roman raconte les aventures de deux crève-la-faim qui vont tenter d’échapper à la mort qui les guette depuis leur naissance dans un hameau sibérien moche, sale et pauvre. Les péripéties ne vont pas manquer, tantôt tragiques, tantôt drôles, le passage par la case prison les déroute mais ne les décourage pas...

  • av George Sand
    169

    Du mois de septembre 1870 au mois de février 1871 alors que Paris a capitulé, George Sand tient le journal, à la fois de sa vie personnelle et des réflexions que lui inspirent les évènements. L’été a été caniculaire et continue à l’être au grand désespoir des paysans. le 19 juillet Napoléon III a déclaré la guerre à la Prusse...

  • av Tristan Bernard
    179,-

  • av Delphine de Girardin
    265,-

    « Pas un obstacle insurmontable ne nous sépare… ni les déserts, ni la mer, ni même la volonté de quelqu’un… car l’homme à qui je suis liée ne souffrirait pas de notre amour ; il l’ignore, il ne peut le comprendre… Il n’y aurait pour lui, dans ma trahison, ni larmes, ni fureur, ni souffrance d’orgueil ou d’amour… Je puis t’aimer sans craindre un reproche ; je puis courir vers toi sans qu’une main m’arrête… et cependant je n’y vais pas… J’ai cette force. Tu m’attends, tu m’appelles, et je reste là… Oh ! c’est mal…»

  • av Delphine de Girardin
    179,-

    «... Maman, c’est Noël qui veut absolument que vous parliez au maître maçon pour cette nouvelle grange que vous vouliez faire bâtir, il y a trois mois… avant notre malheur. Je lui dis que vous n’êtes plus disposée à vous occuper d’affaires, que vous ne pouvez penser à cela maintenant. Il ne m’écoute pas… Il est fou… il va faire monter cet homme… il dit que ça ne coûtera presque rien...»

  • av Juliette Lamber
    235,-

    «... Les théories de M. Proudhon sur l’amour sont trop arriérées, trop en dehors du sentiment général, pour qu’elles aient sur nos contemporains quelque puissance de prosélytisme. Ses doctrines sur la femme sont tout autrement dangereuses ; elles expriment le sentiment général des hommes qui, à quelque parti qu’ils appartiennent, progressistes ou réactionnaires, monarchistes ou républicains, chrétiens ou païens, athées ou déistes, seraient enchantés qu’on trouvât le moyen de concilier à la fois leur égoïsme et leur conscience en un système qui leur permît de contester les bénéfices de l’exploitation appuyée sur la force, sans avoir à craindre les protestations fondées sur le droit...»

  • av Juliette Lamber
    179,-

    «... La mariée étant prête et l’heure venue, chacun prit sa chacune et on se mit en marche pour la mairie. Les trois noces se rencontrèrent dans les chemins et on vit une assez belle moitié du cortège ; mais c’est au sortir de l’église que je vous en parlerai plus longuement.Nous voilà donc à la mairie. Si vous voulez faire connaissance avec notre maire, vous ne pouvez trouver une meilleure occasion. Allez, c’est un homme indifférent à un chacun, qui ne s’inquiète de rien au dehors et se tourmente de tout chez lui. Notre mairesse ne se plaint à âme qui vive, mais j’opine qu’elle est moins heureuse que de droit...»

  • av Juliette Lamber
    235,-

    «... Malgré ce qu’il recèle d’ironie, j’accepte l’échange avec gratitude, comme tout ce qui me vient de vous, cruelle. Si je mets des larmes dans les yeux de l’amant de Laure, c’est que je n’y puis mettre une espérance. J’attends le coucher de soleil. M’autorisez-vous à le traduire en tableau, à le peindre, et à vous l’offrir, s’il est digne de la description ?...»

  • av Andre Suares
    249

    “... Je ferai donc le portrait de Jan-Félix Caërdal, le Condottière, dont c’est ici le voyage. Je dirai quel était ce chevalier errant, que je vis partir de Bretagne pour conquérir l’Italie. Car désormais, dans un monde en proie à la cohue et à la plèbe, la plus haute conquête est l’œuvre d’art.Caërdal a trente-trois ans. Les années d’océan et de brume donnent de l’espace à l’âme. C’est un homme qui a toujours été en passion. Et c’est par là qu’on l’a si peu compris...”

  • av Andre Suares
    155 - 179,-

  • av Vladimir Dahl
    155,-

    «... Mais où est donc Podgornoff, ce Cosaque de Gourieff, à tête chauve, qui est toujours de service, tour à tour occupé sur le cordon, auprès des sultanes, auprès du chan, tantôt dans les régiments, tantôt sur mer près des cen-teniers ? Il est au premier rang des serviteurs zélés, mais il ne veut pas d’honneur : le grade d’ouriadnik lui fait peur ; car Podgornoff est pauvre et a une nombreuse famille...»

  • av Andre Laurie
    249

    Quelques privilégiés sont invités à assister aux opérations médicales de trois «sujets». Ils sont accueillis par le Dr Cordat et son collaborateur, le mystérieux baron Tasimoura, vêtus de blouses et casqués. Les opérations sont réalisées en un clin d’œil malgré la gravité des affections… L’humain peut-il obliger «l’autre, le non humain» à se plier à ses codes moraux? Jusqu’où la poursuite de la science trouve-t-elle ses limites?...

  • av Charles Malato
    195 - 235,-

  • av Richard Cantillon
    235,-

    « La Terre est la source ou la matière d’où l’on tire la Richesse ; le travail de l’Homme est la forme qui la produit : et la Richesse en elle-même, n’est autre chose que la nourriture, les commodités et les agréments de la vie.La Terre produit de l’herbe, des racines, des grains, du lin, du coton, du chanvre, des arbrisseaux et bois de plusieurs espèces, avec des fruits, des écorces et feuillages de diverses sortes, comme celles des Meuriers pour les Vers à soie ; elle produit des Mines et Minéraux. Le travail de l’Homme donne la forme de richesse à tout cela.Les Rivières et les Mers fournissent des Poissons, pour la nourriture de l’Homme, et plusieurs autres choses pour l’agrément. Mais ces Mers et ces Rivières appartiennent aux Terres adjacentes, ou sont communes ; et le travail de l’Homme en tire le Poisson, et autres avantages...»

  • av Henri Stein
    179,-

    « Il est un sentiment bien humain, qui veut qu’en parcourant les salles d’un musée, en visitant une collection d’art, instinctivement on s’arrête avec complaisance devant les œuvres dont les auteurs sont connus ; et plus le nom de l’artiste vous est familier, plus votre admiration grandit. Peu de personnes, en dehors des professionnels, échappent à cette loi dont la force attractive domine le raisonnement. Le public est attiré par un Rembrandt ou un Carpeaux, non parce que les sujets représentés parlent à son âme ou frappent sa mémoire, mais bien parce que le cartouche délicatement posé à son intention par l’administration signale à son attention un Rembrandt ou un Carpeaux. Par un phénomène réflexe, les œuvres d’inconnus n’ont pas le don de piquer la curiosité ; et certains conservateurs de musées le savent si bien qu’ils s’ingénient depuis longtemps à des attributions fantaisistes en face desquelles la méfiance est le commencement de la sagesse...»

  • av Renee Gouraud
    275,-

    «... Jane se laissait fort bien gâter par son mari. Il avait loué pour elle un joli appartement boulevard de la Villette, à proximité des abattoirs où son commerce l’appelait chaque jour. Il parait sa femme à plaisir, achetant sans jamais le trouver trop cher, le bibelot de prix que les yeux de Jane avaient caressé avec une pensée d’envie.Leur vie était bonne, leur dimanche bien rempli. Après la messe, ils allaient visiter la grande capitale qu’ils ignoraient, ils dînaient hors de chez eux, souvent aux environs, et ils rentraient las, mais ravis de leur journée...»

  • av Auguste Gérard
    285,-

    « Le dernier quart de siècle (1894-1918) a vu s’accomplir dans l’Asie orientale une évolution aussi rapide que profonde, et dont les résultats achèvent d’être mis par la présente guerre en une saisissante lumière. Les deux grands empires d’Asie, la Chine et le Japon, sortant de leur séculaire réclusion, ont, au lendemain du conflit qui leur avait fait prendre en 1894 les armes l’un contre l’autre, non seulement admis la pensée d’un rapprochement avec l’Europe, mais contracté alliance avec deux grandes puissances d’Occident, la Chine avec la Russie (1896), le Japon avec l’Angleterre (1902). C’était la période durant laquelle la France et la Russie, si elles étaient elles-mêmes alliées, ne s’étaient pas encore entendues avec la Grande-Bretagne...» 

  • av Francois-Auguste Biard
    265,-

    « Mon cher ami, dites-moi donc, je vous prie, d’où vous vient cette idée d’aller au Brésil ? C’est un pays très-mal sain. La fièvre jaune y est en permanence ; et on assure qu’il y à la des serpents très-venimeux qui font mourir les gens en quelques minutes...»

  • av Jean Grave
    285,-

    “... L’Ordre Moral avait vécu avec la démission de Mac-Mahon qui avait dû se soumettre et se démettre, c’est étonnant ce que les généraux aiment les phrases à effet, dont ils ne pensent pas un mot. Après le triomphe des 363, il fallait bien que ceux-ci fissent quelque chose, ils votèrent une loi d’amnistie d’où furent exclus tous ceux qui, pour leur participation à la Commune, avaient été condamnés pour délits de droit commun. C’est-à-dire, des délits politiques que les conseils de guerre, dans leur arbitraire, avaient qualifié d’assassinats, de vols, d’incendies, etc…”

  • av Hubert De Castella
    189,-

    « Nous portâmes force toasts ! On but pour moi aux vents, à l’océan que j’allais traverser, à l’Australie : Deo ignoto. Et moi, le cœur plus plein que mon verre, je bus à mes bons souvenirs, à notre bonne camaraderie ; à la France, à ce beau pays de la verve, de l’entrain et de l’amitié. »

  • av Jonathan Swift
    189,-

    « Quoique d’une certaine étendue, ce traité n’est qu’un fragment. On présume que Swift voulait faire tout un volume, mais que le temps et la santé lui manquèrent. Ce qui paraît certain c’est qu’il faisait grand cas de ce travail, car en 1739, alors qu’il avait perdu la mémoire, et que l’indifférence pour la littérature le gagnait de plus en plus, il écrit avec anxiété à Faulkner, son éditeur irlandais, au sujet de ce manuscrit qu’il a égaré...»

  • av Marc Monnier
    179,-

    «... Tel est le farniente du Napolitain, quand il devient ambitieux et qu’il a sa famille à nourrir. Ces artisans laborieux sont chaque jour plus nombreux à Naples ; mais ils perdent peu à peu le type national. Ils apprennent à lire, ils ne vont plus à la messe et ne donnent plus de coups de couteau. Ils doutent du miracle de saint Janvier et ne vous prennent plus votre foulard. Ils ne pillent plus dans les émeutes et ils crient : « Vive Victor-Emmanuel ! » Ce sont des lazzarone dégénérés qui seraient peut-être capables d’aller se faire tuer en Vénétie... »

  • av de la Fouchardiere Georges & Félix Celval
    249

    Ce roman raconte les mésaventures burlesques d’un héros jovial et bon-vivant, doté d’une logique et d’un vocabulaire bien à lui. L’histoire se passe à Paris, puis dans le royaume imaginaire de Carinthie.

  • av Leonid Andreïev
    155,-

    Décourvrez cette âme russe peinte par Léonid Andreïev dans À la fenêtre, dernière nouvelle du recueil Les Sept Pendus qui s’exprime ainsi, après une décevante aventure : « Comme elles sont inconstantes, les femmes ! Un jour elles vous appellent « chéri », « bien aimé », le lendemain « fantôme » ! ».

  • av Leonid Andreïev
    169

    Lorsqu’il écrit cette nouvelle, publiée en 1907, Andreïev vit une période douloureuse de sa vie il vient de perdre son épouse et la révolution de 1905 a échoué. le titre est évocateur : « La Victoire des ténèbres ». Notre héros qu’il faut appeler Pierre, est un terroriste révolutionnaire. Recherché par la police, il se réfugie et passe la nuit dans une maison close. Il y choisit Liouba, jeune prostituée boudeuse avec laquelle il passe sa première nuit d’amour...

  • av Alexei Apoukhtine
    155,-

    Cette histoire mystérieuse, parabole philosophique et relation d’une révélation, raconte ce qui est « après la mort » et la réincarnation :« Quelques heures plus tard, je me réveillais, petit être sans défense, absurde et frêle. J’entamais une vie nouvelle. »« La grande énigme qui m’avait tourmenté ma vie durant était à présent résolue. La mort n’existait pas, il n’y avait que la vie, la vie éternelle. J’en avais toujours eu la certitude, mais j’étais incapable de le formuler... »

  • av Alexei Apoukhtine
    179,-

    « Hier, j’ai ressenti quelque chose d’étrange. Voilà déjà huit jours que je suis souffrant. Sans doute, ce n’est rien de sérieux ; mais enfin je ne me sens pas bien : j’ai mal à la tête, je tousse, la nuit je ne dors pas, et dans la journée, je suis excessivement faible. Je me suis donc décidé à faire appeler ce médecin que je rencontre souvent chez Maria Pétrovna. Il a fait ce que font en pareil cas tous les médecins : il m’a ausculté, a pris ma température, et s’est préoccupé de la langue et du pouls ; puis, trouvant tout en bon état, il s’est assis, pensif, devant le bureau... »

  • av Alexei Apoukhtine
    179,-

  • av Nikolai Garine
    155,-

    « Ici, nous sommes en Corée, dans la Corée millénaire ; nous retrouvons sa morale, ses croyances, ses mœurs, son instinctif désir de justice. Le dieu du ciel, le grand Okhwangsangje, intervient fréquemment pour protéger les honnêtes gens. Son influence, même quand il n’est pas nommé, se devine partout ; elle se révèle par des incidents secondaires qui, dans le déroulement du drame, prennent une valeur, et contribuent à sauver le héros ou l’héroïne... La morale et la sagesse universelles rayonnent en ces contes coréens ; assurément, l’obscurcissent parfois les croyances et les usages particuliers à ces peuples mongols...»

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