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  • av Paul D'Ivoi
    315,-

    «... C’était une jeune fille, aux cheveux châtains, grande et mince, autant que l’on en pouvait juger dans sa station assise. Le visage apparaissait charmant, rosé, éclairé par des yeux bleus, naïfs et inquiets. Un imperceptible pli, au coin des lèvres, décelait la mélancolie de ceux qui se sont heurtés aux rudes angles de la vie.Au bruit des pas, étouffé cependant par l’épaisseur du tapis, elle avait levé la tête et regardait venir le visiteur...» 

  • av Paul D'Ivoi
    325,-

    «... Un instant plus tard la porte se rouvrait, et dans l’encadrement se dessinait une adorable silhouette de jeune fille.Vingt ans environ, taille un peu au-dessus de la moyenne, élégante et robuste à la fois. Des cheveux châtain clair contrastant avec le visage blanc et rose, dont le nez délicat, la bouche gracieuse exprimaient la décision et la franchise. Mais surtout des yeux très grands, d’un bleu étrange, presque violet.Son regard accaparait l’attention, on ne voyait plus qu’eux, et inconsciemment on appliquait à leur propriétaire la formule paradoxale du poète :Elle se cache derrière ses yeux...» 

  • av Paul D'Ivoi
    315,-

    «... Cette fois, un tonnerre d’applaudissements souligna la supplication de la Mestiza. On eût dit que, sous sa parole, le bandeau qui obscurcissait les regards des castes, venait de se déchirer. Tous avaient Compris la petitesse des querelles intestines, alors que la constitution des États-Unis du Nord menaçait l’existence de la patrie sud-américaine. Et oublieux du lieu où ils se trouvaient, de la solennité du sanctuaire, ils ébranlèrent de leurs acclamations frénétiques les voûtes majestueuses, accoutumées jusqu’à cette heure à la subtile caresse des oraisons murmurées.La jeune fille appuya les mains sur son cœur, ses yeux se voilèrent, tandis qu’un rayonnement intérieur semblait nimber son front d’une auréole...»

  • av Louis Couturat
    155,-

    “ Quoi qu’on puisse penser de la valeur et de l’utilité de la Logique formelle, on ne peut pas lui reprocher d’avoir pris trop de place dans l’enseignement du Collège de France : en effet, on n’y a pas parlé de Logique depuis 1838, année où Barthélemy-Saint-Hilaire traita de la Logique d’Aristote. Or ce n’est pas d’Aristote que je veux vous entretenir, mais de ses continuateurs modernes, dont la plupart, et les principaux, sont postérieurs à cette époque. Nous laisserons même de côté tous les auteurs qui sont restés confinés dans le domaine de la logique aristotélicienne, et se sont bornés à la commenter et à l’interpréter, soit au point de vue métaphysique, soit au point de vue psychologique, c’est-à-dire presque tous les auteurs connus et classés comme logiciens dans les manuels d’histoire de la philosophie...”  

  • - Les Mysteres de Demain volume 5
    av H J Magog & Paul Féval Fils
    239,-

    Dans ce cinquième épisode des Mystères de Demain, Laridon et Julep partent à la recherche de Cyprienne et Jean Chapuis, les Fiancés de l’an 2000 disparus. Ils ont suivi les trace de la «Main fugitive» mais ont bien du mal à passer inaperçus…

  • - Les Mysteres de Demain volume 4
    av H J Magog & Paul Féval Fils
    249

    Après un bouleversement biologique mondial, qui entraîna la disparition supposée de l’humanité, l’équipe du savant Oronius se retrouve au Pôle, saine et sauve. À leur grande surprise, ils y découvrent une végétation luxuriante, dominée au loin par d’immenses tours. L’équipe parte à la découverte de ce mystérieux Éden. Un monde qui semble inhabité jusqu’à ce qu’Oronius rencontre une Polaire : une femme envoûtante. Est-elle humaine? …

  • - Les Mysteres de Demain volume 3
    av H J Magog & Paul Féval Fils
    249

    Oronius charge deux de ses assistants de ramener du Japon un fossile d’or, une pièce inestimable obtenue de haute lutte aux enchères. Mais alors qu’ils naviguent avec leur précieuse cargaison, leur Autonef se met à ralentir, comme retenu par une force mystérieuse, puis il coule à pic. Oronius et son équipe partent aussitôt à leur secours…

  • - Les Mysteres de Demain volume 2
    av H J Magog & Paul Féval Fils
    249

    Cyprienne Oronius et Chapuis partent en croisière… Car Cyprienne est persuadée que son père est toujours vivant et qu’il l’appelle. Et il est certain que les protagonistes des Fiancés de l’An 2000 ne sont peut-être pas aussi disparus que l’on pourrait le penser. Les fiancés vont être confrontés, dans cet épisode à bien des catastrophes et bien des déconvenues…

  • - Les Mysteres de Demain volume 1
    av H J Magog & Paul Féval Fils
    265,-

    Le mystérieux savant Oronius règne avec bienveillance sur Paris depuis son laboratoire de la Villa féérique dans les hauts de Belleville. Son assistant, Jean Chapuis, et sa fille Cyprienne s’aiment et vont se marier. Mais des nuages vont obscurcir ces projets… Un savant fou, Otto Hantzen, un rival autrefois vaincu, défie Oronius. Pour « refaire l’univers » il va détruire Paris. La protection d’Oronius suffira-t-elle ?...

  • av H J Magog
    249

    Le professeur Fringe, savant renommé, vient de faire une découverte : « l’intelligence humaine émane d’un fluide présent dans l’atmosphère qu’il suffit de concentrer pour créer des esprits supérieurs » et augmenter ainsi l’intelligence des humains. Mais cela permettrait de rendre tous les hommes égaux dans la surhumanité… Les élites s’en émeuvent. Perdre leur pouvoir sur un peuple devenu trop intelligent ? Hors de question ! Juste avant sa conférence, Fringe disparait mais un prototype de sa découverte existe…

  • av H J Magog
    239,-

    Santos Mirador, le président de l’état de San-Piquillo, est à Paris pour refaire son lifting. Fred Lovely, un jeune acteur de music-hall, se fait maquiller dans le salon d’à côté pour ressembler en tous points au président en vue d’un nouveau numéro de revue. Alors que des conspirateurs poursuivent le détesté Santos Mirador à travers Paris, Fred Lovely apparaît à sa place et lui sauve la vie. Pour le remercier, le président invite Fred dans son pays... 

  • av Helene Metzger
    155,-

    «... La doctrine chimique de Lavoisier se proposera de dessiner avec une exactitude scrupuleuse la surface apparente des phénomènes matériels que l’homme arrive à connaître ; elle ne voudra pas faire moins que cela et refusera de se contenter d’à peu près superficiellement observés ; elle exigera de longues recherches, des instruments fort coûteux et ayant atteint leur plus haut degré de précision ; elle ne voudra pas non plus faire plus que cela, ne sortira jamais du domaine qu’elle s’est proposé d’explorer ; elle se refusera jalousement à toute spéculation dépassant son objet propre, dédaignera les hypothèses émises par les philosophes grecs ou autres respectés anciens « avant qu’on eût les premières notions de la physique expérimentale et de la chimie », et ne posera pas d’autres questions que celles qui dérivent de son propre développement. Tel est du moins le programme que la chimie doit tenter de remplir si elle veut continuer ses progrès...»

  • av Francois de La Rochefoucauld
    159,-

    La Rochefoucauld a eu l’idée de composer un grand nombre de maximes, et surtout de les publier, dans le salon de Madeleine de Sablé où a été lancé le genre littéraire des maximes. On trouve d’ailleurs une certaine proximité de préoccupations dans les maximes de celle-ci et celles de La Rochefoucauld. Les maximes étaient discutées par Madeleine de Sablé ainsi que Jacques Esprit, la princesse de Guéméné, la duchesse de Schomberg, la comtesse de Maure ou Eléonore de Rohan. Les transformations effectuées à la version de l’édition de 1665 doivent beaucoup à ces amis influents.Les Maximes ont été souvent réimprimées depuis les cinq éditions originales données du vivant de l’auteur. La sixième édition, publiée en 1693, contenait cinquante pensées nouvelles, dont l’authenticité ne fut pas contestée par la famille. Plusieurs éditions ultérieures furent faites avec peu de fidélité, en bouleversant l’ordre des pensées, en altérant et défigurant le texte, pour rendre le style plus grammatical.

  • av James Fenimore Cooper
    315,-

    « Le soleil avait disparu derrière les sommets des Alpes tyroliennes, et la lune était déjà levée au-dessus de la barrière du Lido ; les piétons sortaient par centaines des rues étroites de Venise, et se dirigeaient vers la place Saint-Marc, comme l’eau s’élance à travers un aqueduc étroit dans un bassin large et bouillonnant ; de galants cavaliers, de braves citadins, des soldats dalmates et les matelots des galères, des dames de la ville et des femmes de mœurs légères, des joailliers du Rialto et des marchands du Levant ; juifs, Turcs et chrétiens, voyageurs, aventuriers, podestats, valets, avocats et gondoliers, se rendaient tous au centre commun du plaisir...»

  • av James Fenimore Cooper
    289,-

    « IL me serait aussi difficile de décrire minutieusement ce qui se passa lorsque le canot rejoignit le Wallingford que de dépeindre tous les incidents terribles de la lutte entre Drewett et moi au fond de l’eau. Tout ce que je pus voir, pendant que M. Hardinge et Neb m’aidaient à monter à bord, c’est que Lucie n’était pas sur le pont. Elle était allée sans doute auprès de Grace, pour se trouver là quand elle recevrait la fatale nouvelle qu’on attendait. J’appris ensuite qu’elle était restée longtemps à genoux dans la chambre de l’arrière, absorbée dans cette prière intense et convulsive par laquelle les malheureux en appellent à Dieu dans l’excès de leur désespoir...»

  • av James Fenimore Cooper
    315,-

    « JE suis né dans une vallée assez voisine de la mer. Mon père avait été marin dans sa jeunesse, et mes souvenirs les plus anciens se rattachent à l’histoire de ses aventures et à l’intérêt qu’elles m’inspiraient. Il avait servi dans la guerre de la révolution. Entre autres scènes auxquelles il assista, il était à bord du Trumbull, lors du combat qu’il soutint contre le Watt, la plus belle action navale de cette guerre ; et il avait un grand plaisir à en raconter les incidents. Blessé dans la bataille, il en portait encore les traces dans une balafre qui défigurait légèrement un visage qui, sans cette apostrophe, aurait été remarquablement beau. Ma mère, après la mort de mon pauvre père, parlait toujours de cette balafre comme d’une tache de beauté. Si mes souvenirs ne me trompent pas, c’était lui faire beaucoup d’honneur ; car elle faisait grimacer la figure d’une manière qui n’était rien moins qu’agréable, surtout lorsque celui à qui elle appartenait était de mauvaise humeur...»

  • av James Fenimore Cooper
    359,-

    « Les événements que nous allons rapporter sont arrivés vers le milieu du dernier siècle, antérieurement à cette lutte qu’il est à la mode d’appeler, en Amérique, — l’ancienne guerre contre la France. — La scène qui ouvrira notre histoire doit pourtant se chercher dans l’autre hémisphère, et sur la côte de la mère-patrie. Au milieu du XVIIIe siècle, les colonies américaines étaient des modèles de loyauté. La guerre à laquelle il vient d’être fait allusion avait été cause des dépenses considérables qui avaient porté le ministère anglais à avoir recours au système de taxes qui amena la révolution. La querelle de famille n’était pas encore commencée. Entièrement occupés d’une guerre qui ne se termina pas plus glorieusement pour les armes britanniques qu’avantageusement pour les possessions anglaises en Amérique, les habitants des colonies n’avaient peut-être jamais été plus favorablement disposés à l’égard de la métropole qu’à l’instant où notre histoire va commencer...»

  • av James Fenimore Cooper
    299,-

    « Le lecteur doit se représenter une vallée étroite et retirée. Le jour commençait à perdre de son éclat, jetant sur les objets les plus saillants une lueur qui ressemblait aux couleurs qu’on voit au travers d’un verre légèrement terni ; cette particularité de l’atmosphère, qui se rencontre presque tous les jours dans l’été et dans l’automne, n’en est pas moins une source de plaisir pour le véritable admirateur de la nature. Ce n’est point un coloris d’un jaune fade, mais une teinte douce et mélancolique, prêtant à la colline et au taillis, à l’arbre et à la tour, au torrent et à la plaine, cette douceur et cette mélancolie qui sont les plus grands charmes d’une belle soirée. Le soleil couchant frappait de ses rayons obliques sur un pré fauché dans un vallon si profond, qu’il ne devait ce sourire de la nature qu’à la forme particulière des éminences voisines...»

  • av James Fenimore Cooper
    315,-

    « QUAND M. Effingham se fut déterminé à retourner en Amérique, il envoya ordre à son gérant de mettre sa maison de New-York en état de le recevoir. Il avait dessein d’y passer l’hiver, et d’aller à sa maison de campagne quand le printemps ferait sentir sa douce influence. Une heure après avoir quitté le paquebot, Ève se trouva donc à la tête d’un des plus grands établissements de la plus grande ville d’Amérique. Heureusement pour elle, son père avait trop de jugement pour regarder une épouse ou une fille comme n’étant qu’une servante de première classe, et il jugea avec raison qu’il devait employer une partie de son revenu à se procurer les services d’une femme que ses qualités missent en état de soulager une maîtresse de maison d’un fardeau si pesant...»

  • av James Fenimore Cooper
    315,-

    « Les charmes de la mer Tyrrhénienne ont été célébrés même du temps d’Homère. Le voyageur conviendra aisément que la Méditerranée en général, ses belles limites, les Alpes et les Apennins, et ses côtes dentelées et irrégulières, forment la contrée la plus délicieuse de la terre connue en tout ce qui concerne le climat, les productions et la conformation physique. Les pays qui entourent cette immense nappe d’eau étendue au milieu des terres, avec leurs promontoires dominant cette image de l’Océan, leurs coteaux couverts de tout ce qu’il y a de pittoresque dans la vie humaine, leurs montagnes couronnées de tours, leurs flancs rocailleux consacrés par des ermitages, et leurs eaux sans rivales parsemées de navires gréés en quelque sorte tout exprès, de manière à faire un tableau, forment une espèce de monde à part, qui offre une source de délices pour tous ceux qui ont le bonheur d’en sentir les beautés ; beautés qui non seulement fascinent les yeux de ceux qui les voient, mais restent gravées dans le souvenir de ceux qui s’en sont éloignés, comme de glorieuses visions du passé...»

  • av James Fenimore Cooper
    299,-

    « C’EST dans une époque reculée des annales américaines qu’il faut chercher les incidents sur lesquels se fonde cette histoire. Un demi-siècle s’était écoulé depuis qu’une colonie d’Anglais pieux et dévoués, fuyant la persécution religieuse, débarquèrent sur le roc de Plymouth. Eux et leurs descendants avaient déjà transformé bien des déserts immenses en de riches plaines et de riants villages. Les travaux des émigrants s’étaient arrêtés au pays qui borde la mer, car la proximité des eaux qui roulaient entre eux et l’Europe semblait leur dernier lien avec le pays de leurs pères et le séjour lointain de la civilisation ; mais le goût des entreprises, le désir de trouver des champs plus fertiles, et la tentation offerte par de vastes régions inconnues qui s’étendaient sur leurs frontières du nord et de l’ouest, engagèrent quelques aventuriers à pénétrer plus avant dans les forêts. Le lieu précis où nous désirons transporter l’imagination de nos lecteurs était occupé par un de ces établissements qu’on peut assez justement appeler les postes avancés de la civilisation dans sa marche conquérante...»

  • av James Fenimore Cooper
    285,-

    « Je suis fils de Cornelius Littlepage, de Satanstoe, dans le comté du West-Chester, État de New-York ; et d’Anneke Mordaunt, de Lilacsbush, domaine situé près de Kingsbridge, et qui, quoique à onze milles de la ville de New-York, fait partie des dépendances de la cité.J’ai peu connu mes autres parents. J’étais encore très-jeune, lorsque mon aïeul maternel mourut en Angleterre, où il avait été voir un colonel Bulstrode qui lui-même avait habité les colonies, et pour qui Herman Mordaunt — c’était le nom de mon grand-père, — avait une prédilection toute particulière. J’ai souvent entendu dire à mon père qu’il était heureux peut-être, à un certain point de vue, que son beau-père fût mort à cette époque ; car il se fût sans doute rangé du côté de la couronne dans la querelle qui éclata presque immédiatement après, et tous ses biens auraient infailliblement partagé le sort de ceux des de Lancey, des Philips, des Floyd, et de toutes les grandes familles qui restèrent fidèles, comme on disait ; ce qui voulait dire fidèles à un prince, mais non pas à leur pays natal...»

  • av James Fenimore Cooper
    339,-

    « La côte d’Angleterre, quoique plus belle que la nôtre, est plus remarquable par sa riante verdure et par un air général de civilisation que par ses beautés naturelles. Ses rochers de craie peuvent paraître nobles et hardis aux Américains, quoique, comparés aux masses de granit qui bordent la Méditerranée, ils ne soient que des taupinières ; et l’œil du voyageur expérimenté cherche d’autres beautés dans les vallées écartées, les haies verdoyantes et les groupes de villages qui ornent la côte de cette île féconde. Portsmouth même, si on le considère uniquement sous le rapport du pittoresque, n’est pas un échantillon favorable des ports britanniques. Une ville située sur une humble pointe, et fortifiée à la manière des Pays-Bas, avec un excellent port, présente plus d’images de ce qui est utile que de ce qui est agréable, tandis qu’un arrière-plan de montagnes modestes n’offre guère que les coteaux verdoyants de la campagne. À cet égard, l’Angleterre même à la fraîche beauté de la jeunesse plutôt que les couleurs harmonieuses d’une époque plus avancée de la vie ; ou, il serait mieux de dire qu’elle a cette fraîcheur et cette douceur modeste qui distinguent ses femmes, surtout lorsqu’on les compare aux teintes plus chaudes de l’Espagne et de l’Italie, et qui, dans les personnes comme dans les paysages, ont besoin d’être vues de près pour être appréciées...»

  • av Charles Richet
    179,-

    “... Avant d’entrer dans le détail des chiffres lamentables qui mettent en pleine lumière la diminution extrême des naissances françaises, il faut prouver que la puissance et la richesse d’un peuple sont proportionnelles au chiffre de sa population.Certains économistes ont soutenu le contraire ; mais les raisons qu’ils donnent paraissent insuffisantes. Nous allons d’abord les exposer loyalement, en donnant à l’argumentation toute sa force.Une nation, dit-on, vaut par la qualité des individus, par la richesse de son sol, par le grand développement de la fortune publique et de la fortune privée, et non par le grand nombre des individus qui la composent...”

  • av C Duval
    179,-

    «...Quelques instants après, l’huis tourna sur ses gonds. Les deux voyageurs pénétrèrent dans une assez vaste salle éclairée par des lampes fumeuses et embrumée par la fumée du tabac. C’était la salle publique d’une taverne borgne. Tandis que le tenancier sommeillait derrière son comptoir, cinq hommes aux mines farouches s’entretenaient à voix basse autour d’une table chargée de verres...»

  • av Charles Deulin
    249

    “... Le crâne chauve et luisant, les yeux petits et enfoncés sous l’orbite, le nez plat, la bouche démesurément grande et garnie de quelques dents jaunes, les joues creuses, la peau desséchée, on eût dit un squelette échappé du cimetière. L’étranger paraissait encore plus vieux que le Juif errant, et, à chacun de ses mouvements, ses membres rendaient un bruit sec et semblable au claquement des chandelles de bois que le vent ballotte à la montre des épiciers...”

  • av Vladimir Korolenko
    155,-

    Makar (signifie dans la tradition russe « celui sur qui tombent toutes les tuiles ») est paysan misérable, accroché à un coin de terre péniblement défriché, passant le peu d’argent qu’il gagne dans de l’eau-de-vie. Nous sommes la veille de Noël, et il est ivre mort. Et voilà qu’il s’est mis en tête qu’un renard était pris dans l’un de ses pièges. Avec sa peau, on pourrait acheter une bouteille de plus… Mais il s’égare dans la forêt. Épuisé, abruti par l’alcool, il s’endort dans la neige. On ne se réveille pas de ce genre de sieste.Et voilà que même mort on n’a jamais la paix. Voilà que le petit pope du village, mort il y a bien longtemps, est venu le chercher. Viens, suis-moi, on va te juger…

  • av Vladimir Korolenko
    189,-

    Ce roman nous plonge dans la campagne de la Petite-Russie au début du siècle dernier. Pierre vient au monde aveugle ; il est chéri et protégé par sa famille et il va apprendre les choses de la vie qui lui sont inaccessibles, comme les couleurs par exemple, grâce à la musique. L’analogie entre les sons et les couleurs revient souvent dans son discours et les pages sur la sensibilité du jeune aveugle à la musique abondent…

  • av Sofia Kovalevskaia
    189,-

    Dans ce roman, le nihilisme se réfère à la contestation, et déclare la guerre à tout ce qu’on peut appeler « les mensonges conventionnels de la société civilisée ». Ce roman permet de pénétrer dans l’intimité d’une famille de province, aristocrate russe où les idées révolutionnaires vont trouver un écho chez la plus jeune des trois filles, Véra, mystique qui va par la suite, affûter sa formation avec l’arrivée d’un voisin plus âgé, un intellectuel qui lui ouvre l’esprit et partage son adhésion aux idées égalitaires…

  • av Alexei Pissemski
    235,-

    Le héros de ce court récit est le teneur de livres du Comité de l’Assistance Publique de P...,Iosaf Iosafitch Férapontoff. Enfant maltraité par un père ivrogne, abruti par une école stupide puis une jeunesse où toute espérance est étouffée par la pauvreté, arrivé au lycée, Iosaf est perdu dans l’abîme entre ce qu’il a vécu et ce qu’il y apprend...

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