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  • av Élisabeth Guénard
    199,-

  • av Charles-François Dupuis
    285,-

  • - Suivi de quinze chansons
    av Maurice Maeterlinck
    169

  • av Élisabeth Guénard
    189,-

  • av Charles le Goffic
    169

  • av Charlotte Dacre
    265,-

  • av Marthe Fiel
    189,-

  • av Edmond Jaloux Jaloux
    179,-

  • av Leon Daudet
    249

  • av Leon Daudet
    235,-

  • av J -H Rosny Aîné
    189,-

  • av J -H Rosny Aîné
    189,-

  • av J -H Rosny Aîné
    235,-

  • av J -H Rosny Aîné
    179,-

  • av J -H Rosny Aîné
    235,-

  • av J -H Rosny Aîné
    249

  • av J -H Rosny & J -H Rosny Aîné
    155,-

  • av J -H Rosny
    169

  • av René de Pont-Jest
    249

  • av René de Pont-Jest
    385,-

  • av René de Pont-Jest
    265,-

  • av René de Pont-Jest
    289,-

  • av Edouard Dujardin
    179,-

  • av Maurice Maeterlinck
    235,-

  • av Victor Duruy
    155,-

    « Les journées de Marathon, de Salamine et de Platée, en sauvant la Grèce, avaient donné l’essor à son génie, qui fit du Ve siècle avant notre ère l’époque du plus heureux développement de l’esprit humain. Ce temps est souvent appelé le « siècle de Périclès. » Le grand modérateur de la politique athénienne n’est pour rien dans l’œuvre d’Eschyle et de Sophocle, d’Aristophane et de Thucydide ; mais Athènes y est pour beaucoup; et si elle n’enfanta pas tous les hommes supérieurs qui illustrèrent alors l’Hellade, elle fut leur commune patrie, et leur esprit s’échauffa au contact du sien...»

  • av Victor Duruy
    155,-

    « L’histoire de la Grèce est double : elle montre des faits qui excitent notre curiosité ou nous aident à former notre expérience politique, et des idées qui inspirent encore nos poètes, nos philosophes et nos artistes. C’est par les idées que les sociétés se transforment et que la civilisation se développe. La véritable histoire est donc celle de la pensée humaine ; or, vers la fin du Ve siècle avant notre ère, beaucoup de pensées fermentaient dans Athènes, et un grand homme y commençait une révolution morale qui allait donner une vigoureuse secousse à l’esprit grec ; il faut aller à lui...»

  • av Victor Duruy
    155,-

    « L’ancienne école disait de l’histoire : Scribitur ad narrandum, la considérant comme matière excellente pour d’éloquents discours ou d’intéressants tableaux. L’historien moderne a une tâche moins brillante, mais qui peut devenir plus utile : il essaie de retrouver les vérités de détail et de temps qui donnent la représentation fidèle d’une société, et les vérités générales qui sont de toutes les sociétés et de tous les temps. Il a besoin de science pour la recherche et la critique des textes, de philosophie pour l’interprétation des faits et des idées, d’art pour la mise en œuvre des documents et pour la vie qu’il faut rendre aux personnages historiques. Voilà l’idéal aujourd’hui proposé ; mais le fonds qui doit porter tout, c’est la vérité...»

  • av Paul D'Ivoi
    189,-

    « Les historiens nous content que les femmes gauloises suivaient les guerriers au combat, exaltant le courage des braves et flagellant les timides. Quelques mois de lutte ont fait renaître chez les femmes de France la mentalité héroïque de leurs aïeules. Voici quelques « mots de guerre» jaillis de lèvres de jeunes filles, et que j’ai pieusement notés...» 

  • av Paul D'Ivoi
    325,-

    «... D’un sac de toile qu’elle portait en bandoulière sous sa cape, la vieille femme tira une plaque de métal poli, affectant une forme ovale, de la dimension des portraits-miniature si appréciés de nos aïeux du dix-huitième siècle. — Prends cette plaque, murmura-t-elle, et tiens-la un instant entre tes mains, afin que ton fluide vital la pénètre...» 

  • av Paul D'Ivoi
    315,-

    «... Sa compagne contrastait étrangement avec lui. Brune, petite, voire un peu lourde, mais remuante, grouillante, agissante, expressive de ses petits pieds à sa tête mutine, de sa main, de geste éloquent, aux yeux lançant la phrase avant que les lèvres l’eussent prononcée ; yeux étranges, trop petits en bonne esthétique, mais si pleins de pensée, de sourire, de gaieté, de mouvement, qu’ils en semblaient énormes. Bref, une jeune femme, jolie sans régularité, sans distinction marquée, mais charmante parce que vivante au suprême degré.Tous deux étaient étendus dans l’herbe, au bord d’un cours d’eau. À quelques pas, dans une petite crique ménagée au milieu des roseaux, se balançait un léger canot électrique, de ce système Allin, qui permet le renouvellement automatique de l’énergie électro-motrice...»

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