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  • av Joseph Conrad
    249

    Dans ce texte, on avance, à la suite de l'auteur, d'un souvenir à l'autre, d'une association d'idée à l'autre. C'est un texte de liens, des liens entre les grands espaces polonais et ukrainiens, terres de l'enfance. Ses parents étaient des propriétaires terriens, des patriotes, exilés en Russie. Sa mère meurt alors qu'il est encore jeune, il est ensuite accueilli par son oncle...

  • av Marc De Montifaud
    179,-

    Le texte met en lumière un côté sombre et méconnu de Racine. Il rend compte de soupçons à son égard qui émergent lors du procès de la Voisin, femme accusée de sorcellerie, empoisonnement et avortement, qui fut ensuite brûlée vive en 1680.Il se dit, de façon plus ou moins voilée, que cet homme de théâtre aurait causé la mort de la Du Parc, sa maîtresse, actrice vedette enceinte, et aurait été protégé des poursuites judiciaires par le roi Louis XIV. Des minutes de l'instruction, des vers persifleurs, des paroles rapportées ou des extraits de correspondance sont versées comme preuve au dossier, dans la langue de l'époque.

  • av Amélie Gex
    265,-

    Oh ! qu'il y a longtemps que cette histoire est arrivée ! Qu'il y a longtemps que je la garde silencieusement en mon souvenir, ainsi que l'on conserve l'impression d'une grande terreur ou d'une grande souffrance !Nous étions bien petits alors, nous, les bambins du Chaffard ! Gais et lestes comme une bande de moineaux pillards, nous courions de ci, de là, dès le matin, par les bois, les champs et les prés, égrenant à tous les vents nos rires joyeux, humant à pleine poitrine l'air âcre et frais de la montagne, cet air de Savoie qui sent si bon !...

  • av Joseph Conrad
    285,-

    1874. À Marseille, Monsieur George - ou le jeune Joseph Conrad - a tout juste 17 ans. Il admire Mills qui lui fait rencontrer doña Rita, une égérie du mouvement carliste espagnol. Profondément séduisante, elle fait l'admiration de tous les hommes. Entraîné par Mills mais surtout par goût de l'aventure et de la mer, il entreprend, avec son ami Dominique, de livrer en contrebande des armes en Espagne. Et doña Rita le fascine...

  • av Eugene Le Roy
    275,-

    C'était un pluvieux après-midi de novembre de l'année 1866. Sur le seuil du bureau des messageries sis place Francheville, à Périgueux, un grand jeune homme, en caban de voyage, attendait, accoté au chambranle. En face, de l'autre côté de la route qui longe la place, sous les tilleuls de bordure, cinq ou six diligences étaient rangées à la queue leu leu, capuchonnées de leurs bâches reluisantes sous l'eau qui tombait fine et serrée. Au delà de la vaste place assombrie par la pluie et traversée parfois par un parapluie noir, on entrevoyait à peine la fière silhouette de la tour Mataguerre, précieux reste des anciennes fortifications de la ville...

  • av Eugene Le Roy
    315,-

    On ne peut dire au juste duquel des trois fils de Noé qui étaient dans l'arche les Charbonnière sont issus. Dans la famille, jadis, on en disputait. Le défunt docteur Nathan, bonhomme au demeurant, mais un brin raillard à ses heures, disait que c'était de Cham, à cause que tous ceux de la parentèle étaient moricauds un petit. Mais la tante Noémi, férue de la gloire de la famille, assurait qu'elle descendait de Japhet, comme aussi tous les Périgordins. À l'appui de son dire, elle alléguait la Cosmographie du sieur de Belleforest, Commingeois, et, d'abondant, apportait en preuve de cette illustre origine l'existence d'un pont Japhet dans l'antique cité de Vésone, maintenant Périgueux, bâtie par le troisième fils dudit patriarche Noé, comme chacun sait , ajoutait-elle...

  • av Marcelle Tinayre
    249

    Marie Capelle, recherche l'amour! Nous sommes en 1830 et, jeune fille de la haute société, elle a peu de chance de trouver un mari aimant. Alors elle refuse celui-ci. Et celui-là. Puis elle refuse encore... Finalement, une agence lui propose un riche maître de forge, maire du lieu, qui lui convient. Pensez! Il vit dans un château! En Corrèze, certes, c'est loin de Paris. Mais un château! Sur place, c'est la désillusion. L'homme est rustre, soumis à sa mère. La forge est en déroute et le château n'en a que le nom. Il est infesté de rats. Marie rêve de retourner à Paris. Mais, très vite, son mari tombe malade et meurt. ... Et si c'était elle qui l'avait empoisonné? Marcelle Tinayre dénoue pour nous les fils de l'intrigue.

  • av Eugene Le Roy
    265,-

    Sur le haut plateau rocheux, la vieille bastille royale de Montglat-du-Périgord était assoupie. Midi venait de sonner à la Maison des Consuls , aujourd'hui la mairie. Un lourd soleil de juillet tombait d'aplomb sur les tuilées de pierres plales, et inondait d'une lumière crue les rues régulièrement tracées au cordeau qui se coupent à angle droit. Le long des maisons, une étroite lisière d'ombre se dessinail, suivie parfois par un chat rôdeur qui craignait de s'échauder les pattes aux cailloux brûlants du pavé. Sur la place encadrée d'arcades ogivales, près de la halle aux piliers de pierre rongés par le Lemps, des poules vautrées dans la poussière ouvraient languissamment le bec...

  • av Eugène Dabit
    249

    À Barbès-Rochechouart, Leguen sort du métro et s'apprête à une longue marche jusqu'à Mantes. Peintre en lettre au chômage, il s'en va cueillir du muguet afin de le vendre en ville pour le premier mai tout proche. Il aboutira à Boismont, au carrefour du Mont-Rouge, grâce à Négrel, un camionneur parisien occupé dans le chantier d'un lotissement destiné à des parisiens. Car cette grande banlieue parisienne, encore zone verte agricole épargnée par la ville, commence à s'urbaniser...

  • av Mary Elizabeth Braddon
    265,-

    Après 15 ans passés à voyager à travers le monde, un gentleman d'une quarantaine d'années aux habits râpés, loue un pavillon de chasse retiré dans la province anglaise. Lorsque le propriétaire des lieux revient avec sa fille d'un long séjour sur le Continent, il se prend d'amitié pour son locataire avec qui il a des discussions intéressantes. Les jours s'écoulent paisiblement, ... jusqu'à l'arrivée d'une veuve qui s'invite pour les fêtes de fin d'année. Des indices éparses sous-entendent que certaines personnes ne sont pas ce qu'elles paraissent être et cachent des secrets.

  • av Eugénie Niboyet
    235,-

    ... Nous n'avons jamais eu la ridicule fantaisie de prétendre corriger l'¿uvre sublime de Dieu en dénaturant le caractère de la femme. La souhaiter l'égale de l'homme, c'est obéir aux lois de l'éternelle justice et non intervertir celles de la nature qui en procèdent. On a pu nous prêter bien des travers lorsque, dans un élan de généreux enthousiasme, nous avons pris l'initiative d'une cause tellement lourde qu'elle a trahi nos forces, sinon éteint notre foi. Quiconque aspire à la propagation d'une idée nouvelle, est en lutte avec la routine, d'une part, avec l'exagération, de l'autre. Il ne saurait nous convenir de renier notre passé, nous l'acceptons tout entier non tel qu'on a voulu nous le faire, avec la responsabilité d'un trop mobile entourage, mais tel qu'il a été dans notre pensée, c'est-à-dire plein de bonnes intentions...

  • av Eugène Dabit
    245

    Nous sommes sur une île pauvre où le travail se fait rare. Ceux qui étaient cordonniers sont parfois obligés de devenir pêcheurs pour subsister ou de s'improviser ouvrier pour le démantèlement d'un navire. Dans ce recueil de trois nouvelles, les récits de quelques tranches de vie nous montrent les solides amitiés qui peuvent se nouer entre des hommes qui partagent un dur labeur.

  • av Georgette Leblanc
    265,-

    Notre planète est couverte aujourd'hui de machines à courage. Cela m'incite à expliquer, à excuser même le titre de ce livre annoncé dans mes Souvenirs.D'abord ce titre n'est pas pour moi seule, il comporte les vies de tous les artistes. Quand je dis artistes je parle de quelque chose de périmé; de cette race romantique destinée à disparaître dans un monde que j'appelle le monde matière. Je fais partie de cette espèce. C'est un malheur et c'est tous les bonheurs. C'est avoir mille palais pour goûter l'infini des délices de la vie...

  • av Eugène Dabit
    249

    Un jeune garçon de quinze ans à Paris pendant la première guerre mondiale. Son père est mobilisé, sa mère essaie de joindre les deux bouts de leurs budget. Petit-Louis trouve un travail puis, finalement, s'engage dans l'armée. Dans les tranchées, il murit...

  • av Frederick Douglass
    265,-

    Prenez une carte d'Amérique, États-Unis. Cherchez l'État de Maryland ; vous trouverez, près d'Easton, comté de Talbot, un petit district maigrement peuplé, lequel n'a de remarquable que l'aridité de son sol, la dégradation de ses fermes, la ruine de ses clôtures, la noblesse de ses habitants, leur indigence, et la fièvre à perpétuité.C'est là, dans ce plat territoire bordé par le Choptank, la plus paresseuse comme la plus fangeuse des rivières ; entouré d'une population blanche toujours oisive et constamment ivre ; au milieu de nègres esclaves en parfaite harmonie avec ce bas niveau ; c'est là que, sans qu'il y eût de ma faute, je vis le jour...

  • av Albert Thibaudet
    299,-

    À la base de cette vie littéraire, souple, nuancée et subtile, on voit distinctement de la vie abondante, vivace, sans forme encore comme une force prête à toutes les déterminations, - le terreau, la nourriture chimique à même laquelle mangent les racines de l'arbre. C'est là que M. Barrès, dans une page serrée et sombre de Leurs Figures paraît distinguer ce que G¿the appelle les Mères... Vaste monde inhabitable, sans couleurs, où il venant de comprendre les nécessités de toutes choses . De ce monde inhabitable sortent pourtant comme d'une carrière aujourd'hui humide et impraticable toute la pierre de nos constructions. Et cette présence taciturne des Mères, basse musicale de vie nue, d'élément, de mouvement, d'élan, d'où le déterminé et le plastique naissent par limitation et sacrifice, M. Barrès, avec une conscience fiévreuse, s'est attaché à en garder autour de ses figures la buée fraîche. Là sont les sources mêmes de sa sincérité. Dans ce domaine des Mères nous apercevons les schémas essentiels qui dessinent déjà en un raccourci rapide les grandes attitudes ailleurs amplement développées de sa sensibilité et de son intelligence...

  • av Paul D'Ivoi
    349,-

    Un Alsacien, riche planteur aux Indes néerlandaises, ayant épousé une indigène, ne peut quitter le pays sans risquer de tout perdre... fortune et vie. Un neveu, mal conseillé par un homme d'affaires véreux, entreprend de le ruiner, mais un deuxième neveu se met en travers de tous les louches agissements. Daalia, fille de ce riche planteur et de sa femme indigène, s'éprend de leur défenseur, mais ayant fait serment au dieu de sa secte, elle doit imposer sept épreuves à celui qui l'épousera...

  • av Fortune du Boisgobey
    285,-

    Robert de Bécherel arrivera-t-il à épouser Violette ? Il se retrouve au c¿ur d'un imbroglio familial et pour faire éclater la vérité, il devra déjouer les pièges d'une société où usurpation d'identité et détournements de fortune sont monnaie courante...

  • av Albert Thibaudet
    299,-

    ... Même n'en usant qu'à titre d'hypothèse commode, la critique trouve une aide dans l'habitude de se référer aux idées-mères, aux natures simples qui, parmi la ruine dont elles ne subissent point l'atteinte, durent sur l'Acropole. Quand M. Maurras fit là-haut son voyage, une petite fille, nous raconte-t-il, au premier jour lui montra d'un doigt tendu son chemin. Et, dans son ¿uvre, Anthinea nous conseille, pour la situer et pour le situer lui-même, par un geste pareil vers la même direction. Ce sont des idées athéniennes qui nous donnent dès l'abord sa formule spirituelle, et suscitent le Chien constellation céleste au-dessus du chien de garde, animal aboyant...

  • av Charles Maurras
    275,-

    ... Mais, d'une part, l'Intelligence, d'autre part, la Force des choses ayant continué de développer les principes contraires dont chacune émanait, l'intelligence française au XIXe siècle poursuivait sa carrière d'ancienne reine détrônée, en se séparant de plus en plus de cette autre reine vaincue, la haute société française du même temps. Dès 1830, Sainte-Beuve l'a bien noté, les salons d'autrefois se ferment. C'est pour toujours. La France littéraire s'est isolée ou révoltée. Elle a pensé, songé, écrit, je ne dis pas toujours loin de la foule, mais toujours loin de son public naturel : tantôt comme si elle était indifférente à ce public et tantôt comme si elle lui était hostile. Le romantisme avait produit une littérature de cénacle ou de révolution...

  • av Octave Hamelin
    325,-

  • av Eugène Dabit
    189,-

  • av Ivan Tourguénieff
    275,-

  • av Eugène Dabit
    189,-

  • av Emile Vandervelde
    285,-

  • av Euripide
    189,-

    Pendant la Guerre de Troie, le mari d''Andromaque Hector fut tué en combat singulier par Achille. Leur fils Astyanax fut ensuite jeté du haut des remparts de Troie par les Grecs, de peur qu''il ne cherche à venger son père et la cité une fois adulte. Andromaque devient alors esclave de Néoptolème, fils d''Achille. Ces événements sont décrits dans Les Troyennes, une autre pièce d''Euripide. Les années passent et Andromaque met au monde un enfant de Néoptolème : Molossos. Cependant, Néoptolème se marie avec Hermione - fille de Ménélas et Hélène - qui est très jalouse de la relation entre Andromaque et Néoptolème. Craignant pour la vie de son enfant, Andromaque le cache et trouve refuge dans le temple de Thétis, déesse mère d''Achille. Ensuite, Hermione réussira à la retrouver et cherchera à la faire sortir, l''accusant de trahison.

  • av Albert Thibaudet
    249

  • av Albert Thibaudet
    285,-

  • av Philippe Lautrey
    275,-

  • av Pierre Loti
    249

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