Böcker utgivna av Editions Muse

Il y a eu une opposition idéologique voir idéaliste entre la science et la religion dont la genèse remonte à l¿Europe de la Renaissance après les graves méprises de l¿église romaine par le biais de l¿Inquisition. Cette opposition entre science et religion a fini par se résumer en un rixe d¿opinion ouvert entre la raison et la croyance, représentants respectifs de la science et la religion. Il s'en est suivi, une rejection et un dénigrement de la croyance par l¿ensemble de la communauté scientifique. En conséquence, jusqüau 21e siècle, l¿humanité méconnait toujours cette merveilleuse faculté qu'est la croyance et ses capacités d¿aveuglément. Qüest-ce donc une croyance ? Et comment peut-elle devenir une vraie faculté de la cécité et de la surdité ? Telles sont les questions que tente de répondre Abd Rahim Barassounon, en proposant une nouvelle conception de cette faculté à travers sa grande typologie. Il essaie également de montrer dans une étude concrète de cas spécifique, comment la croyance peut, au-delà de l¿individu, aveugler tout un peuple ou plus globalement tout le monde entier, cela, plusieurs générations de suite.

Ce document est basé sur les rapports de l'Homme avec son environnement physique comme spirituel, il y'a également des enseignements et certains faits réel relater qui pourra guider les lecteurs dans leurs évolutions. Il faudra donc être attentif lors de la lecture afin de bien comprendre les messages car ils seront non seulement utile aux lecteurs mais a ce qu'il pourra faire pour apporté un peu d'espace d'amour à ceux qui en-ont le plus besoin.

Dix nationalités, quinze partenaires, cinq présélectionnées, et deux sélectionnées enfin pour un match à jouer avec celle qüon voudrait aimer pour la vie, c¿est mon histoire écrit en 70 pages avec ses 23 005 mots; « l¿Univers de Rencontres Amoureuses de Wil et Gilou », emailée de tant d¿embuches pour enfin arriver au but, hélas! Ceci dit, « L¿amour n¿a plus de frontière », comme dans un conte de fée, devenant aussi une réalité. On ne saurait plus comment le limiter, existant depuis le commencent, il a toujours été maître de lui-même. De ce fait, on serait en droit de dire que, ce ne serait ni les guerres ni les refus de visas ne pourraient être à mesure d¿empêcher à deux personnes qui auraient décidé de vivre leur vie ensemble; de manger, de boire et de danser dans leur amour dans la joie, et sans se mêler des politiques, mais de S¿AIMER et de S¿UNIR pour la vie. Ce voyage, aussi Evocateur, Révélateur qüil soit, m¿a permis d¿avoir de plus de matières à réflexion que je ne le croyait, pourtant, partis dans cet Univers à la recherche d¿une âme s¿ur.

La vie n'est en fait qu'une suite de laps de temps...et ces laps de temps sont enfreints ,soit par des satisfactions ou soit par des désillusions...c'est un peu comme la peau de chagrin mais qui rétrécit aux désirs...à la réalité et aux malentendus...Le bonheur étant relatif , on peut dire que ça n¿existe pas... Et si le Paradis existait...! dirait l'autre ...Moi je crois que c'est ça ...le bonheur...le vrai...

La conscience humaine est une boussole. Elle guide l'homme et l'aide à faire les meilleurs choix au cours de son existence. Cependant il arrive que, sous l'emprise des difficultés existentielles, l'homme ait une conscience embourbée. Raison pour laquelle d'ailleurs, ce livre apparaît comme une prescription médicale permettant à chaque lecteur africain et d'ailleurs de pouvoir re-trouver le chemin!

«Je reviens de loin!» est un témoignage!Il dévoile un pan de l¿histoire de son narrateur. C¿est donc une autobiographie, et également celle de milliers de fonctionnaires, aux prises avec les acteurs d¿un système économique véreux : les usuriers, connus aussi sous le nom de «margouillats».Le témoin essaie d¿éclairer les activités nuisibles de ces bourreaux, maîtres de son compte bancaire, donc de son salaire et de sa vie ; des hommes qui l¿ont réduit à la portion congrue, lui qui était annoncé comme l¿un des fleurons de sa famille!Il décrit une vie professionnelle débutée dans les meilleures conditions mais qui, du fait de ces hommes sans foi ni loi, décline.S¿il peint ici, ses espoirs d¿une vie normale brisés, ses déboires, c¿est pour alerter ses collègues enseignants surtout les débutants qui y sont les plus nombreux, sur les dangers qüil y a à fréquenter -volontairement ou non- les hommes et les lieux qui ont été les siens.C¿est aussi un hommage à Dieu qui a permis que le narrateur sorte de cette gadoue, sans grand dommage!

L'auteur décrit avec force détails, comment les forces de sécurité ont réussi de main de maître, à neutraliser le plus important groupe de terroristes, implanté dans les monts abrupts d¿Ain Defla, l'été 1995. Dans ce livre, l'auteur raconte la reddition d'un émir qui a révélé à l'ex Wali de cette région, l'existence de centaines de criminels qui préparaient des attentats et coups d'action qui devaient cibler de nombreuses institutions d¿Alger, sa périphérie et Blida, sa voisine. Deux figures de proue à savoir l'ex Wali de Ain Defla et le Général Commandant de la Première région militaire, avaient ainsi à cette date là, que l'histoire retiendra, accompli avec abnégation leur action courageuse. Les unités de l'armée nationale populaire avaient ainsi mobilisé les grands moyens pour les besoins de cette opération militaire de grande envergure, mais surtout pour venir à bout d'un groupe terroriste qui activait déjà depuis quelque temps dans cette zone névralgique. Les massifs montagneux qui vont de Beni Melik et Bourkika jusqu'à Hammam Righa et certains maquis de la wilaya d¿Ain Defla ont été bombardés par l'aviation et les mortiers, suivis d'une grande opération de ratissage ...

Concernant l'histoire en général, le premier chapitre est une introduction à la vie du personnage principal, Anielle, issue d'une famille polygamique et comptant pauvre vingt-quatre enfants quimalgré tout avait une enfance paisible jusqu'à ses onze ans quand elle fut offerte à la rue par ses parents et comment elle a pu se détacher des tentations et des mauvaises compagnies. Lesecond, le troisième et le quatrième chapitre annoncent le début d'un nouveau défi grâce à un exposé sur le changement climatique présenté par le protagoniste dans son école et l'influenceque cela va avoir dans sa vie Le chapitre cinq et six est une compilation de sagesse, d'émotions, de surprises qui vont propulser le destin d'Anielle vers d'autres horizons.

C¿est l¿histoire d¿une jeun fille qui sort d¿une famille très pauvre. Ne sachant pas comment s¿en prendre aux dures réalités de la vie, la jeune Karine orpheline de père va s¿adonner à la prostitution nonobstant les conseils de sa mère. Pour elle, c¿était le seul moyen pour sortir sa mère et elle de la pauvreté qui dormait à leur porte. Après s¿être engagée dans cette pratique en compagnie de sa camarade de classe Falonne, Karine se retrouve avec une grossesse et le VIH/SIDA.

Les essais libres sont les écrits d'un jeune à la jeunesse. Il veut stimuler les jeunes à avoir conscience de leur existence et se réveiller de leur sommeil dogmatique. Nous sommes faits pour aider les autres et le talent doit se partager. Nous sommes appelés, nous jeunes congolais à imiter les bonnes notions d'enseignement et les bons exemples de vie que l'on nous montre.Nous ne pouvons pas rester toujours esclaves.

PENSÉES D'UN PÉLÉRIN est une réflexion de l'auteur qui s'interroge sur la finalité de l'existence de l'humain, aux travers des thématiques telles que:La vie;L'existence;La mort;Le temps;Dieu;Le mariage.Agrémenté de poèmes qui magnifiant les valeurs nobles prônées par l'auteur.Cet ouvrage est conclu par Mes préceptes, qui sont des recommandations d'attitudes et autres comportements à adopter pour une société meilleure.

L'ouvrage relate des faits troublants que l'auteur a personnellement vécus ou qu'il a eu l'occasion de visiter dans le monde de la presse ou à partir de récits de la vie courante mais suffisamment forts et qui méritent d'êtres lus !!!!! L'auteur tente de saisir l'attention d'un plus grand nombre de public sur les conditions de vie des administrés face à leurs administrateurs souvent mégalomanes.

'' En fin de compte,ce qui compte c'est ta perception des choses et non pas celle des autres, le plus important c'est ton regard envers chaque détail aussi petit qu'il soit, c'est cette dernière goutte qui a fait déborder le vase et c'est elle qui permet aux graines de germer. Avance sans courber la tête, brûle ta peur et approche toi du soleil, nourris ta foi par ta persévérance et arrose ton courage par ta détermination, et ne soit pas le pain des remords.''

L'Afrique et le monde contemporains sont traversés de part et d'autre par de multiples problèmes. Dans ce contexte, le poète ne saurait être indifférent. Il se doit de se servir de sa plume pour dire ces maux en vue d'inciter au changement. C'est à ce noble exercice que se livre Fouapon Mougnutou dans ce recueil de poèmes. l'Afrique qui peine à sortir la tête de l'eau, la spiritualité prise en otage par des religieux malveillants, cris ignorés des déshérités, les TIC qui absorbent, l'éducation et la nature spoliées; voilà quelques thèmes qui sont passés au peigne fin par l'entremise de ces vers délicieux.

MA VIE D¿ENFANCE dans lequel Gbèmèho revient sur son enfance compliquée, dans une famille pauvre frappée par le malheur alors que sa mère se bat pour tenir le coup, est un vrai chef-d¿¿uvre. A travers ce récit d¿une femme forte qui affronte vaillamment les nombreuses épreuves de son existence, on vous propose une belle leçon de courage et de vie. Le narrateur en louant ainsi la détermination de sa famille et plus particulièrement de sa mère, leur rend hommage d¿une façon très touchante.

... une pensée me revenait souvent celle de quitter mon pays et de partir nulle part ailleurs, c¿est de partir loin, là où ma vie, peut-être changera un jour, depuis longtemps, je cherchais une solution, je suis là, j¿attendais un miracle, qui, peut-être va se réaliser.Un phénomène est né dans l¿esprit de ces jeunes en désarroi d¿une male vie, qui les laissent tenter l¿aventure suicidaire, une traversée qui peut leur coûter la vie, il est toujours difficile d¿imaginer qüon peut rêver pour mourir, le rêve mortel, comme on peut l¿appeler.On se demande, qüest ce qui peut vraiment vous faire quitter votre pays d¿origine ? ...

C¿est une réelle histoire d¿amour invraisemblable, celle de Joseph et Aicha, conclue par un mariage mixte inédit pendant les premières années de la colonisation de l¿Algérie par les Français. En dépit des contraintes qui ont entravé la concrétisation de cette alliance, le couple réussit à s¿unir pour toujours, après tant de souffrances, de patience et de lutte pour la seule cause de vivre à deux. « Euro-indigène » est un roman qui brosse le cheminement des faits de cet accord franco-algérien singulier, avec des narrations fictives qui s¿appuient sur la trame d¿un vécu authentique inscrit dans le patrimoine immatériel de la région de Sidi Bel Abbes, dans l'Ouest algérien. L¿événement coïncide avec la période de la première résistance populaire du peuple autochtone à l¿invasion des Européens de L¿Afrique du Nord. Un arrêt à cette station historique est indispensable pour décrire l¿atmosphère hostile qui régnait autour de cette communion exceptionnelle. Le climat était tendu entre l¿armée coloniale et les baroudeurs des tribus autochtones. Il y avait la guerre entre eux, il y avait l¿amour aussi.

KING MAHDI, de son vrai nom Mahdi Gombo Issaka, décide de publier son premier livre en classe de première. Le livre parle sur la vie de son grand-père Moussa, son ami et camarade de classe Obscur, de son vrai nom Abderahman. Il parle également sur la vie au Tchad. Il décrit les différentes personnages qüon peut y trouver au Tchad. Il est appelé Ambassadeur de la paix parce que pour lui il n¿y a pas de développement sans la paix et il n¿y aura pas de l¿amour sans la paix.

Dès mon retour de la rencontre des huit imjuhad que j¿avais sauvés de la mort alors qüils étaient chargés d¿évacuation du maquisard blessé qui se trouvait dans notre abri, toutes les femmes prirent les choses au sérieux en un temps record. Elles me roulèrent dans une natte en alfa et me posèrent sur le haut d¿un large agragu (cellier à blé de forme carrée). Dans l¿étroitesse de cette natte en alfa, j¿étais semblable à un coq qüon venait d¿égorger. Il s¿ébrouait et fait encore quelques bonds avant de retomber pour rentrer dans la mort. Sentant ainsi, vraiment la mort promise par le goumier, arrivée à mes narines, je n¿étais plus rétive et irascible, je songeais plutôt aux mondanités. Finalement l¿être vivant peut s¿habituer à tout jusqüà ce que le cauchemar devienne une partie du corps et de l¿âme. Nos femmes s¿adonnaient à ce moment-là à la prière et à la méditation, implorant Dieu et nos saints de nous délivrer. Quant à moi, dépouillée de tout courage, je tombais dans une sorte de prostration et en quelques fractions de seconde tout s¿enténébrait dans l'image de la mort. J¿avais le c¿ur pantelant.

Ce livre relate, principalement, l'histoire de deux âmes, à la fois identiques et différentes. Un règlement de compte hors du commun va bouleverser la vie de Brandon et celle de Daphnée. Malgré les coups de la vie, aucune de ces deux âmes ne s'avouera vaincue. Elles tomberont, mais se relèveront toujours prêtes à repartir. Dans cet océan d'émotions, vous retrouverez un mélange de culture, d'éducation, de savoir faire et de savoir vivre.

Ce recueil est une expression des cris de détresse d'un peuple longtemps meurtri par les affres de la guerre. Il s'agit d'un son d'alarme pour dire au monde que son désir le plus profond est de vivre en paix. Sans être seulement une sélection des chants de notre deuil quotidien, ce recueil est aussi l'expression du voeu de bonheur hypothéqué par certains hommes avides. À travers ce recueil, toutes les personnes victimes de la violence et de la guerre disent : nous voulons vivre, nous refusons de mourir. Les poèmes présentés ici portent haut ce cri que beaucoup s'efforcent d'ignorer.

La Kabylie a joué un grand rôle dans la lutte pour l¿indépendance algérienne. Avec la libération, ce furent encore des Kabyles qui mirent en avant les questions de la pluralité dans un pays en proie au totalitarisme.Montagne et vallée participent d¿un nouvel équilibre consolidant dans cette territorialisme, l¿assise d¿un lignage placé sous le signe de l¿individualisme agraire qui va supplanter au lendemain de la révolte de Mokrani les communautés et les hommes de l¿essentiel de leur terre. Dans une trajectoire autrement initiatique, le descendant du saint fondateur entend réaliser son ancrage sur cet autre territoire de la contingence.

Au Tchad, l'existence peut être difficile et l'avenir incertain. La mal gouvernance et la corruption sont endémiques et la pauvreté touche un grand nombre de citoyens. Pourtant, parmi ces conditions difficiles, une modeste vie peut toujours être menée. C'est cette modeste vie que ce roman explore. Il raconte l'histoire d'un Tchadien ordinaire qui se retrouve à devoir affronter tous les jours les défis de la vie quotidienne dans un pays où les opportunités sont limitées. Ce personnage, avec son courage et sa détermination, parvient à surmonter les difficultés et à trouver le bonheur et la joie dans sa vie. Un jeune tchadien né dans une petite communauté rurale modeste, à l'orée de la savane. Les anciens de la communauté l'ont nommé OUANGBI, ce qui signifie le chef des eaux en langue ¿Toupouri¿ de Fianga. OUANGBI était le benjamin de sa famille, et bien que sa famille fût pauvre, ils l'ont chéri et l'ont encouragé à rêver d'un meilleur avenir. Bien qu'il ne sache pas ce que cela signifiait, il sentait qu'il devait faire quelque chose.

Récit autobiographique brûlant comme le soleil, exotique comme les délices des souks et explosif comme les grenades en Afrique du Nord.Une enfant ordinaire, Jeanne, grandit dans ce pays de lumière qüest l¿Algérie. Elle nous entraine dans la toile de menus décors, autant de saynètes de sa vie de chaque jour dans laquelle elle réussit à nous tenir captifs. Nourri de sa mémoire ce récit ne peut laisser personne indifférent. On s¿attache à l¿enfant rebelle, indomptable, à l¿adolescente farouche, à la jeune fille en fleur avide de découvertes et de nouveaux horizons.Un récit fort qui nous plonge dans les années 45 à 70 lors des « événements » et dont le quotidien ne ressemble en rien à celui de nos jours.Vie riche d¿émotions d¿hier et d¿avant-hier, rapportée sans complaisance mais avec une infinie tendresse.Et toujours à la recherche de l¿amour entre les lignes entre les mots.

Les campagnes voient impuissamment leurs fils partir. Entre partir et rester moisir dans la galère, comme pour tous autres jeunes désireux d¿un avenir meilleur, le choix paraît très clair. Ne dit-on pas qüessayer et échouer n¿est pas blâmable ? Les frasques de deux jeunes se croisent : Ndingarom et Déné, deux jeunes qui ont choisi de braver les mirages de la vie citadine. Cela n¿est pas sans conséquences. Ndingarom tombe amoureux de Déné, mais très vite cet amour s'évanouit, plongeant l¿existence du héros dans un tournant tragique à la mort de celle qüil aime, Déné, et le conduira à s¿expatrier et à se retrouver seul, noyant son chagrin dans l¿alcool.

- Il s'agit d'histoires ayant trait au DESTIN- récits paranormaux- Un jeune couple part en voyage de noces en Paquebot jusqu'aux îles Fidji et y passent en tout 2 mois. Au retour, catastrophe, le paquebot a de très grosses difficultés et coule, le mari meurt et l'épouse saute dans l'Océan et s'accroche à une planche, elle échoue sur une île déserte.- Un jeune couple va bientôt se marier, ils sont fous amoureux mais le meilleur ami du futur marié est amoureux aussi de la même femme et ferait n'importe quoi pour l'avoir jusqu'au pire.

Ce roman parle d'un enfant abandonné à la recherche de ses parents. Un enfant avec une licence en lettres. Un enfant appelé Fabrice qui a vécu des atrocités physiques et morales dans sa condition d'esclavage. Un enfant devenu un esclave. Il avait pour seul rêve de retourner dans son pays natale. Un pays qui avait depuis trahit son père. Dès son retour au Cameroun, il fait la rencontre d'un jeune professeur des lycées appelé Essola. C'est avec l'aide de ce dernier qu'il parvient à avoir un metier "d'enseignant" comme son père. Mais il a fallu attendre quelques années pour comprendre que les réalités dont déclinait son père étaient vérifiables. Dans un pays qui avait depuis longtemps abandonné l'éducation et la formation de ses enfants pour développer la corruption, la démagogie, l'aliénation et la montée en puissance du printemps des personnes médiocres.

L¿auteur exerce une activité professionnelle qui l¿amène à voyager et à rencontrer beaucoup de gens avec qui il interagit dans un cadre d¿amélioration de la communication et des relations interpersonnelles. Au nombre de ces contacts, plusieurs femmes d¿exception avec qui il a souvent développé des relations de grande estime et d¿amitié. A certaines de ces femmes, il écrit des poèmes lyriques pour sublimer leurs relations. Il s¿agit d¿un refuge utile qui permet d¿éviter de franchir le pas de la relation charnelle et garder la flamme de l¿intimité dans toute sa pureté et sa candeur. Au-delà de chacune de ces femmes d¿exception, destinataires de ces écrits, Amour sublimé est un recueil d¿une soixantaine de ces poèmes, que l¿auteur souhaite offrir à la jeunesse pour célébrer la Femme, qüil considère comme la merveille de toute la création. Il s¿agit aussi d¿une contribution à la conscientisation de la génération montante, qui dans sa soif de liberté sexuelle, a fini par réduire l¿amour à sa dimension physique au détriment de toute sa beauté.

Jean-Pierre PENDEREKOLI, 67 ans, vocation tardive d¿écrivain ? Je ne sais pas. Tardive, bien sûr, mais tant d¿autres à cet âge en Afrique sont finis. Tout ce qui leur reste, c¿est de manger et de boire les superflus des autres s¿estimant attendre leur dernier jour, rien que cela et pas d¿autres. Les conditions de réussites étant très difficiles en Afrique noire en ces temps-là, mieux vaut tard que jamais. Autour des années 50 à 70, en Oubangui Chari, les pistes rurales qui relient les quelques villes trop distantes les unes des autres, sont 2 mal entretenues, et dégradées en permanence ; les passages des véhicules dans les villages étant très rares et les écoles ne se trouvant que les villes, le chemin de l¿école était noir et celui de la brousse nettement clair. La brousse nourrit et fait vivre. L¿école, c¿est des errements sur des sentiers dangereux à cause de Gon la panthère, de Mballa l¿éléphant, de chasseurs d¿hommes qui parcourent les brousses en tous sens.

Alors que la crise dite anglophone se déroule dans le nord-ouest et Sud-Ouest Cameroun, le petit village Nguti qui jusque-là était paisible connaîtra un bon matin des évènements jusqu'ici raconter de bouche à oreille. Les combattants dits séparatistes envahiront le village, détruisant tous sur leur passage. John et sa cadette de s¿ur irons trouver refuge au village voisin ou réside leur tante. Mais hélas les choses deviendrons plus difficiles et blessing la petite s¿ur de John vint à mourir faute de soins.