Böcker utgivna av Editions Muse

L'auteur préfère encore ses déceptions amoureuses par rapport aux guerres. La société humaine se porte très mal aujourd'hui. Malheureusement le peuple continue à la martyriser. Certes, certains se battent nuit et jour pour l'amour ; mais combien sont-ils ? On nait dans l'innocence, passe une jeunesse merveilleuse sans pour autant se soucier de l'avenir. Pourtant, le monde nous réserve trop de surprises désagréables. Quoi qu'il en soit, seuls les intérêts personnels guident les humains actuels. On a beau été bien éduqué, la société s'acharne toujours à nous transformer en des fauves. Dans ce recueil de nouvelles bien que peu volumineux, car constitué de 8 nouvelles, l'auteur traite sur des thèmes variés qui font bouillonner nos sociétés d'aujourd'hui. Ainsi, des questions de la jalousie, de l'ingratitude, de l'amour, de la haine, de l'irresponsabilité, des guerres ; en un mot, les maux de nos sociétés actuelles sont les thèmes privilégiés de ce recueil...

Mes tissages de metissage est une poésie qui tient du classique, de la révolte littéraire, de la libérté dans le chagrin, dans la joie, dans l'inconnue bref dans l'être humain avec toutes ses facettes. L'humain tout entier est metis et metissé. Aucun humain à ces jours ne peut se reclamer d'être pur dans son esprit, son âme et même dans son corps. Nous sommes tous metis et metissés. Alors le constat lui, celui de ce que nous sommes devenus, fait partie de MES TISSAGES

O-Koli, issu d'une souche paysanne, a épaté plus ses formateurs et les inspecteurs. C'est de cette manière qu'il a gagné la confiance de l'inspecteur général de nationalité française qui va prendre en charge sa scolarité. Après l'obtention de son Bac, il bénéficie d'une bourse d'étude qui lui permet d'aller parfaire ses études en France où il a brillamment réussi sa thèse de doctorat. Il devient ainsi la coqueluche et est sollicité par beaucoup de pays. La France et la Chine discute pour obtenir l'approbation du jeune homme, mais la décision provient de son père adoptif le français, Monsieur Boret.

Cela fait plus des siècles que l¿Africain passe le dur moment, à répondre contre les présomptions et vaines accusations sur son identité. A prouver son existence comme être humain. Malheureuse-ment c¿est l¿autre qui doit le confirmer. Et ce n¿est pas n¿importe quel ¿¿l¿autre¿¿. C¿est l¿occident qui devra le faire. L¿a-t-il fait ? Combien a-t-il pris du temps pour le proclamer ¿¿être humain¿¿ à co-habiter avec? Cet africain comme être humain, est-il confirmé déjà à 100 pourcents ou il ya encore de doutes qui planent? Ou bien, est-il toujours en perpétuel processus de confirmation ? Lui faut-il encore passer d¿autres testes comme, il le fit devant ses explorateurs, colonialistes et missionnaires? Pourquoi ne sommes-nous pas patient de l¿autre ? Pourquoi n¿appuyons-nous pas l¿idéologie de notre Père pour cheminer ensemble vers la construction de cette Afrique dispersée ? Qui a dit que nous serons là toujours pour vaincre aux élections? C¿est seulement chez-nous où nous constatons les mandats doublé et triplé. C¿est chez-nous au 21e siècle que les opposants ont leurs places aux prisons. Qui a ensorcelé le destin des africains? L'occident et les gouvernants africains à vous le jeu.

Dans le cadre de cette publication, nous voulons faire valoir plusieurs points qui touchent :- Les souvenirs d¿une recherche scientifique collaborative- La culture et la littérature dans le dialecte au Maghreb- L¿usage du vocabulaire d¿Ain El HûtsElle a pour objectifs les intérêts, liés à la recherche scientifique d¿une part et à l¿Histoire et à la Mémoire d¿une localité particulière ou singulière par son riche passé socio culturel, voire l¿origine de sa population d¿autre part.Nous parlons d¿Ain El Hûts, ayant pour allonyme Blèd Eshorfa W l M¿rabtine.D¿ailleurs, plusieurs articles et ouvrages font preuve pour mettre en valeur le passé de cette localité.Par ailleurs, nous cherchons également à rendre hommage à Taleb Mohamed Nour Eddine, un spécialiste du dialecte algérien. Décédé à la suite d¿une maladie, cet enseignant - chercheur travaillait le dialecte de l¿ouest algérien, un champ de recherche interpellant en raison de l¿indigence des travaux sur les dialectes algériens, et plus particulièrement la région de l¿ex Oranie.

La poésie de Jonas MAKI, dans L'Avers et le Revers de la vie, couvre une dimension assez large dont la couleur de l'histoire se réfère à l'amour, au souvenir, à la mort, à la paix et à l'avenir. Depuis que les monstres ont mis feu sur la prospérité de l¿homme, la valeur humaine est foulée au pied. Ainsi peut-on voir les audacieux se sauver et les moribonds se noyer, contre leur gré, dans le flot de détresse. Et que va-t-il suivre ? Certes, Des cris perçants et laryngés, languissants, déclare le poète (cf. p. 55). Cependant, le poète demeure optimiste : Je rêve dans mon sommeil le MilleniumBonheur rêvé dans mille consilium (cf. p. 42)Mais comment arrêter de marcher dans l'ombre de ceux qui rivalisent votre joie ? Stop à la vocifération banale. La liberté s'arrache et le respect s'impose. Combien de temps faudra-t-il encore pour continuer à croire aux boussoles qui contredisent le bien-être de l¿homme, que de suivre les étoiles qui mènent à la bonne adresse ? Et si notre bonheur est exilé, refusons que notre avenir soit kidnappé. C'est un honneur bien ardent que cette plume adresse à tout le monde et à l'Afrique. Constantin KAGU

L¿ignorance d¿effets réels est la narration du vécu traumatique d¿une fille aux frontières entre l¿incomplétude d¿un monde réel et la fibre cauchemardesque d¿un univers irréel. Un protagoniste qui a d¿abord lutté seul à cause d¿une communication parentale défectueuse. Voie royale de l¿inconscient, l¿onirisme peut lever le voile sur l¿état d¿âme, les pactes inconscients ou non avec le Bien ou le Mal. Dans ce roman, l¿auteure cavale harmonieusement de la réalité au fantasmagorique. Elle chevauche allègrement l¿univers tangible et le monde plus angoissant et insaisissable de l¿invisible du pôle négatif.

Parler des personnes illustres, c¿est rappeler leurs parcours, qüils soient professionnels ou autres. Dans le cadre de cette publication, nous consacrons le temps pour faire valoir le passé, la mémoire et les souvenirs d¿un instituteur, ayant formé plusieurs générations, à travers le territoire du Tlemcenois, dans le sens de rappeler l¿ancienne médina, ancienne capitale du Maghreb central et son hawz. Mais, nous insistons sur les écoles de l¿extra muros dont celles des montagnes des Beni Snous et du centre de Sabra (ex Turenne, dans la wilaya de Tlemcen).Nous reconnaissons les valeurs de cet homme, ayant joué un rôle important dans le mouvement associatif de Tlemcen. Nous rappelons, également, la qualité de son travail, en matière d¿enseignement, du faire valoir de la culture algérienne dont celle de sa ville natale, et de l¿importance du sport, qüil soit à Tlemcen ou à Mascara. Il faut noter que cette publication entre dans le cadre de la célébration du quarantième anniversaire de sa mort, survenue à Tlemcen, creuset des sciences et du savoir.

Gabriel Duconte était un agent secret français de l'Ordre des Roses Croix, spécialisé dans l'infiltration et la manipulation. Il avait été formé dès son plus jeune âge à maîtriser les langues étrangères et les techniques de communication non verbale, ce qui lui permettait de se fondre dans n'importe quel environnement.Gabriel Duconte avait développé une capacité psychique qui lui permettait de percevoir des informations au-delà des cinq sens physiques. Il pouvait capter des informations à distance, voir à travers les murs et même prédire l'avenir dans certaines situations.

Difficile de construire, mais facile de détruire. Facile de souiller, mais difficile de purifier. Voilà à quoi se résume cette histoire, un jeune homme qui voulait en savoir plus en croyant ne pas en savoir assez. Alors est née la malédiction, qui se répercutera sur toute sa descendance. À la septième génération, un beau bébé fera son apparition. Il se nomme Leo. C¿est lui qui devra rompre la malédiction. Leo doit être courageux, brave. Il doit suivre des instructions précises. Des instructions cependant périlleuses. Mais au péril de sa vie, il n¿abandonnera pas.

Le couple DIASONUA, un couple modèle et exemplaire se bat pour l¿éducation de ses enfants, les filles surtout, pour leur assurer un avenir meilleur. L¿éducation étant nécessaire et essentielle pour ses enfants, le couple se donne corps et âme pour cela et ne tient pas compte des ambitions des enfants.Le destin fera peser la réalité sur les projets de ce couple et ne pourra supporter l¿évidence qui constituera un imprévu au plan de ce dernier. L¿histoire se passe entre la province du Kongo central et celle de Kinshasa. Eve-Angélique, l¿une de fille Diasonua fera preuve de bonne foi et volonté à vouloir satisfaire les désirs de ses parents à son propre détriment.

Après avoir quitté la police nationale, l¿ex commandant Kombani se reconvertit en civil, pour se consacrer à temps plein à l¿ADIKE, une ONG de développement et de défense des droits de l¿homme dont il est coordinateur (voir Conditions masculines 1).Grace à l¿intensité des activités de l¿ADIKE à Kinshasa et à Kimbau, Kombani se fait positivement remarquer, attirant l¿antipathie des anciens politiciens et la sympathie de la population qui trouve en lui une autre alternative à l¿inaction et la démagogie des politiciens. Dans un Congo d¿après le dialogue inter congolais, avec les prochaines élections en vue, l¿agent de développement Kombani sera poussé par son entourage à devenir politicien. Il se présentera aux prochaines élections législatives. Proclamé comme élu de la liste de son parti sur le fichier internet de la commission électorale, il sera remplacé par sa marraine politique, proclamée par le ministère de l¿intérieur à la radio et la télé comme l¿élue du parti.

Les artistes, dieux sur terre, avec leur habileté artistique, ripolinent la nature, de façon particulière, pour faire valoir ses diverses beautés, et en plus de ça, défendre les intérêts ou les causes de l'humanité, l'auteur se met en ces derniers, pour apporter un plus à l'existence humaine. Loin des ennuis, ou pour faire taire ces temps de douleur, l'écriture est la préférée et bien placée pour la consolation. La plus grande âme de tout homme, grand qu'il soit, se retrouve clairement dans l'habileté de son génie, de ses savoir-faires... Sur ce, ce beau ouvrage romantique, intitulé RÉSURGENCE D'INDICIBLE AMOUR, en vers, et composé des paroles, destinées pour tentative oculaire et malicieuse en vue de booster le corps de la chose, où l'art poétique est au rendez-vous, la musicalité avec les beaux mots, la cadence des vers accablants de l'âme,... du genre approximativement libre, où tout est clair et limpide, rapide à assimiler. Ce bouquin d'esprit, traite des thématiques en panoplie et pour les citer, ne serait que débordant au bout des doigts, cependant, entre autres, l'amour, l'élément basique de toute chose, la paix, les peines d'existence, de l'Afrique, les déceptions...

Le texte s¿ouvre par une situation inhabituelle : au cours d¿une folle journée, Hérode fait un cauchemar pendant son sommeil, et se réveille dans une Palestine recouverte de ténèbres. Il ne comprend rien à la situation, à un moment si délicat de la vie politique du pays. Il cherche à s¿enquérir de l¿état des lieux qui prévaut auprès de ses collaborateurs qui lui informent de l¿avènement d¿un événement inattendu dans la région : la venue dans leur contrée d¿un challenger sérieux prédestiné à devenir roi. Obsédé par l¿idée de perdre le pouvoir politique, il tentera de se rassurer de l¿exactitude d¿une telle information auprès de son appareil de renseignement et des sages du Sanhédrin. Confirmation lui sera faite. Il s¿en suit une vague d¿agissements subversifs du peuple dans une confusion totale. Ce mouvement d¿humeur est conduit par Judas, qui profitant de l¿effectivité d¿un recensement contesté, proteste contre les exactions des colons romains. Hérode doit rétablir l¿ordre et stabiliser sa Province au risque de paraître indésirable auprès de Rome.

Le monde que nous vivons, nous distrait tout au long de notre existence par des promesses et rêves qui nous filent entre les doigts, impossible de les voir venir ou mieux encore à défaut de prouesses d'avancer vers l'avant.Fatigués d'atteindre notre salut et bonne humeur, nous nous laissons guider par nos instincts qui parfois nous mènent vers une perdition sans équivoque. Sans véritables repères pour nous frayer un chemin vers le bonheur ; tout est à reconsidérer, malgré l'impuissance qui paralyse notre bonne volonté de nous plaire à nous et à autrui.

A l'ère de la magie et de la sorcellerie, Saman un prince née prématuré est écarté de la succession au profit de son frère Maran. Dans un royaume où règne la force , le déchu aidé que par son intelligence et sa connaissance des rites anciens et interdits réussi à réveiller Bartoguum un JINN pour l'aider à la réalisation de son funeste projet à savoir, conquérir le monde par tout les moyens possibles.

C'est un livre qui voudrait humblement interpeller l'homme ou une femme sur le caractère éphémère des événements qui surviennent dans la durée d'une vie mais qui sont uniques. Je voulais écrire des poèmes qui puisse emmener n'importe quel lecteur à donner un peu d'attention à des choses qui parfois peuvent paraître anodines. Bien qu'ayant une certaine signification, puisque ça fait partie de notre vie tout ça. Donc, je me disais pourquoi ne pas dire tout haut ces choses. Et d'ailleurs, ce n'est que la poésie tout le monde pourrait peut-être, je ne sais, apprécier ou chercher à voir ça dans un certain angle. J'ai aussi pour immortaliser des auteurs qui m'ont marqué, notamment Sartre, Césaire, Véronique Tadjo et bien d'autres. C'est que quelque part c'est un rêve qui se réalise en fait. Je pourrais, je sais pas trop, être lu par des gens qui comme moi ont été eux aussi marqué par ces illustres femmes et hommes. J'ai écrit une mémoire pour rendre hommage à toutes les personnalité qui ont attiré mon attention.

La vigne, la magie, le druidisme et le christianisme, sont les clés d¿un peuple peu bavard. Les Celtes aiment les églises qüils ont brûlées, le bouche à oreille est de rigueur, on écoute, on se tait, on consent. Les Celtes sont une énigme, éclaircie dans la vigne d¿un sorcier, sa voix me parvient en sourdine, mène ce livre au grand galop. Paulo croyait aux sorts ? Son père décédé revint le chercher, six mois plus tard il était mort. Comment ne pas croire aux revenants ? Paulo racontait, il avait le temps. Me contait sa mariée, à peine sortie de l¿église qüelle se noie, la nuit, près de chez lui. Je rêve de la même la même nuit, emportée par le torrent près de chez moi. Sorcellerie ? Comment, vivant ici, ne pas croire à la magie ? Je crois aux noyers sorciers depuis que j¿en ai vu un jeter un sort à un passant. Repassant le lendemain au même endroit, une branche morte l¿écrasa. Paulo, Jean-Marie et Jean-François ont tout vu avec moi. Je crois aux sorts, sorcières* et sorciers de ce Rouergue antre des Druides. Je crois à leurs légendes plus réelles que la réalité.

Le monde étant sous l'emprise des guerres, des actes racistes pestilentiels, des actes intellecticides, des dictatures asphyxiantes, des cruautés incommensurables, des maltraitances féminines, des marginalisations exécrables, l'art devrait abhorrer une casquette de répudiation de ces déjections. D'où l'écriture de l'art pour lare, ¿uvre poétique ayant trois sections (À vos marques, Prêts, Partez). Le choix de ces estampilles athlétiques par le poète témoigne à suffisance l'envie véloce de voir s'éclipser de la surface terrestre ces ignominies poubellaires.

Je suis né à Ahounienfoutou, Sous-préfecture de Bongouanou. Ahounienfoutou est un village au bord du fleuve N¿zi situé à 30 Km de Bongouanou. Au CEG de Bongouanou j¿avais comme surnom : Sous-préfet à cause de mon âge et de ma présentation. J¿ai eu ce don d¿être toujours premier de ma classe pendant mon cursus scolaire. J¿ai représenté le CEG de Bongouanou au concours de Mathématiques en 1979. Au centre de Daoukro, au BEPC, j¿ai permis au CEG de Bongouanou d¿être premier devant M¿bahiakro et Daoukro en 1979. J¿ai été Major de promotion en France à l¿ETAA à Rochefort au BE2 Radio Bord en 1983. Je suis le Major de la Promotion Joseph Anoma de l¿EFA (Ecole des Forces Armées) en 1997. J¿étais Avionics au GATL, j¿étais un Officier des Transmissions, Chef des Opérations de l¿Armée de l¿Air, Chef du Service Communication de l¿Armée de l¿Air à la retraite depuis le 31 Décembre 2019. Ce présent livre se propose de faire ma Biographie. C¿est une ¿uvre qui va relater ma vie de Sous-préfet, ma carrière professionnelle au GATL et ma retraite.

Mais dès que l¿on me laissait les rennes pour montrer ce que je vaux, je ne brillais que par mon incompétence et l¿on me renvoyait au bout de quelques mois. J¿essayais alors de retourner à l¿école mais j¿avais perdu le goût des études et la motivation je me retrouvais ainsi dans un cercle vicieux infernal totalement perdue et ne sachant pas quoi faire de mon avenir. Ce sentiment de confusion était renforcé par mon âge, il n¿y¿ a pas eu une classe ou je n¿étais pas la plus vieille sinon des plus vieilles, je me comparais sans cesse aux autres et à leurs réussites mais surtout je me renseignais d¿abord sur leurs âges et bien souvent cela me laissait un goût amer sur ma personne, un dégoût tout simplement. Le domaine où j¿excellais plus que tout le monde c¿est l¿imagination ; et dans mes histoires les personnages racontaient les histoires d¿autres personnages à n¿en plus finir telles des poupées russes et j¿y mettais toutes celles que je rêvais de devenir.

Le monde des métiers de l'artisanat est immense. Et les exemples de la production et de la réalisation sont innombrables. D¿autant que, de nos jours, les outils et les produits offrent aux particuliers les possibilités et les moyens de faciliter la vie en produisant des choses et des trucs traditionnels et robustes.BRAHMI Bénamar

Le Roi du diable est un recueil en prose et vers, exploitant les thèmes ayant trait avec le déclin de l¿être intérieur, de l¿esprit ainsi que de l¿âme. Avec un style rythmé faisant usage des allitérations, l¿ouvrage se pose comme un outil d¿introspection pour ressortir le meilleur de l¿être. À travers les lignes endiablées, l¿¿uvre vous permet de pénétrer dans les profondeurs ténébreuses qui sommeillent en vous, afin de tirer de l¿ombre, la lumière, et devenir maître de soi.

Cette contribution entre dans le cadre d¿une série de publications, ayant pour objet principal la sauvegarde des textes qui, anciens ou oubliés, peuvent retrouver leur place chez la nouvelle génération. Dans cet ordre d¿idée, nous cherchons à mettre en avant des anciens textes qui peuvent, un jour ou un autre, être relus ou utilisés par des chercheurs, qüils soient des chercheurs avertis ou des profanes. Nous parlons des Sciences Sociales et Humaines qui peuvent s¿en charger de cette mission. Djilali Fardeheb fait partie de ces intellectuels algériens francophones et il est un élément dynamique et animé de l¿élite de Tlemcen, creuset du savoir et des sciences. Ancienne capitale du Maghreb centrale, cette ville avait donné de ses meilleurs enfants dans les différentes branches scientifiques et du savoir.

Des années de guerre, de terreur et d'horreur font l'histoire de cette région du monde. Le Kivu, cette région de l'Afrique, faisant le bonheur de certains et le malheur de milliers de Congolais. Ces jeunes enfants soldats, les sheguey ou encore enfants sorciers, les ouvriers des mines...tous sont victimes du système, de la laideur sociale. Ces pauvres des pauvres enfermés dans une morale stérile font face à la plus grande indifférence et au mépris mesquin de ceux qui sont à la base de ce chaos social.

Dans un monde où la turpitude et le vice s'agrandissent et les mariages se raréfient, il faut s'interroger. Pourquoi cette situation ? Dans quelle époque sommes-nous ? À quand le changement ? Il y'a remède à tout. La réponse à cette question est conne comme la lune : la doit-être réglementée. La question du mariage dans notre contexte n'est plus une affaire de famille mais un code de la société et il faut s'y adapter. Allons donc découvrir les merveilles et les vices.

Dans ce roman, nous suivons l'histoire d'une femme qui demande à son mari de se remarier à une autre femme parce qu'elle ne peut pas lui donner des enfants. Au fil des pages, un lien inattendu va se créer entre les deux femmes. Nous découvrirons comment cette union va révéler des secrets et des sentiments inattendus entre les deux femmes, et comment les événements peuvent parfois créer des liens puissants entre deux personnes qui n'auraient jamais imaginé une telle relation.

« Les Récits Alambiqués de Marcy » est une ¿uvre littéraire narrative structurée en dix-huit chapitres, se rapportant aux anecdotes, expériences de personnes à un moment donné de leur existence. En un mot, elle se compose de faits marquants, des histoires palpitantes faisant passer par toutes sortes d¿émotions. Le déroulé des histoires amènera à se questionner, s¿identifier aux personnages en se demandant ce qu'on aurait fait à leur place, à une prise de conscience ou intérieurement à envisager des solutions face au dilemme dans lequel ils se trouvent. Ces histoires pourraient bien être les vôtres¿

L'auteur narre son expérience personnelle dans un style modeste. Ce qui nous rend gai, l'enfant non accompagné jadis, trouve sa famille et s'intègre en société et retourne à l'école. Enfant non accompagné est une grande joie pour ceux qui ont vécu cette période de peur et de souffrance. Enfin, une vision de voir autrement ces enfants non accompagnés qui déambulent par-ci par-là. Bref, nous devons lutter pour une société sans enfants non accompagnés sans guerre, ni inégalité sociale. Regardons-les avec un autre ¿il !