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  • av Jean-Jacques Stormay
    155,-

    Charles de Koninck est probablement le philosophe qui a le mieux parlé du bien commun parmi les thomistes, en ce sens qu'il a montré que le bien commun est le meilleur du bien particulier, en tant même qu'il est commun, à savoir en tant qu'il est aussi le bien d'un autre. Il a raison de cause finale, il appelle d'être aimé comme commun parce que sa communicabilité est indissociable de sa perfection. Mais de Koninck et les catholiques traditionalistes en général ¿ dont le Père Garrigou-Lagrange, qui subordonnait la société à la personne ¿ ne comprennent pas qu'un bien puisse avoir raison de cause finale sans être cause finale ultime.Il n'est qu'une manière cohérente de soutenir la supériorité intrinsèque du bien commun sur le bien particulier, et de conserver à celui-là, en tant que politique le privilège du statut de cause finale ; c'est d'établir que ¿ à la manière dont, analogiquement, un mobile est tout entier quoique non totalement dans chacun des moments intermédiaires de son mouvement ¿ la personne est tout entière quoique non totalement ordonnée au bien commun terrestre comme à sa fin, tout entière et totalement ordonnée au Souverain Bien qu'est la béatitude comme à sa fin ultime.Ce fascicule est un tiré à part de l'Annexe du livre Doctrine du Fascisme Catholique, en abrégé.

  • av Merel Joseph Merel
    325,-

    La philosophie moderne est née dans le terreau de la Scolastique dont elle fut le prolongement et la trahison. Pour expliquer que la philosophie moderne ait nié ce dont elle se nourrissait, on peut convoquer diverses explications unilatérales ou bien il n'y aurait eu de trahison qu'apparente et la philosophie moderne serait ce dans quoi la Scolastique aurait vocation à reconnaître sa vérité immanente; ou bien il n'y eut de conservation que de surface et la philosophie moderne, révolutionnaire dans son principe, serait étrangère à la Scolastique qu'elle aurait supplantée.Il est plus rationnel d'accepter l'idée selon laquelle la Scolastique fut tourmentée par des tensions internes qu'elle ne parvint pas à dépasser dans son propre élément, de telle sorte que la philosophie moderne, en se retournant contre ce dont elle procédait, ne fit qu'accomplir le destin de la Scolastique déjà en partie insurgée contre elle-même. Ainsi en est-il du thomisme lui-même développé tantôt dans la ligne d'un réalisme de l'acte d'être, tantôt dans celle ─ rationaliste et essentialiste ─ d'un réalisme de l'essence en acte. Ce qui est ici proposé, c'est d'abord la mise en évidence au moins de certaines des tensions intérieures au thomisme. C'est ensuite, par l'intromission d'un concept qui n'est pas thomiste mais fruit de la philosophie moderne en son acmé rationaliste, l'exposé d'une tentative de conciliation rationnelle des deux grands courants directeurs déployés dans et par l'Ecole thomiste. Parce que la philosophie moderne est fille infidèle de la Scolastique, contribuer à faire se réconcilier le thomisme avec lui-même est peut-être aussi contribuer à révéler le thomisme ainsi repensé telle la vérité de la philosophie moderne elle-même, son avenir et son accomplissement.

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