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  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    459,-

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  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    339,-

    ¡Ayer me sentí yo feliz, extraordinariamente feliz, como no es posible serlo más! ¡Con que por lo menos una vez en la vida usted, tan terca, me ha hecho caso! ¡Al despertarme, ya oscurecido, a eso de las ocho (ya sabe usted, amiga mía, que, terminando mi trabajo en la oficina, de vuelta a casa, me gusta echar una siestecita de una o dos horas), encendí la luz, y ya había colocado bien mis papeles y sólo me faltaba aguzar mi pluma, cuando, de pronto, se me ocurre alzar la vista, y he aquí que¿, lo que le digo, que me empieza a dar saltos el corazón! ¡Ya habrá usted adivinado lo que ocurría! Pues que un piquito del visillo de su ventana estaba levantado y prendido en una maceta de balsamina, exactamente como yo otras veces hube de indicarle. Así que me pareció como si contemplara su adorado rostro asomado un instante a la ventana y que también usted me miraba desde su gabinetito, que usted también pensaba en mí. Y ¡cuánta pena me dio, palomita mía, el no poder distinguir bien su encantador semblante! ¡Hubo un tiempo en que también yo tenía buena vista, hija mía! ¡Los años no proporcionan ningún contento, amor mío! ¡Ahora suele ocurrirme que me baila todo delante de los ojos! En cuanto escribo un ratito, ya amanezco al día siguiente con los ojos ribeteados y lacrimosos, hasta el punto de darme vergüenza que me vea nadie. Pero en espíritu veía yo muy bien, hija mía, su amable y afectuosa sonrisa, y en mi corazón experimentaba sensación idéntica que en aquel tiempo, cuando la besé aquella vez, Várinka. ¿Lo recuerda usted aún, mi ángel? ¿Sabe usted, palomita mía, que me parece verla en este instante amenazándome con el dedo? ¿Será verdad, mala? La primera vez que vuelva a escribirme, me lo ha de decir sin remisión y con detalles.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    515,-

    Una tarde extremadamente calurosa de principios de julio, un joven salió de la reducida habitación que tenía alquilada en la callejuela de S y, con paso lento e indeciso, se dirigió al puente K.Había tenido la suerte de no encontrarse con su patrona en la escalera.Su cuartucho se hallaba bajo el tejado de un gran edificio de cinco pisos y, más que una habitación, parecía una alacena. En cuanto a la patrona, que le había alquilado el cuarto con servicio y pensión, ocupaba un departamento del piso de abajo; de modo que nuestro joven, cada vez que salía, se veía obligado a pasar por delante de la puerta de la cocina, que daba a la escalera y estaba casi siempre abierta de par en par. En esos momentos experimentaba invariablemente una sensación ingrata de vago temor, que le humillaba y daba a su semblante una expresión sombría. Debía una cantidad considerable a la patrona y por eso temía encontrarse con ella. No es que fuera un cobarde ni un hombre abatido por la vida. Por el contrario, se hallaba desde hacía algún tiempo en un estado de irritación, de tensión incesante, que rayaba en la hipocondría. Se había habituado a vivir tan encerrado en sí mismo, tan aislado, que no sólo temía encontrarse con su patrona, sino que rehuía toda relación con sus semejantes. La pobreza le abrumaba. Sin embargo, últimamente esta miseria había dejado de ser para él un sufrimiento. El joven había renunciado a todas sus ocupaciones diarias, a todo trabajo

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    285,-

    L'écrivain renoue ici avec la veine comique, mais dans un genre légèrement scabreux qui était alors en vogue. Dans le premier récit, nous voyons le mari jaloux attendre sa femme à l'issue d'un rendezvous: il entre en conversation avec un jeune amant de celleci qui l'attend lui aussi. Enfin l'épouse infidèle sort, accompagnée d'un homme. Elle a trompé et son mari et son premier amant... Dans le second chapitre, le même mari jaloux voudrait surprendre en flagrant délit sa femme, mais il se trompe d'étage et, ayant pénétré dans un logement inconnu, il se cache sous le lit où se trouve déjà un jeune homme qui s'est, lui aussi, trompé d'étage...

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    285,-

    Le héros principal est un petit scribe, Vassia, jeune homme plein de qualités, de bonté et d'amour. Ce jeune homme modeste est content de son sort, quoiqu'il ne reçoive que vingtcinq roubles par mois. Son chef, Julian Mastakovitch, l'exploite en lui donnant du travail supplémentaire non payé durant quatre mois. Mais Vassia le fait avec zèle, et lorsque le chef le gratifie de cinquante roubles, l'âme candide de Vassia déborde de reconnaissance. Il est heureux, car il possède un ami qui lui est cher, Arcade, il s'est fiancé à une jeune fille adorable, il jouit de la faveur de son chef. Mais ce «coeur faible» ne peut supporter la plénitude de son bonheur. Il a négligé son travail supplémentaire, en passant tout son temps libre chez sa fiancée: il se sent fautif envers son chef qu'il ne pourra arriver à satisfaire, grossit démesurément sa faute, se sent criminel par insubordination. Et voici que la folie, peu à peu, s'empare de lui...

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    285,-

    Dans une société bourgeoise, frivole, en fête perpétuelle, un homme se rappelle ses premiers sentiments d'amour, alors qu'il n'avait pas encore onze ans. Le 23 avril 1849, Dostoïevski est arrêté pour complot politique. Dès qüon lui permet d¿avoir une bougie, du papier et de l¿encre, il compose Le Petit Héros qui explore le thème, fondateur pour lui, de l¿enfance ¿pensive¿. Son personnage, un jeune garçon de onze ans, y découvre les joies, les espoirs fous et les souffrances de l¿amour, en s¿éprenant d¿une belle dame mariée. Jamais auparavant, sans doute, Dostoïevski n¿avait parlé de l¿enfance avec une telle profondeur. Jamais plus il n¿évoquera aussi sensuellement la nature, l¿odeur de l¿herbe, les fleurs, les chevaux. Du fond de sa cellule, se sachant en danger d¿être condamné à une très lourde peine, Dostoïevski fait ¿uvre de vivant.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    285,-

    M. Prohartchine est un «pauvreriche». Cette nouvelle est tirée de l'histoire véridique d'un avare lue dans les journaux de la capitale, un «nouvel Harpagon mort en pauvreté sur des monceaux d'or. C'était un conseiller titulaire en retraite. Il ne payait que trois roubles par mois pour loger dans un coin derrière le paravent. Il se plaignait toujours de sa pauvreté et la dernière année avant sa mort il ne paya pas son loyer. Il se refusait des mets chauds même aux derniers jours de sa maladie. Après sa mort, on trouva dans ses effets cent soixanteneuf mille vingtdeux roubles en argent et en billets de banque». La lecture de ce fait divers impressionna Dostoïevski. Il poursuit: «C'est alors que j'ai vu passer dans la foule une figure non réelle, mais fantastique. Elle portait un vieux manteau qui lui servait sûrement de couverture pendant la nuit. Elle me croisa et cligna en me regardant de son oeil mort, sans lueur et sans force, et je compris que c'était le même Harpagon qui était mort avec son demimillion! Et voici qu'un personnage surgit devant moi, très semblable au Chevalier Avare de Pouchkine. Il me sembla soudain que mon S. était un personnage colossal. Il quitta le monde et toutes ses tentations et se retira derrière son paravent. Qu'estce, pour lui, que tout ce vain clinquant, tout notre luxe? A quoi bon la commodité et le confort? Non, il n'en a pas besoin, il possède tout cela sous son oreiller, sous sa taie non changée depuis l'année dernière. Il n'a qu'à siffler, et tout ce dont il a besoin lui viendra en rampant. S'il le veut, maintes personnes lui adresseront des sourires attentifs. Il est audessus de tous les désirs... Mais pendant que je rêvais ainsi, il me sembla que je volais Pouchkine.»

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    285,-

    Ordynov est un jeune homme très instruit, détaché de la société, enfermé dans le monde imaginaire de sa pensée et de ses rêves. Il est occupé à écrire une histoire de l'Église. C'est, en outre, un exalté, qui a parfois des crises d'épilepsie (maladie dont Dostoïevski était atteint). Être solitaire, plein de passions refoulées qui n'attendent que le moment de jaillir de son coeur, Ordynov s'éprend de la belle logeuse, dont il ne sait si elle est la fille ou la femme d'un vieillard énigmatique, une espèce de devin qui prédit le sort aux hommes et qui est luimême sujet à l'épilepsie... Tout le récit se déroule dans une atmosphère onirique, où le héros peut à peine distinguer ses rêves du monde réel.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    355,-

    «Les Nuits blanches»: Un beau roman d'amour. La rencontre, puis les rendezvous volés aux rues de SaintPétersbourg, quatre soirées durant, d'un homme et une femme que leur sensibilité commune rapproche. Deux coeurs solitaires s'ouvrent l'un à l'autre dans cette douceur du soir qui est sans doute le pays des âmessoeurs... Une parenthèse d'amour que la brume d'un matin refermera, laissant aux deux rêveurs tout le loisir de s'aimer désormais en rêve. «Le Moujik Marey»: Enfermé parmi les forçats, près de perdre son âme, l'auteur se rappelle un souvenir d'enfance, celui du Moujik Marey, qui lui donne un nouveau regard, qui fait disparaître la haine et la colère de son coeur, qui lui redonne la capacité d'aimer les autres. «Krotkaia» («La Douce»): «Imaginez un mari en présence du cadavre de sa femme étendu sur une table. C'est quelques heures après le suicide de cette femme, qui s'est jetée par la fenêtre. Le mari est dans un trouble extrême et n'a pu encore rassembler ses pensées. Il marche à travers l'appartement et s'efforce d'élucider cet événement.» Ce conte prend la forme d'un récit à lire à voix haute. Le narrateur nous fait partager les interrogations et les tergiversations du mari, ancien officier congédié de l'armée, usurier hypocondriaque. «La Centenaire»: Une vieille, très vieille femme, rencontrée dans la rue. Que devientelle? L'auteur imagine son dernier voyage, sa dernière rencontre et une fin paisible parmi les siens. «L'Arbre de Noël»: Ce conte n'est pas sans rappeler celle de la «petite fille aux allumettes». Un enfant vient de perdre sa mère, est perdu luimême dans une grande ville, froide, impersonnelle, un soir de Noël, et meurt tout seul, dans une cour derrière un tas de bois. Il est recueilli par Jésus luimême, qui l'emmène voir son arbre, l'arbre de Noël de Jésus.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    275,-

    Leise und unauffällig erscheint Er unter den Menschen, und siehe, es erkennen Ihn alle. Das Volk drängt sich an Ihn heran mit unbezwinglicher Gewalt. Es umgibt Ihn, wächst um Ihn und folgt Ihm. Schweigend schreitet Er unter ihnen, mit dem stillen Lächeln unendlichen Mitleids auf den Lippen. Die Sonne der Liebe brennt in seinem Herzen, Strahlen des Lichtes, der Erleuchtung und Kraft strömen aus seinen Augen und gießen sich über die Menge und wecken die Herzen der Menschen. Er streckt ihnen seine Hand entgegen und segnet sie, und aus der Berührung mit seinem Körper, ja schon aus seinem Gewande fließt heilende Kraft. Ein Greis, der seit der Kindheit blind war, ruft aus der Schar: ¿Herr, heile mich, damit ich Dich erkenne!¿ Und siehe, von seinen Augen fällt es wie Schuppen, und der Blinde sieht. In den Augen der Menschen sind Tränen, das Volk küßt die Erde, über die Er hinwandelt, die Kinder werfen Blumen vor seine Schritte, singen Lieder und rufen Hosianna. ¿Er ist es, Er,¿ wiederholen alle, ¿Er muß es sein und kein anderer.¿ So kommt Er vor das Tor der Kathedrale, wo Menschen unter Heulen und Wehklagen einen weißen offenen Kindersarg tragen, darin ein siebenjähriges Mädchen liegt, die einzige Tochter eines angesehenen Bürgers der Stadt. Das tote Kind liegt da, ganz in Blumen gebettet. ¿Er wird dein Kind auferwecken vom Tode¿, rufen Stimmen der weinenden Mutter zu. Aus der Kathedrale tritt dem Sarge ein Priester entgegen, er vermag nicht gleich zu fassen, was hier geschieht, und runzelt die Stirne. Da hört er ein Aufschluchzen: es ist die Mutter des toten Mädchens, sie wirft sich zu seinen Füßen nieder und hebt ihre Hand zu Ihm auf und ruft aus: ¿Wenn Du es bist, dann wecke mein Kind vom Tode auf!¿ Die Prozession bleibt stehen, der Sarg wird vor Ihm auf den Boden gelassen. Er sieht auf ihn hernieder voll Rührung, und sein Mund spricht noch einmal: ¿Talifa kumi.¿ Und das Mädchen erhebt sich im Sarge, setzt sich auf und blickt im Kreise um sich mit erstaunten offenen Augen. In den Händen hält es das Sträußlein weißer Rosen, mit dem es im Sarge gelegen hat. Das Volk ist bewegt, Stimmen, Schreie, Schluchzen. In diesem Augenblicke geht an der Kathedrale über den Platz der Kardinal vorbei, der Großinquisitor, ein Greis von bald neunzig Jahren, hoch und aufrecht, mit vertrocknetem Gesicht und tiefliegenden Augen, in welchen noch verborgen das Feuer glüht. Heute ist er nicht in den Prunkgewändern, in denen er sich gestern dem Volke gezeigt hatte, da er die Feinde des römischen Glaubens verbrannte nein, heute trägt er die alte grobe Mönchskutte.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    355,-

    Dostoïevski décrit luimême la genèse de ce roman épistolaire, première oeuvre qu'il a publiée: «La fumée sortait des naseaux des chevaux, des colonnes de fumée montaient des toits des deux rives et il semblait que de nouveaux édifices surgissaient audessus des anciens, qu'une nouvelle ville se bâtissait dans l'air... Il me semblait que toute cette ville, avec tous ses habitants, puissants et faibles, avec toutes leurs habitations, asiles de mendiants ou palais dorés, ressemblait en cette heure de crépuscule à une rêverie fantastique, enchantée, qui disparaîtrait et se dissiperait en fumée montant vers le ciel sombre. Je me suis mis à regarder et je vis soudain des figures étranges. C'étaient des figures étranges, bizarres, tout à fait prosaïques, qui n'avaient rien de Don Carlos ni de Posa, rien que de simples conseillers titulaires, mais en même temps des conseillers titulaires fantastiques. Quelqu'un grimaçait devant moi, en se dissimulant derrière cette foule fantastique et tirait des ficelles, des ressorts. Les poupées se mouvaient, et il riait, il riait! C'est alors que m'apparut une autre histoire, dans quelque coin sombre, un coeur de conseiller titulaire, honnête et pur, candide et dévoué à ses chefs, et, avec lui, une jeune fille, offensée et triste, et leur émouvante histoire me déchira le coeur.»

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    355,-

    Dans ce «vaudeville à la russe», Dostoïevski retrouve l'inspiration comique du Double et du Crocodile. De nouveau l'enfermement, les déambulations, la solitude et de nouveau la jalousie, le baiser entre ennemis, et le désir mimétique. Le mot «éternel» du titre suggère la répétition infinie du triangle infernal mari cocufemmeamant, chacun tenant l'autre par la barbichette. Le triangle infernal est une excellent moteur littéraire, même et surtout s'il tourne au cercle vicieux. Curieusement, il y a aussi dans L'Éternel mari une sorte d'innocence, d'inconséquence, de légèreté. D'ailleurs le triangle infernal n'est rompu que par la fuite et le rire. Pas de rédemption dans le Christ, ici.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    409,-

    Ce court roman fut publié un mois après . Il reçut un accueil mitigé dans le public, maints lecteurs se plaignaient de ses longueurs, quelques critiques dénoncèrent une trop nette imitation de Gogol. Cependant Biélinski insistait sur la portée sociale de ce roman et il lui consacra un article dans lequel il caractérisait Goliadkine comme «un de ces hommes prêts à s'offenser, maniaques de leur ambition, que l'on trouve souvent dans les classes moyennes et basses. Il lui semble toujours qu'on le vise par certaines paroles, certains regards, certains gestes, qu'on le circonvient et qu'on trame contre lui des intrigues et des sapes souterraines». Le critique dit même qu'il trouvait dans Le Double «encore plus de talent créateur et de profondeur de pensée que dans .» Dostoïevski avait l'intention de remanier de fond en comble cette nouvelle, mais n'en a pas eu le temps. Goliadkine devait y devenir un fouriériste faisant partie du cercle de Pétrachevski. Il aurait eu l'ambition de se mettre à la tête d'une révolte et son double aurait été l'espion qui trahirait les révolutionnaires. On peut regretter que ce projet ne se soit pas réalisé. Dostoïevski écrit luimême, en 1877, dans son Journal d'un Écrivain: «Cette nouvelle ne m'a pas du tout réussi, mais son idée avait été assez claire, et je n'ai jamais introduit une idée plus grave dans la littérature. Cependant la forme de cette nouvelle a très mal réussi.»

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    355,-

    Qui mieux qu'un joueur pouvait décrire la descente dans l'enfer du jeu? Courant les grands casinos européens, Dostoïevski est criblé de dettes quand il écrit ce court roman. Dans une ville d'eau imaginaire, Alexis est employé dans la maison d'un général russe endetté auprès de son entourage. Paulina, pupille du général, demande à Alexis de jouer à la roulette pour elle, son rang lui interdisant les jeux d'Hasard. Elle a besoin d'argent mais ne dit pas pourquoi à Alexis, amoureux d'elle. Le général a également besoin d'argent, il attend la mort d'une tante et l'héritage, condition pour pouvoir épouser Blanche de Comminges, une femme beaucoup plus jeune que lui. Mais, voilà, la tante découvre le jeu de la roulette...Le Joueur (en russe : ¿¿¿¿¿) est un roman court de l'écrivain russe Fiodor Dostoïevski paru en 1866.Rédigé1 dans l'urgence, le roman a été dicté en vingt-sept jours2 à Anna Grigorievna Snitkina3. Pressé par son éditeur Stellovski, à qui il avait promis ce roman, contemporain de Crime et Châtiment, Dostoïevski en a néanmoins fait une ¿uvre marquante.Contexte d'écritureCe court roman composé de 17 chapitres est écrit entre les parties V et VI de Crime et Châtiment, en automne 1866. C¿est par ailleurs le premier roman qüil dicta. C¿est dans un état de grande anxiété qüil rédige Le Joueur du fait de sa collaboration avec l¿éditeur crapuleux Stellovski. En effet celui-ci lui ayant acheté les droits du futur roman pour peu, a fait signer à Dostoïevski un contrat léonin, comportant une clause qui engage le romancier à rendre le roman pour le 1er novembre 18664. Il ne lui reste donc plus que 27 jours pour écrire le roman, sinon « libre à lui, Stellovski, d¿éditer pendant 9 ans comme il le voudrait tout ce que j¿écrirai sans avoir à me verser de gratification ».Le 31 octobre de la même année, Dostoïevski se présenta chez l¿éditeur, respectant donc les engagements. L¿éditeur, avide du gain que lui procurerait le non-respect du contrat, indiqua à un de ses employés de l¿annoncer absent pour quelques jours. Dostoïevski ne pouvant se résoudre à accepter les conditions qui l¿engageaient, alla déposer son manuscrit dans un commissariat afin de dater le roman au 31 octobre 1866 aux yeux de l¿État.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    409,-

    Ce livre regroupe une nouvelle et un court roman de l'auteur, regroupés en deux parties par l'éditeur (Librairie Plon): «Katia» correspond à «La Logeuse» (1847) et le titre original de «Lisa» est «Le Soussol» (1863), ce dernier roman étant également connu sous les titres suivants: «Mémoires écrits dans un souterrain», «Les Carnets du soussol», «Manuscrit du souterrain». «Je suis malade... Je suis méchant, trèsdésagréable.» Ainsi se décrit Ordinov dans ses carnets. Dès son enfance, il n'a pu nouer des relations normales avec ces semblables. On le découvre dans la première partie, vivotant sur un petit héritage et cherchant un nouveau logement. Il erre en ville, tout lui est étranger, bizarre. Rien d'étonnant, il vit retiré, devenu sauvage. Il réussit à souslouer une chambre à un couple étrange qu'il a croisé dans une église. Ordinov se lie avec la jeune femme... La deuxième partie est constituée du journal d'Ordinov. On le retrouve quelques années plus tard, ayant trouvé un emploi modeste. Il déteste ses collègues de travail. Subissant vexations et humiliations, il se venge sur une jeune prostituée. Cet homme estil vraiment dénué à ce point d'humanité? Livre d'introspection, ce roman méconnu est une des meilleures oeuvres de Dostoievski.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    409,-

    Ce livre est plus connu sous le titre «Le bourg de Stépantchikovo et sa population». Par une lettre, le narrateur est invité à rejoindre son oncle de toute urgence dans le village de Stépantchikovo, où il devra épouser une jeune gouvernante qu'il n'a pourtant jamais vue. Rendu sur les lieux, il pense se trouver dans un asile de fous: l'entière maisonnée est soumise à la tyrannie imbécile d'un tartuffe de province, animé d'une haine inexpugnable envers le monde qui a fait de lui un raté. Ce roman porté par une belle énergie comique, celle de la farce ou du théâtre de marionnettes, fut écrit en 1859 par un auteur qui, après dix ans de bagne et de relégation, revenait dans la vie littéraire.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    475,-

    Nous retrouvons notre adolescent, toujours en possession de la lettre qui peut ruiner sa famille. Il retrouve son ancien camarade de pension, qui lui vole le document, sans réussir toutefois à arriver à ses fins...

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    275,-

    Gestern war ich glücklich, über alle Maßen glücklich, wie man glücklicher gar nicht sein kann! So haben Sie Eigensinnige doch wenigstens einmal im Leben auf mich gehört! Als ich am Abend, so gegen acht Uhr, erwachte (Sie wissen doch, meine Liebe, daß ich mich nach dem Dienst ein bis zwei Stündchen etwas auszustrecken liebe), da holte ich mir meine Kerze ¿ und wie ich nun gerade mein Papier zurechtgelegt habe und nur noch meine Feder spitze, schaue ich plötzlich ganz unversehens auf ¿ da: wirklich, mein Herz begann zu hüpfen! So haben Sie doch erraten, was ich wollte! Ein Eckchen des Vorhanges an Ihrem Fenster war zurückgeschlagen und an einem Blumentopf mit Balsaminen angesteckt, genau so, wie ich es Ihnen damals anzudeuten versuchte. Dabei schien es mir noch, daß auch Ihr liebes Gesichtchen am Fenster flüchtig auftauchte, daß auch Sie aus Ihrem Zimmerchen nach mir ausschauten, daß Sie gleichfalls an mich dachten! Und wie es mich verdroß, mein Täubchen, daß ich Ihr liebes, reizendes Gesichtchen nicht deutlich sehen konnte! Es hat einmal eine Zeit gegeben, wo auch wir mit klaren Augen sahen, mein Kind. Das Alter ist keine Freude, meine Liebe. Auch jetzt ist es wieder so, als flimmerte mir alles vor den Augen. Arbeitet man abends noch ein bißchen, schreibt man noch etwas, so sind die Augen am nächsten Morgen gleich rot und tränen so, daß man sich vor fremden Leuten fast schämen muß. Aber doch sah ich im Geiste gleich Ihr Lächeln, mein Kind, Ihr gutes, freundliches Lächeln, und in meinem Herzen hatte ich ganz dieselbe Empfindung, wie damals, als ich Sie einmal küßte, Warinka ¿ erinnern Sie sich noch, Engelchen? Wissen Sie, mein Täubchen, es schien mir sogar, als ob Sie mir mit dem Finger drohten. War es so, Sie Unart? Das müssen Sie mir unbedingt ausführlich erzählen, wenn Sie mir wieder einmal schreiben.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    529,-

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    775,-

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    775,-

    Crime et Châtiment (en russe : ¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿ ¿ ¿¿¿¿¿¿¿¿¿) est un roman de l¿écrivain russe Fiodor Dostoïevski publié en feuilleton en 1866 et en édition séparée en 1867. Archétype du roman psychologique, il est considéré comme l'une des plus grandes ¿uvres littéraires de l'Histoire.Le roman dépeint l'assassinat d¿une vieille prêteuse sur gage et de sa s¿ur par Rodion Raskolnikov, ancien étudiant de Saint-Pétersbourg tombé dans la pauvreté et l'exclusion sociale avec une analyse minutieuse de l'évolution de l'état émotionnel, mental, physique et socio-économique du meurtrier ainsi que des causes et des conséquences du crime.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    379,-

    Leise und unauffällig erscheint Er unter den Menschen, und siehe, es erkennen Ihn alle. Das Volk drängt sich an Ihn heran mit unbezwinglicher Gewalt. Es umgibt Ihn, wächst um Ihn und folgt Ihm. Schweigend schreitet Er unter ihnen, mit dem stillen Lächeln unendlichen Mitleids auf den Lippen. Die Sonne der Liebe brennt in seinem Herzen, Strahlen des Lichtes, der Erleuchtung und Kraft strömen aus seinen Augen und gießen sich über die Menge und wecken die Herzen der Menschen. Er streckt ihnen seine Hand entgegen und segnet sie, und aus der Berührung mit seinem Körper, ja schon aus seinem Gewande fließt heilende Kraft. Ein Greis, der seit der Kindheit blind war, ruft aus der Schar: ¿Herr, heile mich, damit ich Dich erkenne!¿ Und siehe, von seinen Augen fällt es wie Schuppen, und der Blinde sieht. In den Augen der Menschen sind Tränen, das Volk küßt die Erde, über die Er hinwandelt, die Kinder werfen Blumen vor seine Schritte, singen Lieder und rufen Hosianna. ¿Er ist es, Er,¿ wiederholen alle, ¿Er muß es sein und kein anderer.¿ So kommt Er vor das Tor der Kathedrale, wo Menschen unter Heulen und Wehklagen einen weißen offenen Kindersarg tragen, darin ein siebenjähriges Mädchen liegt, die einzige Tochter eines angesehenen Bürgers der Stadt. Das tote Kind liegt da, ganz in Blumen gebettet. ¿Er wird dein Kind auferwecken vom Tode¿, rufen Stimmen der weinenden Mutter zu. Aus der Kathedrale tritt dem Sarge ein Priester entgegen, er vermag nicht gleich zu fassen, was hier geschieht, und runzelt die Stirne. Da hört er ein Aufschluchzen: es ist die Mutter des toten Mädchens, sie wirft sich zu seinen Füßen nieder und hebt ihre Hand zu Ihm auf und ruft aus: ¿Wenn Du es bist, dann wecke mein Kind vom Tode auf!¿ Die Prozession bleibt stehen, der Sarg wird vor Ihm auf den Boden gelassen. Er sieht auf ihn hernieder voll Rührung, und sein Mund spricht noch einmal: ¿Talifa kumi.¿ Und das Mädchen erhebt sich im Sarge, setzt sich auf und blickt im Kreise um sich mit erstaunten offenen Augen. In den Händen hält es das Sträußlein weißer Rosen, mit dem es im Sarge gelegen hat. Das Volk ist bewegt, Stimmen, Schreie, Schluchzen. In diesem Augenblicke geht an der Kathedrale über den Platz der Kardinal vorbei, der Großinquisitor, ein Greis von bald neunzig Jahren, hoch und aufrecht, mit vertrocknetem Gesicht und tiefliegenden Augen, in welchen noch verborgen das Feuer glüht. Heute ist er nicht in den Prunkgewändern, in denen er sich gestern dem Volke gezeigt hatte, da er die Feinde des römischen Glaubens verbrannte ¿ nein, heute trägt er die alte grobe Mönchskutte. Ihm folgen in gemessener Entfernung seine düsteren Gehilfen und Knechte, die ¿heiligen¿ Wächter.

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    345 - 475,-

  • av Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
    319,-

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