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  • av Emile Chevalier
    399,-

    "Poignet-d'acier" est un roman écrit par l'auteur français Émile Chevalier. Ce roman a été publié pour la première fois en 1912.L'histoire de "Poignet-d'acier" se déroule dans le contexte de l'aviation, un domaine relativement nouveau à l'époque de la publication du livre. Le personnage principal, Poignet-d'acier, est un aviateur intrépide qui participe à des aventures aériennes passionnantes. Le roman explore les défis, les dangers et les triomphes de l'aviation à une époque où l'aviation était en plein essor.Émile Chevalier était lui-même un aviateur, et son expérience personnelle dans le domaine a contribué à donner au roman une authenticité et une fascination particulières pour les lecteurs de son époque. "Poignet-d'acier" est un exemple de la littérature d'aventure de l'aviation et offre un aperçu des débuts de l'aviation en France.

  • av Emile Chevalier
    399,-

    "Les Nez-Percés" est un roman d'aventures écrit par Emile Chevalier. L'histoire se déroule dans l'ouest sauvage de l'Amérique du Nord au XIXe siècle, une époque marquée par la conquête de l'Ouest, les guerres entre les Amérindiens et les colons, et les expéditions à travers les terres inexplorées.Le roman se concentre sur les Nez-Percés, une tribu amérindienne, et leur chef mythique, Chef Joseph. L'auteur raconte les luttes et les défis auxquels cette tribu est confrontée alors qu'elle tente de préserver sa culture et son mode de vie face à l'expansion des colons européens.L'intrigue suit un groupe de personnages, notamment des explorateurs, des missionnaires et des trappeurs, qui entrent en contact avec les Nez-Percés. Les interactions entre les différents groupes culturels, ainsi que les tensions et les conflits qui en résultent, sont au c¿ur de l'histoire."Les Nez-Percés" offre un aperçu de la vie des Amérindiens à l'époque de la colonisation de l'Ouest américain. Le roman aborde des thèmes tels que la coexistence pacifique, les rivalités interculturelles, la préservation de la tradition et de l'identité, et les défis auxquels sont confrontés les peuples autochtones.Emile Chevalier nous offre une immersion dans un monde en pleine transformation, capturant les paysages grandioses de l'Ouest américain et les relations complexes entre les différentes communautés.

  • av Emile Chevalier
    399,-

    "Les Derniers Iroquois" est un roman historique écrit par l'écrivain français Émile Chevalier. Publié en 1904, le roman se déroule dans le contexte de la colonisation française de l'Amérique du Nord aux XVIIe et XVIIIe siècles, et il met en lumière la vie et les défis auxquels étaient confrontés les Iroquois, une confédération de peuples autochtones.L'histoire suit les aventures de René de la Vallière, un jeune Français qui se rend en Nouvelle-France (l'actuel Canada) pour rejoindre une mission française. Là, il fait la rencontre de Natah-kohe, un guerrier iroquois. Le récit explore les relations complexes entre les colons français et les Iroquois, ainsi que les conflits et les luttes pour la survie dans un environnement sauvage.Le roman offre un aperçu des coutumes, de la culture et du mode de vie des Iroquois, tout en mettant en évidence les tensions et les confrontations entre les colons européens et les peuples autochtones. Il examine également les thèmes de l'amitié, de la tolérance et de la compréhension mutuelle.Émile Chevalier a apporté une attention méticuleuse aux détails historiques et ethnographiques pour donner vie à l'époque et aux personnages de son roman, créant ainsi un récit captivant qui évoque l'époque de la colonisation française en Amérique du Nord.

  • av Emile Chevalier
    399,-

    ¿Les Chinouks sont des femmelettes. Ils ne savent pas plus vaincre leurs ennemis que les torturer. Moi, j'ai tué deux fois quatre de leurs guerriers.¿Tu as menti, Queue-de-Serpent, répliqua un des chefs, en frappant le prisonnier de son tomahawk.Un flot de sang jaillit de la blessure que celui-ci avait reçue au visage. Sans pousser une plainte, il continua:¿Oui, dans ma cabane, pendent les chevelures de deux fois quatre de ceux que les Chinooks appellent leurs braves sont morts en pleurant comme des daims timides.Un nouveau coup de tomahawk l'atteignit à la poitrine. Les muscles frémirent, ses dents grincèrent et des gouttes de sueur perlèrent son front, mais la douleur ne lui arracha aucun cri, aucun mouvement convulsif.¿Les Chinouks, poursuivit-il stoïquement, ont le bras aussi faible que l'esprit. C'est du sang de lièvre qui gonfle leur coeur. Comment pourraient-ils triompher des vaillants Clallomes, eux qui ne peuvent les renverser quand les Clallomes sont attachés? J'ai enlevé ta femme, Oeil-de-Carcajou, et elle m'a servi comme esclave.A ces mots, l'indien qu'il interpellait bondit de fureur. Tirant de sa gaine un long couteau, il se précipita sur le captif pour l'en percer. Un de ses compagnons l'arrêta.¿Non, ne le tue pas encore, lui dit-il; nous lui montrerons comment les Chinooks traitent les hiboux de son espèce.Et, saisissant un bâton enflammé qui se consumait sur un brasier voisin, il flamba les jambes de sa victime, tandis que Oeil-de-Carcajou lui faisait de larges entailles dans le ventre en vociférant:¿Si tu as rendu ma femme esclave, je rendrai la tienne veuve, et je mangerai ta chair pour en jeter le reste aux chiens.¿Mange-la donc; car tu en as besoin pour te donner le courage qui te manque, reprit froidement le Clallome.

  • av Emile Chevalier
    399,-

    Il faisait tout à fait nuit quand le chasseur arriva au lieu où il avait dressé ses pièges la nuit précédente. C'était un de ces sites pittoresques que l'on trouve seulement dans les chaînes des montagnes Rocheuses. Des barrières presque infranchissables, de gigantesques remparts de terre et de pierres en défendaient l'approche. Mais, si bien gardée qu'il fût par la nature, ce pertuis était accessible à un trappeur[1], car ses yeux exercés savent découvrir la passe la plus étroite, et sa main sait ouvrir les portes secrètes des montagnes: ses pieds sont familiers avec les sentiers désolés, et les mousses des arbres, aussi bien que les étoiles du firmament, servent à diriger ses pas.[Note 1: Les Canadiens-français désignent ainsi les gens qui font la traite des pelleteries dans l'Amérique septentrionale.]Le chasseur avait gagné la gorge solitaire dont nous venons de parler par un cul-de-sac que longtemps il avait cru connu de lui seul. Mais ayant, depuis peu, perdu plusieurs pièges tendus, au fond de cette gorge, près d'une rivière qui l'arrosait et s'échappait, en se frayant un passage à travers les masses de granit, il avait commencé à ne plus se considérer comme l'unique violateur de cette profonde retraite.Arrivé à sa destination il eut un mouvement de surprise et de colère, facile à concevoir, en remarquant que ses pièges avaient encore disparu. Une fois assuré du fait, il se mit à fureter ça et là, autant que les ténèbres pouvaient le lui permettre, pour découvrir quelques traces des auteurs de la soustraction; mais il lui fut impossible d'obtenir la moindre preuve que le lieu eût été visité par un blanc ou un Peau-rouge.

  • av Emile Chevalier
    399,-

    "La Fille du Pirate" is a novel written by the French author Émile Chevalier. Émile Chevalier was known for his adventure novels and stories, often featuring daring characters and exotic settings.The title "La Fille du Pirate" translates to "The Daughter of the Pirate," which suggests an adventurous and swashbuckling narrative. The story may revolve around the adventures and challenges faced by the daughter of a pirate, with themes of high-seas action, danger, and intrigue.While I couldn't find specific information about this work, Chevalier's novels typically feature elements of romance, suspense, and escapades in various exotic or maritime settings.

  • av Emile Chevalier
    399,-

    L'INSURRECTION¿Je vous répète, maître, que les hommes sont mécontents. Ils menacent de se révolter.¿Est-ce pour cela que tu es venu me troubler?¿Mais...¿Mais... qu'on donne la cale sèche aux plus mutins et qu'on fasse courir la bouline aux autres! Par Notre-Dame de Bon-Secours, c'est moi qui commande à bord, et je veux être obéi, entends-tu, Louison?¿Sans doute, sans doute, maître. Cependant, si j'osais... ¿Quoi?¿Vous êtes plus savant que moi, maître, plus savant que nous tous, oh! nous le savons bien!...¿Au but!¿C'est, répondit timidement Louison, que les vivres commencent à manquer sur le Saint-Rémi. L'eau est à moitié gâtée, et encore ai-je été obligé de diminuer les rations ce matin.Puis, s'enhardissant, il ajouta d'un ton plus décidé:¿Nos gens crient, voyez-vous, maître Guillaume. Ils disent, comme ça, que depuis trop longtemps nous tenons la mer; que ce n'était point pour un voyage de découvertes, mais bien pour faire la pêche desmoluesqu'ils se sont embarqués; qu'il n'existe aucune terre dans ces parages; que, s'ils cèdent davantage à votre obstination, une mort affreuse les attend au milieu des glaces qui nous environnent, et...¿Et tu partages leurs appréhensions! interrompit maître Guillaume en haussant les épaules.¿Oh! essaya Louison avec un air de dignité blessée.¿Ne nie point, par Notre-Dame de Bon-Secours, ne nie point; je te connais, mon gars, tu es aussi couard que le dernier de nos novices. Mais, sois tranquille, je ferai, à mon retour à Dieppe, un bon rapport de ta conduite!¿Je ne croyais pas, maître, avoir manqué à mes devoirs, repartit Louison avec une humilité feinte, car il accompagna ces paroles d'un regard haineux, quoique habilement dissimulé sous la paupière.¿Assez sur ce sujet! s'écria Guillaume en frappant du pied. Comment nommes-tu les rebelles?¿Il y a d'abord: Cabochard, Brûlé-Tout, Gignoux Loup-de-Mer, puis... ¿Ce sont les meneurs, ceux-là, n'est-ce point?¿Je le présume, maître.¿Alors, qu'on leur inflige la grand'cale!¿J'avais pensé que la cale sèche...

  • av Emile Chevalier
    399,-

    Halifax, colonie anglaise, dans l'Amérique septentrionale, est une jolie ville de vingt-cinq à trente mille âmes.Les navires à vapeur, affectés au service trans-atlantique, y font généralement escale, et s'y ravitaillent de charbon, eau, provisions diverses.Capitale de la Nouvelle-Écosse (péninsule à la pointe est du Nouveau-Monde, et qui offre sur l'Océan un front de deux cent quatre-vingts milles environ d'étendue), Halifax a été bâtie, en 1749, au fond d'une baie, par trois mille huit cents émigrants anglo-saxons, sur l'emplacement d'un poste français célèbre, sous le nom de Chibouctou, dans l'histoire de nos guerres avec la Grande- Bretagne.Son port est beau, spacieux, commode, mais l'entrée on est encore difficile, quoiqu'on l'ait fort améliorée, dans ces derniers temps surtout.En 1811, à l'époque où commence notre récit, l'accès de ce port présentait une foule d'écueils redoutés par les marins qui, dans leur langage imagé, l'avaient baptisée l'Avenue du Diable (Old Nick's Avenue.)On y voyait des rochers énormes, à fleur d'eau, contre lesquels plus d'un vaisseau s'était brisé, et que les légendes terribles rendaient fameux dans tout le golfe de Saint-Laurent.

  • av Emile Chevalier
    399,-

    "L'Enfer et le Paradis de l'Autre Monde" is a work written by the French author Émile Chevalier. This book explores the concepts of heaven and hell in the afterlife, as well as other metaphysical and spiritual themes. It delves into the human understanding of the divine, the afterlife, and the moral implications of one's actions in this world.The book may offer reflections on topics such as the nature of good and evil, the consequences of one's actions, and the rewards and punishments that may await in the other world. While the specifics of the content would require a more detailed examination of the text, it is likely a philosophical and spiritual exploration of these timeless and profound themes.

  • av Emile Chevalier
    399,-

    Existe-t-il en France, ou même dans le monde entier, une ville qui, relativement à sa population, puisse s'enorgueillir d'avoir enfanté autant de célébrités que Saint-Malo? Quelle pépinière, quelle pléiade d'illustrations dans tous les genres! Ses seuls marins fameux, on en pourrait compter cent, non compris les Jacques Cartier, les Porée, les Duguay-Trouin, Mahé de la Bourdonnais, les Surcouf, les de Coisy, et, comme dit leur excellent biographe, M. Ch. Cunat: «Tous donnèrent plus d'une fois sujet aux ennemis de la France de leur appliquer ce mot de Philippe, roi d'Espagne, en parlant de Turenne: Voilà un homme qui m'a fait passer de bien mauvaises nuits.»Mais à ces beaux noms, consignés au premier rang dans les fastes de notre histoire nationale, ne se borne pas la liste des grands hommes qui ont honoré Saint-Malo par leur bravoure à toute épreuve ou leurs vastes talents. Des philanthropes, comme Jacques Vincent, seigneur de Gournay, Alain Magon de la Gervesais, Pierre de la Haye; des savants, comme Nicolas Trublet, le P. Alain de Large, le physicien Maupertuis, l'érudit Joachim Porée, l'historien Nicolas Frottet, le médecin Broussais; des administrateurs comme Pierre-Louis Boursaint, Féron de la Féronnays; des poètes comme François-Marie Lescaut, Marie-Jeanne Bougourd (l'auteur de la Jeune Mère), Michel de la Morvonnais et l'immortel Chateaubriand; des philosophes comme Offroy de Lamettrie ut Robert de Lamennais, vingt autres enfin, renommés dans les sciences, les arts et les lettres, viennent encore enrichir le catalogue des glorieuses, personnalités auxquelles la cité malouine servit de berceau.

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