Marknadens största urval
Snabb leverans

Böcker i Les classiques de la littérature-serien

Filter
Filter
Sortera efterSortera Serieföljd
  • av Amedee Achard
    265,-

    "L'Eau-qui-dort" est un roman d'aventures écrit par l'écrivain français Amédée Achard, publié en 1861. Le titre du roman évoque un lieu mystérieux, et l'histoire est une aventure exotique qui se déroule dans les colonies françaises.L'intrigue de "L'Eau-qui-dort" tourne autour de la quête d'un trésor dans les terres lointaines de Madagascar, à l'époque où cette île était une colonie française. Le protagoniste, le capitaine Launay, entreprend un voyage périlleux à la recherche de ce trésor mythique. Le roman est rempli de péripéties, de rencontres avec des personnages exotiques et de moments de suspense.Amédée Achard était un auteur d'aventures populaire de son époque, et ses romans étaient appréciés pour leur atmosphère exotique et leurs récits palpitants. "L'Eau-qui-dort" reflète cette tradition de la littérature d'aventures du XIXe siècle.Si vous appréciez les récits d'aventures exotiques, les quêtes de trésors, et les romans qui vous transportent dans des contrées lointaines, "L'Eau-qui-dort" d'Amédée Achard pourrait vous offrir une lecture captivante et pleine de mystère.

  • av Jules Lermina
    329 - 399,-

  • av Paul Bourget
    265,-

    "L'Eau Profonde" est un roman écrit par l'écrivain français Paul Bourget, publié en 1900. Paul Bourget était un auteur important de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, connu pour ses romans psychologiques et sociaux.L'histoire de "L'Eau Profonde" se déroule dans le milieu de la haute société française de l'époque. Elle met en scène le personnage de Jeanne Le Perthuis des Vauds, une jeune femme de la noblesse, qui se retrouve impliquée dans un drame passionnel et moral. Le roman explore les thèmes de l'amour, de la moralité, de la culpabilité et de la pression sociale.Paul Bourget était un maître de la psychologie des personnages, et "L'Eau Profonde" est un exemple de son talent pour analyser les motivations et les dilemmes de ses personnages. Le roman offre une réflexion profonde sur les choix moraux et les conflits intérieurs.Si vous êtes amateur de romans psychologiques et de récits qui plongent dans les tréfonds de la psyché humaine, "L'Eau Profonde" de Paul Bourget pourrait être une lecture fascinante pour vous. Il offre un aperçu complexe de la moralité et de la société de l'époque.

  • av Jean Giraudoux
    265,-

    "L'École des Indifférents" est une pièce de théâtre écrite par l'écrivain français Jean Giraudoux. Elle a été publiée en 1932 et est caractérisée par son style littéraire élégant et son exploration des thèmes de l'indifférence et de la complaisance.La pièce met en scène une série de dialogues entre des personnages qui semblent indifférents aux événements qui se déroulent autour d'eux. Les conversations portent sur des sujets divers, mais l'indifférence et l'apathie des personnages sont des thèmes centraux. La pièce sert de réflexion sur la société et la condition humaine, mettant en lumière les conséquences de l'indifférence et de la complaisance.Jean Giraudoux était un dramaturge renommé du XXe siècle, et ses pièces sont souvent caractérisées par leur style littéraire sophistiqué, leur sens de la satire et leur exploration des dilemmes moraux et sociaux. "L'École des Indifférents" est une ¿uvre qui incite à la réflexion sur la passivité et le conformisme.Si vous êtes intéressé par le théâtre qui explore des questions philosophiques et sociales, "L'École des Indifférents" de Jean Giraudoux est une pièce qui offre une réflexion profonde sur l'indifférence et la complaisance dans la société.

  • av Gustave Flaubert
    375,-

  • av Jules Valles
    335 - 445

  • av Jules Lermina
    265,-

    Après avoir brillamment servi la France pendant de longues années, M. de Morlaines, général de brigade, avait pris sa retraite. C¿était un homme de soixante ans, encore vert, doué d¿une exquise distinction, rappelant le type de ces anciens gentilshommes dont la parole était sacrée, dont la délicatesse n¿admettait ni faux-fuyants ni compromis quand il s¿agissait de tenir un engagement.M. de Morlaines était veuf. C¿était même la perte de sa femme Hortense, née des Chaslets, qui l¿avait engagé à renoncer à l¿état militaire. Sa douloureuse tristesse s¿accommodait mal de la vie active : il avait renoncé à toute ambition et était venu s¿installer auprès de Paris, à Vitry, dans une petite propriété où il avait trouvé le repos dont il avait besoin, s¿adonnant à des travaux de jardinage et satisfaisant des goûts qüil n¿avait pas perdus pendant sa longue carrière de soldat.Son fils, Georges de Morlaines, âgé de vingt-cinq ans, avait été promu depuis peu, au grade de lieutenant de vaisseau et à l¿époque où s¿ouvre ce court récit, était engagé dans un grand voyage d¿exploration.

  • av Maurice Level
    329 - 345,-

  • av Georges Darien
    329 - 489,-

  • av Michel Zévaco
    515,-

  • av Oscar Huguenin
    385,-

    Comment se faisait-il que la nuit du 4 au 5 juin 1780, moi, Jacques Gribolet, fils cadet du plus gros métayer de Bôle, je grimpais tout haletant les côtes de Rochefort, sans suivre ni chemin ni sentier, avec les allures d¿un malfaiteur qui sent la maréchaussée à ses trousses ? Hélas ! c¿est que la malechance m¿a poursuivi dès mon entrée en ce monde ! Petit marmot, je roulais du haut en bas de tous les escaliers ; mes genoux, mes coudes, mon front et mon nez étaient à l¿ordinaire couverts de plus de plaies et de bosses que n¿en pouvaient montrer ensemble tous les enfants du village. Je ne laissais passer ni coqueluche, ni rougeole, ni scarlatine, ni ourles, sans en prendre ma bonne part, et il faut que j¿aie eu l¿âme chevillée au corps de solide façon pour m¿être tiré sans trop d¿encombre de tous ces traquenards tendus à ma jeune existence ! Garçonnet de dix à douze ans, je me trouvais mêlé à toutes les bagarres entre galopins de mon âge, où j¿attrapais les horions les mieux appliqués. Pourtant, de ma nature, je suis doux comme un mouton et on m¿échauffe malaisément les oreilles.

  • av Alphonse Beauregard
    265,-

    Ô Vie ! aurais-je pu tendre un c¿ur plus aride Vers l¿amour dont tu fais l¿étoile qui nous guide, Vers l¿amour nécessaire aux résurrections ? Derrière moi, pourtant, s¿efface ma jeunesse Et je demande encore à connaître une ivresse Aux insondables tourbillons.¿ Fallait-il assoupir ton âme dans l¿orgie, Au lieu de libérer l¿invisible énergie Que l¿homme porte en soi pour gravir les hauteurs ? Tu faisais de l¿amour une farce insolente, Je ne t¿en accordai que la part suffisante À mettre un flambeau dans ton c¿ur.¿ Ô Vie ! en moi brûlait l¿ambition féconde, Je me sentais promis à gouverner le monde Et tu ne m¿as donné que moi-même à régir. J¿ai tenté vainement de violer la gloire, Et mon travail, offert d¿un geste péremptoire, Parvient à peine à me nourrir.

  • av George Sand
    265,-

  • av Alphonse Daudet
    265 - 329,-

  • av Emile Richebourg
    385,-

  •  
    265,-

    Le théâtre s'ouvre à l'agréable bruit de quantité d'instruments, et d'abord il offre aux yeux une vaste mer, bordée de chaque côté de quatre grands rochers, dont le sommet porte chacun un Fleuve, accoudé sur les marques de ces sortes de déités. Au pied de ces rochers sont douze Tritons de chaque côté, et dans le milieu de la mer quatre Amours montés sur des dauphins, et derrière eux le dieu Eole, élevé aüdessus des ondes sur un petit nuage. Eole commande aux vents de se retirer, et, tandis que les Amours, les Tritons, et les Fleuves lui répondent, la mer se calme, et du milieu des ondes on voit s'élever une île. Huit Pêcheurs sortent du fond de la mer avec des nacres de perles et des branches de corail, et, après une danse agréable, vont se placer chacun sur un rocher aüdessous d'un Fleuve. Le choeur de la musique annonce la venue de Neptune, et, tandis que ce dieu danse avec sa suite, les Pêcheurs, les Tritons et les Fleuves accompagnent ses pas de gestes différents et de bruit de conques de perles. Tout ce spectacle est une magnifique galanterie, dont l'un des princes régale sur la mer la promenade des princesses.

  •  
    445

    Calypso ne pouvait se consoler du départ d'Ulysse. Dans sa douleur, elle se trouvait malheureuse d'être immortelle*. Sa grotte ne résonnait plus de son chant: les nymphes qui la servaient n'osaient lui parler. Elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris dont un printemps éternel bordait son île: mais ces beaux lieux, loin de modérer sa douleur, ne faisaient que lui rappeler le triste souvenir d'Ulysse, qu'elle y avait vu tant de fois auprès d'elle. Souvent elle demeurait immobile sur le rivage de la mer, qu'elle arrosait de ses larmes; et elle était sans cesse tournée vers le côté où le vaisseau d'Ulysse, fendant les ondes, avait disparu à ses yeux. Tout à coup elle aperçut les débris d'un navire qui venait de faire naufrage, des bancs de rameurs mis en pièces, des rames écartées çà et là sur le sable, un gouvernail, un mât, des cordages flottants sur la côte, puis elle découvre de loin deux hommes, dont l'un paraissait âgé; l'autre, quoique jeune, ressemblait à Ulysse. Il avait sa douceur et sa fierté, avec sa taille et sa démarche majestueuse. La déesse comprit que c'était Télémaque, fils de ce héros. Mais, quoique les dieux surpassent de loin en connaissance tous les hommes, elle ne put découvrir qui était cet homme vénérable dont Télémaque était accompagné: c'est que les dieux supérieurs cachent aux inférieurs tout ce qu'il leur plaît; et Minerve, qui accompagnait Télémaque sous la figure de Mentor, ne voulait pas être connue de Calypso.

  • av Jules Girardin
    265,-

    M. Colin-Tampon avait cinquante ans; il était propriétaire d'une jolie villa sur le territoire de Courbevoie, et, par-dessus le marché, conseiller municipal.Il va sans dire que M. Colin-Tampon avait été jeune dans son temps. Si nous le prenons à l'âge de seize ans, nous remarquons qu'il s'appelait alors Colin tout court, qu'il étudiait pendant le jour les mystères de la mercerie, rue Saint-Denis, à l'enseigne du Bouton- d'Or, sous les auspices de M. Tampon, patron peu endurant; la nuit, il dormait à poings fermés dans une soupente située au sixième étage de la maison même où habitait son patron. Comme il n'était point ambitieux, ses rêves, quand par hasard il rêvait, ne lui montraient point la jolie villa de Courbevoie ni les honneurs municipaux; oh, mon Dieu, non! Il rêvait qu'il y avait deux dimanches par semaine au lieu d'un, ou bien que la morue n'apparaissait qu'une fois par semaine, au lieu de cinq, sur la table du patron.N'allez pas conclure de là que le jeune Ernest Colin fut un paresseux ou un gourmand. Son patron le faisait travailler avec une sévérité si implacable, que le soir «les jambes lui rentraient dans le corps». Il était donc bien excusable de soupirer après le jour du repos. Quant à la morue, mon intention n'est point d'en dire du mal. C'est un mets exquis pour ceux qui l'aiment, et encore à condition qu'ils n'en abusent pas. Ernest en abusait, et il en abusait bien malgré lui, car il avait une horreur instinctive pour ce mets, cher à M. Tampon.

  •  
    265,-

    En 1834, dit maître Nablot, sous le règne de Louis-Philippe, vivaient à Richepierre, en Alsace, sur la pente des Vosges, un honnête notaire, M. Didier Nablot, sa femme, Catherine, et leurs enfants : Jean-Paul, Jean-Jacques, Jean-Philippe, Marie-Reine et Marie-Louise.Moi, Jean-Paul, j¿étais l¿aîné de la famille, et je devais, en cette qualité, succéder un jour à l¿étude de notre père.Ce bon temps de la jeunesse me revient dans toute sa fraîcheur : je vois notre vieille maison à l¿entrée du village ; sa cour, entourée de hangars, de granges, d¿écuries ; son fumier, où se promenaient les poules ; sa large toiture plate, où tourbillonnaient les pigeons, et nous autres enfants, le nez en l¿air, jetant de hauts cris, pour chasser les moineaux qui venaient piller le grain dans le colombier. Et puis, derrière les vieilles bâtisses vermoulues, je vois notre jardin, qui descend jusqüau bas de la colline, avec ses bordures de buis le long des allées et ses carrés de légumes. La vieille servante Babelô, les cottes retroussées, coupe des asperges avec un vieux couteau terreux ; la mère cueille des haricots ou d¿autres légumes de la saison, son grand chapeau de paille tombant sur les épaules et le panier au bras... Tout est là, devant mes yeux !

  • av Emile Gaboriau
    335

    C'était le mercredi novembre de l'an de grâce . Ce soir là, il y avait petit souper et grande compagnie, rue Vieille du Temple, chez La Vienne, le baigneur à la mode, l'étuviste en renom, le barbier du monde élégant.Les Parisiens du temps présent, qui s'imaginent avoir atteint jusqu'au dernières limites de la civilisation et du confort, parce qu'ils ont créé des «tavernes» et certains autres docks de la galanterie à bon marché, auront sans doute besoin que nous leur expliquions ce que l'on entendait par barbier, par étuviste et par baigneur, dans la première moitié du règne de Louis XIV.Au dix septième siècle, les bains chauds, nommés étuves pour la bourgeoisie et pour les gens de bas étage, existaient dans la capitale en plus grand nombre qu'aujourd'hui.On comptait aussi par la ville une quantité d'auberges et d'hôtelleries pour toutes les conditions, puis quelques hôtels garnis magnifiquement meublés, mais en très minime proportion.Ces hôtels étaient principalement à l'usage de personnages de la haute noblesse qui ne faisaient pas partie de la cour et qui n'avaient à Paris aucune propriété.Pour ceux de cette classe qui en possédaient, pour les grands seigneurs directement attachés à la maison royale, on rencontrait encore un ou deux établissements d'un genre particulier, qu'il est fort difficile de définir, parce qu'il n'y en a plus de semblables.

  • av Paul Feval
    335

    "Les Belles de Nuit" est un roman écrit par l'écrivain français Paul Féval. Ce roman, publié en 1854, appartient au genre du roman-feuilleton, un genre populaire du XIXe siècle caractérisé par son intrigue complexe et ses nombreux rebondissements.L'histoire de "Les Belles de Nuit" se déroule à Paris au XVIIIe siècle et met en scène une série de personnages intrigants, notamment des voleurs, des espions et des aristocrates. Au c¿ur de l'intrigue se trouvent deux femmes mystérieuses, Madame Pipard et Mina de Laroque, qui exercent une fascination sur les hommes de leur époque.Paul Féval était un maître du roman-feuilleton, et "Les Belles de Nuit" est un exemple de son talent pour la création d'intrigues compliquées et de personnages mémorables. L'intrigue est riche en rebondissements et en mystères, ce qui en fait une lecture divertissante.Si vous appréciez les romans d'aventures, les intrigues complexes et les ambiances historiques, "Les Belles de Nuit" de Paul Féval pourrait être une lecture captivante pour vous. Il offre une plongée dans le Paris du XVIIIe siècle avec son lot de conspirations et de mystères.

  • av Francois-Rene Chateaubriand
    265,-

    "Les Aventures du Dernier Abencérage" est une nouvelle écrite par l'écrivain français François-René de Chateaubriand, qui était une figure importante du romantisme littéraire français. Cette nouvelle a été publiée en 1826 dans le recueil "Mélanges Littéraires."L'histoire se déroule dans le contexte de la Reconquista espagnole, une période de conflit entre les chrétiens et les musulmans en Espagne, au XVe siècle. Le récit met en scène un Abencérage, un membre de la dernière tribu musulmane en Espagne, qui est condamné à mort après la chute de Grenade, la dernière ville musulmane de la péninsule ibérique. Le récit explore la tragédie de la défaite des musulmans et de la perte de leur culture en Espagne.Chateaubriand était un auteur romantique connu pour sa prose lyrique et mélancolique, et "Les Aventures du Dernier Abencérage" reflète son style littéraire caractéristique. Le récit est empreint de nostalgie pour une époque révolue et exprime des thèmes romantiques de perte et de mélancolie.Si vous êtes intéressé par la littérature romantique française, l'histoire espagnole, ou les récits qui explorent les conflits culturels et historiques, "Les Aventures du Dernier Abencérage" de François-René de Chateaubriand est une ¿uvre qui mérite d'être découverte.

  • av Paul Feval
    335 - 679,-

  • av Oscar Wilde
    335 - 399,-

  • av Jules Verne
    445 - 485

  • av Gaston Maspero
    385,-

    "Les Contes Populaires de l'Égypte Ancienne" est un recueil de contes et de légendes de l'Égypte antique compilé par l'égyptologue français Gaston Maspero. Ce recueil a été publié pour la première fois en 1913. Gaston Maspero est une figure éminente de l'égyptologie, connu pour ses travaux sur l'histoire et la culture de l'Égypte ancienne.Ce livre présente une sélection de récits qui étaient populaires dans l'Égypte antique, offrant un aperçu fascinant de la culture, des croyances et des traditions de cette civilisation ancienne. Les contes abordent une variété de thèmes, y compris des histoires mythologiques, des légendes sur les dieux égyptiens, des récits fantastiques et des contes populaires."Les Contes Populaires de l'Égypte Ancienne" permet aux lecteurs de plonger dans l'univers de l'Égypte ancienne à travers les yeux de ses habitants, en explorant leurs récits et leurs imaginaires. C'est une ressource précieuse pour ceux qui s'intéressent à l'histoire, à la mythologie et à la littérature de cette période.Si vous êtes passionné par l'Égypte ancienne et que vous souhaitez découvrir les contes et légendes qui ont perduré pendant des millénaires, ce recueil de Gaston Maspero vous offrira un voyage fascinant dans le passé.

  • av Emile Gaboriau
    329,-

    "Les Cotillons Célèbres" est un roman écrit par l'écrivain français Émile Gaboriau, publié en 1867. Émile Gaboriau était un écrivain prolifique du XIXe siècle, connu pour ses romans policiers et d'enquête.Ce roman se concentre sur le personnage principal, un inspecteur de police nommé Lecoq, qui est en charge de résoudre une série d'enquêtes criminelles liées à une série de cambriolages. Les "cotillons" du titre font référence aux bijoux et objets de valeur volés. Lecoq fait preuve d'intelligence et d'astuce pour traquer les voleurs et résoudre les mystères qui les entourent.Émile Gaboriau est souvent considéré comme l'un des pionniers du genre policier en littérature, et "Les Cotillons Célèbres" est l'un de ses romans les plus célèbres. Il offre une intrigue captivante, des rebondissements inattendus et un héros enquêteur charismatique.Si vous appréciez les romans policiers classiques, "Les Cotillons Célèbres" d'Émile Gaboriau est une lecture recommandée qui vous plongera dans l'univers des enquêtes policières du XIXe siècle.

  • av Louis Frechette
    265,-

    "Les Contes de Jos Violon" est un recueil de contes écrit par le poète, écrivain et humoriste canadien Louis Fréchette. Le recueil a été publié en 1888 et est devenu un classique de la littérature canadienne-française.Les contes de Jos Violon sont des récits humoristiques qui mettent en scène un personnage du nom de Jos Violon, un conteur malicieux qui raconte des histoires humoristiques basées sur des anecdotes de la vie quotidienne au Québec. Ces contes sont empreints de l'humour et de la vivacité qui sont devenus la marque de fabrique de Louis Fréchette.Louis Fréchette est l'une des figures marquantes de la littérature canadienne-française et est connu pour sa capacité à capturer le langage et le caractère du peuple québécois. Les "Contes de Jos Violon" sont appréciés pour leur style humoristique et leur représentation de la vie rurale du Québec à l'époque.Si vous appréciez la littérature humoristique et que vous souhaitez découvrir un auteur qui a contribué de manière significative à la littérature canadienne-française, "Les Contes de Jos Violon" de Louis Fréchette vous offrira une lecture divertissante et pleine de charme.

Gör som tusentals andra bokälskare

Prenumerera på vårt nyhetsbrev för att få fantastiska erbjudanden och inspiration för din nästa läsning.